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~ refuge pour les dépaysés

Les Cosaques des Frontières

Archives de Catégorie: Anna Jouy

Chemins

30 lundi Jan 2023

Posted by ykouton in Anna Jouy

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J’ouvre mon œil le prophète
Là-bas, après le dépli des jours, les puits de sang
Derricks sombres de la guerre turbinent la misère
J’en ramène les cœurs broyés des fils
Le carburant de ma peur.
Alors
J’efface le futur d’une paupière propre
J’ouvre mon œil l’impuissant
Ici, encore cette pâleur caressante de l’aube
Les corbeilles de l’amour sont pleines
Je ferme les cartes de l’avenir
De mon cœur à celui des hommes
Le présent est le chemin

Dimanche, le creux de mon corps, poquet d’amour et d’histoires, se remplit de cloches et de souvenirs.
Qui étais-tu enfant qu’un appel de ballons sonores éclatant dans le ciel, engageait à se joindre à des cérémonies mystérieuses.
L’enfant comprend les cloches, aucun besoin de lui apprendre. A elles seules, elles prient, d’une élégance enchantée, elles prient.
Cette joie quand l’appel surprend
Cette paix de la voix céleste
Et cette mélancolie ensuite d’airain fidèle
L’Amour habite l’air, longuement silencieux, l’entends-tu encore
Puis Dimanche éclate, « enfant je ne t’oublie pas… »
Je souris

J’aimerais être de ces essences oubliées, qu’on n’a jamais regardées et qui dans leur sol solitaire finissent lentement leur vie en séchant. Oubliées des mains cueilleuses, des faux, cachées sans même le vouloir par d’autres, lentement calmement perdant vie et couleurs quittant ce monde comme une buée de couleurs et de parfums.

Texte/Illustration : Anna Jouy

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Effets Stockhausen

31 mercredi Août 2022

Posted by ykouton in Anna Jouy

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Ce n’est pas un brouillard.
C’est un monde sans os, sans structures, sans béquilles
Et tu es dedans aussi mou, défait, liquéfié,
Invertébré humain de chimio.
Il y a des couleurs qui t’enserrent de partout, étouffantes glus qui veulent te pénétrer, te « vivre », s’étirer en toi comme si tu étais devenu une matière extensible intéressante, inconnue, la matière chimio.
Tu étouffes, tu te sens essoré, tordu, compressé
Dans cette substance médicamentueuse, dans laquelle tu résistes, fou de peur.

Et soudain tu sors de cet état.
Tu en sors comme d’une longue apnée. Tu reviens parmi ces choses ordinaires,
Raides, dures, structurées.
—Tu as fait un bad trip.
Les médicaments ont joué pour toi une partition Stockhausen.
Tu as peur parce que c’est un autre monde et que l’autre monde, la mort proche te le promet.
Et que ce ne sont pas les vallées de lumière chantées dans tes églises
Que c’est trop différent, trop irrespirable, barbare
Comment feras-tu pour aimer Stockhausen quand tu seras mort ?

Tu lui as donné des mots, des phrases comme des organes de toi. Il n’y a peut-être rien entendu.
Ce puits dans lequel tu as vécu jeune, cette forme du puits, sa matière terre inhumaine
Et cet œil qu’était le ciel quand tu levais la tête.
Ces mots comme le bad trip
Comme cette chimie qui œuvre sous la peau quand tu dors aujourd’hui.
Ces mots médicaments du temps, de l’esprit, du désir de vivre
D’autrefois
T’ont sauvé
Tu les lui as donnés. Il n’y a rien entendu.
Aime-t-il
Et puis, qui donc est Stockhausen

Texte/Illustrations : Anna Jouy

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La vie en pas de côté.

03 mardi Mai 2022

Posted by ykouton in Anna Jouy

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Il y a là, au milieu de ma poitrine, un nid. Des pustules. Qui encadrent un point. On a percé ma peau. Une grosse aiguille. Du sang a coulé je le sentais glisser dans mon cou.
Avoir un enclos rouge sur la peau. Et dessous, très profond dedans, le sentiment d’une douleur. Une douleur indécise, qui ressemble à la nausée. Indécise et profonde.
Je regarde, je touche. C’est là-dessous. Il faut bien observer. Mais ça ne sert à rien. Un animal est en train d’y grandir, caché dedans. Je couve l’inconnu.
C’est un grain de bête. Pas grand-chose. Je ne dirais pas un embryon. Quoi que ce soit possible. Il y a des gens qui mettent bas des germes bestiaux. Alors est-ce un mammifère ? Un oiseau ? Un poisson ? J’incube quelque chose d’imprécis.
J’offre le gîte à un être particulier, singulier. Il manifeste une présence minuscule avec un tempérament fort. Il a du caractère. C’est tout ce que je sais.
Balancier. Mal-être, bien-être. Terre et ciel. Double face. La peau brûle et grelotte en même temps. À ce rythme d’encensoir, je m’évapore. Je liquide les brumes. Rien de plus. Ce petit nuage de flemme qui sort de moi parce que je secoue la tête à la recherche d’une réponse.
Il y a des maux que l’on n’estime pas à l’aune d’un péché. Ils sont de l’ordre naturel de la vie. D’autres sont des punitions. Tu as quelque chose, tu as fait quelque chose ou alors dit ou même pensé…je suis sûre d’avoir assez pensé pour me décharner moi-même.
C’est vrai que Dieu ne devrait pas être interpellé. C’est une force d’amour qui ne supporte pas de nom car un mot limite, délimite.

Quand je me lève, j’ai encore le sentiment de l’autre vie. Celle inhabitée. J’ignore même comment et pourquoi il a fallu enfoncer une pince coupante là entre mes deux seins. J’ignore que je couve quelque chose. Je suis comme avant. Vide en somme. On est bien quand on est vide, on l’ignore. On ne sait pas que cet infime étranger qui loge en vous est capable de vous remplir « d’étrangetés ». Et tellement que malgré l’insaisissable, il peut squatter la vie d’une sensation gênante et malaisée.
Quand je me lève, j’ai oublié mon corps, je le ramène sur Terre si lentement. Il revient d’un voyage sidéral dans lequel de toutes façons, ni lui ni moi ne sommes identifiables. Je suis douée de pouvoirs et lui est privé de sens. Il ne sent rien. Il est creux. Je veux dire qu’il n’a aucune épaisseur et que là-bas, qu’il soit fluide, gras ou germe illisible sous le regard, mon corps ne varie pas et ne se définit jamais… Et moi, puisque je suis de cette absurde caste qui sépare pensées et chair, dans mon rêve, je fais ce que je veux. Et donc je reste cette femme vide d’avant.

Et puis, je me tiens à la porte de verdure. C’est la baie de pâtures. Un océan d’algues broutées par des cétacés, paisibles et lents sur cette vague puissante. Une étendue marine aux abois, qui prendra des milliers d’années à se coucher sur ma maison…
Je n’ai pas choisi le pré. Il progresse vers moi de ces pas minuscules des êtres empruntés au temps stupéfait.
Le ciel s’ouvre à la frange des arbres. Un œil jaune rasant des cils de sapin. Jaune et vert, le monde du matin.
Et je cherche à creuser ces amas pour atteindre un ciel d’une eau transparente.
Qu’en serait-il de se lever à une arche bleue ?
La douleur est un caméléon. Elle se fond dans le pays, dans la maison, dans la chambre. Elle se confond. Je me confonds. Jaune et verte, je suis une colline dévorée de troupeau.

Texte/Illustration : Anna Jouy

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 Là

18 vendredi Fév 2022

Posted by ykouton in Anna Jouy

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tout ce qui voit parle regarde tout ce qui vit s’anime dort meurt c’est dedans – y tient forcément reste toujours quelque part quelque chose à y enfermer et toujours un peu de cette pâte poudre de langue et salive pour faire bloc colle – mortier pour se sentir bien autour de son dedans mais ça ne prend pas survit l’illusion : on a bien appris à vivre large dans six faces de cube mais ça ne prend pas. ça sent trop l’étroit trop l’épaisseur ça ne ment pas l’épaisseur de ce frac : peau dure armée qui contraint contient tient le corps là sans bouger rigueur de pieu fiché de bas en haut qui fait tenir droit l’ensemble par le cul tenir droit le petit tas raide de peu de choses de peu mais agrégées serrées à un point – pour respirer encore dans la croûte il faudrait pour un peu demander pardon aux barreaux pour un peu tirer sur les soudures et dans le repli même : ne reste qu’un trait qu’on tire et qui ne recouvre rien et qui ne suffit pas à faire disparaître murs sol plafond. c’est toujours aussi épais de murs haut de sol bas de plafond des années qu’on s’y cogne alors non – ça non plus ça ne prend pas on voudrait garder le tout à vif au chaud à l’étouffée – on ne s’y prendrait ni mieux ni autrement et le pire : si tout restait à faire on referait tout à l’identique : tout parce que pas de modèle parce que pas de repère parce que rien juste une vague idée de ce qu’on est quand on n’est que – et avec ça on ne va pas loin et pas loin c’est devant pas loin c’est là juste
– là

Texte : Anna Jouy

Illustration : Gustave Moreau

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Pseudonyme 2

27 lundi Déc 2021

Posted by ykouton in Anna Jouy

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Au jeu du miroir, mettre la tête à prix. Une tête maquillée, enrichie de couleurs, celle qui fera le parfait avatar… Faut essayer. Dernière chance de tenir tête au manque d’amour, de tenir tête à cette seconde, présente de plus en plus et qui porte un autre prénom. Tenir tête en montrant un visage parfois, histoire de mettre une apparence alors qu’elle n’est que transparence. S’exhiber comme un masque, être dans un masque de phrases. Ainsi l’autre, l’invisible bavarde qui s’agite sur les réseaux sociaux, prend forme. Elle ne prend pas corps mais une sorte de vie, lisible, aussi présente que si vivante. Lentement, ce prénom inventé s’emplit de sable et sort de la transparence. Les mots emplissent le moule imaginaire de qui c’est, aux yeux de ceux qui les lisent. Devenir ce prénom, qui n’est plus innocent et creux. Il est empli de ce qui est écrit. Ce n’est pas par hasard qu’on lui ajoute un nom, un nom plein de vie et de désir, un nom qui dit tout ce qui manque, qui dit tout de sa propre raison d’être. Jouir en termes, puisqu’en chair il ne peut en être question.


Un pistil de flammes, cire de tête, bougie consumant son parfum. Tout se mélange, octroie des mondes difficiles et des urgences, oratoire d’étincelles. Il y a des jours où la figure est une flétrissure, habitée d’une fatigue sans collagène. Le regard semble s’affaisser lui aussi, de la peau des yeux vers la peau du cou. Plus tard, on ne sait comment ni par quelle aventure de la pensée, tout se retendra- un peu – pendant quelques jours. Un angelot esthéticien sera passé remettre tout de mèche et debout… En attendant, on scrute son propre écroulement. C’est un jour assez médiocre qui penche du côté sordide de l’existence. Le corps ne veut pas entrer en matière. Il bidouille entre respirer et lever le pied. L’estomac grenaille le temps comme gésier d’hiver. Ça grince, ça frotte en soi-même. Et ce désaccord qui dure, qui s’allonge en soi, sur soi, qui noue sans cadeau… Etrange état entre deux, ni totalement soi ni autre et qui se manifeste pareil dans ces indécisions de la peau, un jour avec, un autre sans… Se nourrir de ces fluxions de bobine. Compagnie relâchée. Miroir, miroir, où est-on passée… Ça laisse son petit mot sur la table. « Ne m’attends pas, je reviens tard ».

Texte/Illustration : Anna Jouy

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