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~ refuge pour les dépaysés

Les Cosaques des Frontières

Archives de Catégorie: Anna Jouy

Bosser L’abandon

06 vendredi Déc 2019

Posted by ykouton in Anna Jouy

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image

Cultiver des levures de vide, des petits champignons verts sur le dos des farines. Espérer une guérison, un soin de sorcier.

Élever les moisissures, les tissus délicats en coton de neige, des nébuleuses de pénicilline qui pousseraient sur le quotidien. à prendre à chaque repas. Puis boire, puis déglutir.

Tracer le périmètre de sécurité, s’assurer de l’espace infranchi ( suis-je toujours au centre? oui? ) vérifier souvent parce que parfois la roue est voilée et le rayon déboulonné.

Marquer à la craie. Ne pas franchir la trace, elle est pleine d’intrigues, d’incantations de magies.

Remèdes de cheval ou limites autour du cadavre

Créer ainsi le refuge, même s’il s’agit de faire d’un caillou une île – la terre sort un sein de la flotte- une île maigre sans doute mais avec de l’air ou des mains autour.

Patienter, la semaine des 4 jeudis. Robinson n’est pas fort pour tenir ses horaires. Compter les grains de poussières et corpuscules. Pour cela, quadriller le cercle, numéroter les abscisses, les ordonnées et débuter sa température à zéro. Attendre que ça monte. Faire la croix.

Régler le variable, ce qui va vient repart, mécanique à créneaux et main courante. Tout ce qu’il y a de mouvements même infimes. Tant de bestioles ci présentes.

Compter, marquer, inventorier tout ce qui est autour. Faire état.

Bosser l’abandon, le détourer, le faire par l’envers.
Et puis en effet oui lui, ce rond troué que l’on nomme zéro et soi au centre

Texte : Anna Jouy
Illustration :  Il neige à Farinole – Locations I Stantelli
locations.i-stantelli.fr 1024 × 768

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Le Hasard

17 dimanche Nov 2019

Posted by ykouton in Anna Jouy

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Je n’ai rien décidé. Les choses se sont mises ensemble comme des dents de roues mécaniques. J’ai laissé tourner. Et l’engrenage.

Je n’ai rien décidé, je me dis. C’est venu, c’était sans doute nécessaire ou une proposition du hasard, une carte tirée par le sort. C’est ce sentiment qui domine. Le hasard qui vient et nargue la vie et la tente et l’agite et l’explose. Ça s’est présenté, je n’ai rien vu venir. Pas réfléchi. Juste mis le doigt sur le mystère jusqu’à ce qu’il m’attire, me mâche et me broie. Personne n’y voit rien, bien sûr. Mais j’ai l’âme cannelée, gaufrée de dentures, marquée laminée. Je suis un esprit torchonné. Même en lissant la feuille, puisque mon âme est de papier, même en la repassant sous mes doigts, il reste des lignes que je n’ai jamais écrites. Des lignes griffées pas la circonstance.

Dois-je me dire que c’est une peau comme une autre pour une âme humaine, un feuillet blanc froissé ?

Le hasard a-t-il une forme, un corps, une odeur, un aspect ? Je ne saisis pas. Entre mes doigts, je pince le vide ou le grammage de l’instant. L’éphémère qui déchire une page d’un texte inachevé. Ou qui embourbe l’imprimante. Une bourrée, un incident, un accident de rien et de personne.

La force qu’il faut au centre pour secouer le manège. Lutter contre les forces qui vous tirent et vous ensorcellent et les pousser vers le haut. Que ça sorte des gonds. Une puissance de dedans dont on ne sait jamais de quoi elle est nourrie. De honte ou de courage, de nécessité ou d’un séisme qui déboussole les mécaniques ?

Se projeter hors du circuit. Sortir de la route, de la roue. Bander son désir, le muscle de chair du désir, s’arque bouter aux contrebandes intérieures, pour faire le pas décisif, hors-la-loi de l’attraction. Dérailler. Changer est ce moment de puissance d’un simple hasard qui prend toute la place.

Je n’ai rien vu venir. Maintenant je sais quand la fortune a débranché la juste ligne de vie, comment j’ai manqué d’air une seconde et pourquoi je suis là… C’est parce que je ne l’ai pas voulu.

Texte : Anna Jouy
Illustration : www.reizen-en-reistips.nl

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Eclairage

30 mercredi Oct 2019

Posted by ykouton in Anna Jouy

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Quand j’avais encore l’occasion de poser des questions, quand il aurait été possible de forcer le secret de ma famille, je ne l’ai pas fait. Une pudeur ou une crainte face au silence choisi et cultivé de mes proches. Je redoutais qu’il y ait derrière les portes fermées, les histoires inachevées, dans les malles closes, quelque chose d’innommable. Si cette chose qu’ils taisaient tous allait être une monstruosité, si, la connaissant, j’allais enfreindre le plus grand des interdits, celui de la connaissance du bien et du mal ? Dans les histoires de secrets, il y a tous les mythes, tous les contes de l’enfance. Autant d’ogres que de marâtres, de princes que de nains, de pères indignes que de Poucet et de Cendrillon. Il y a des trésors, des clefs, des puits et des tours où dorment des infantes piquées aux rouets des sorcières. Et s’il y a un récit, c’est qu’à un moment ou à un autre, une des lois de ce monde a été violée.

Moi, je n’ai jamais osé désobéir. Le silence imposé ne pouvait se trahir. Mes vieux et mes très vieux sont tous enterrés dans le livre de leur vie. Plus personne devant moi ne garde la porte de Barbe-Bleue. Je suis dans le château aux multiples pièces. Mais comme une enfant sage, je n’ai jamais encore essayé de savoir ce que ces chambres, qu’ils ont cadenassées, contiennent. Les lieux interdits sont toujours clos, mystérieux et inquiétants, toute une aile abandonnée et même hantée.

Mais j’ai enfin le goût d’enfreindre les interdits, juste avant que les suivants ne puissent plus savoir quelle est la légende de leur vie. Je veux bien mourir mais seulement par une nuit de paillettes et de lune ou alors mieux, rallumer la lumière. Au bord de l’obscurité, je me convaincs de jeter mon allumette dans le puits.

J’ai des bras comme des ailes de moulin, cherchant le secret d’une haleine. J’étends mes manches, je laisse gonfler. Ha ! Le souffle des ancêtres… Il parlera qui sait un jour, il me dira peut-être, qui sait. Pour l’instant, il respire sans mot dire. Je mouds le désert. Tout ça, c’est de l’invisible et c’est dur de trancher son grain, balle et germe de part et d’autre. Mais c’est mon tour d’essayer, le mouvement de l’air passe par ici.

J’ai une espèce de malaise inclus, très au fond. J’ai toujours soif d’une boisson qui n’existe pas. Je marche dans l’ornière contiguë du chemin. Je n’arrive nulle part. Où est le vrai, le faux ? Pas de réponse. Je voudrais percer le mutisme. Le silence est une arme de sadique. Il prend des traits paisibles et d’autres alarmés ; chacun lui met les images qui lui paraissent justes. Seuls les yeux sont finalement capables de lui donner une forme. Par comparaison. Pour certains, le silence est un bienfait, pour d’autres une part essentielle de la musique, perforant de ses trous la carte du bruit sans discontinuer. Certains le voient à l’intérieur, d’autres au désert, sur la montagne… Il suffira d’une image pour que je comprenne la qualité du silence dont ils parlent. Le silence qui est à l’orée de la bouche des miens, ficelé comme une prise à la chasse aux dires, pendu sur le côté de mon voyage, est bien plus qu’un bâillon, une boule d’étoupe dans la gueule : c’est un silence libre. Une nacelle trop haut perchée, une nacelle sans balustres, dans un ciel irrespirable. C’est là qu’il me tient dans le néant de charbon. Et j’imagine, j’imagine des choses qui n’ont sans doute jamais eu lieu. J’attends une parole qui étende l’épais où je suffoque.

Texte : Anna Jouy
Illustration :  www.memoireonline.com

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El Chapo

10 jeudi Oct 2019

Posted by ykouton in Anna Jouy

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Il a entendu. C’est comme dans les films. Tout pareil. Devant le public, il a entendu la sentence. Il regarde autour de lui. Ce sont ses derniers moments avec la foule. D’elle, il sait qu’il ne connaîtra plus jamais les regards, les odeurs et le bruissement des lèvres. Il est debout. On a dit que c’était pour la vie. Que c’était pour la mort plutôt. La mort lente. Alors il a regardé tout autour. Les murs, l’air immense de la salle de ce tribunal. Là où il a crû vraiment longtemps que jamais il n’entrerait, puisque jamais il ne serait pris. Quand il festoyait dans les richesses et dans le luxe… Il a pensé qu’il avait tout pour gagner, toujours, et que ça durerait vraiment, vraiment. Il avale ce monde autour de lui, ces hommes, ces femmes venus savourer sa condamnation, sa défaite. Il avale les figures, les parfums, les respirations, les couleurs de tous ceux-là, parce que c’est sûr, c’est dit, -ils l’ont affirmé- il en a pris pour le reste de sa vie.

Il a bien fait avant, de tout essayer, même la bonté, les cadeaux, les appuis ! Il a tout essayé avant. Le luxe affolant, les boissons, les ivresses, les plats les plus chers et aussi les petites galettes de maïs dans la rue, le soir. Il a goûté à mille femmes, jamais la même, sauf Maria qu’il n’a jamais eue. Sauf Maria, elle doit bien rire cette garce ! Il a testé le jour, la nuit : chaque heure de sa vie, il a flambé, de l’enfance à cet instant où il sait que c’est la nudité absolue qu’il va essayer, pour la première fois.

Le monde, il l’a si bien connu, les besoins des hommes, des femmes, la misère des siens, des travailleurs, la maladie, les maisons en loques, le désespoir des peones. Leurs fêtes excessives, leur ivrognerie, leur joie à bout de fusils, ces moments où ils se sont senti exister, quand lui, il les menait, quand lui les commandait, sous la terreur certes, mais aussi avec des poignées de dollars. Il a avalé la vie d’un seul trait.

La mort aussi, qui a revêtu tous ses costumes pour lui. Celui de la faim, de la crevure oui, celui de l’âge extrême bien sûr. Mais aussi les habits sanglants de cette mort qu’il a distribuée à tour de bras, pistolet sur la tempe, couteau lacérant la gorge, dynamite, mitraille… Qu’importe ! Oui, il en vu des yeux s’égarer sur la frontière de l’au-delà, le cherchant, s’accrochant à lui, interdits, stupéfaits ou haineux. Et puis cette autre charogne cachée, qu’il a cultivée dans ses plantations secrètes de coca, celle qui valait tant d’or, celle qui l’a enfermé, lui, dans le box des accusés.

C’est son dernier regard, qu’ils en profitent aussi ces soi-disant justes, ces clameurs de vengeance, parce qu’eux non plus, ne pourront plus le scruter, le narguer de leur violence, ils ne pourront plus rien lui faire, plus rien pour l’atteindre.

Il sait bien où on va l’emmener. Ils ne savent pas faire mieux, ils ne peuvent pas faire mieux ! Ils auraient aimé lui administrer un lent poison qui l’aurait fait souffrir longtemps, baver d’effroi en se sentant partir vers l’autre monde. Mais ce ne sera pas ainsi : il va être jeté dans cette petite cellule étroite, toujours allumée, avec ces chiottes à terre et la couche dure. Et puis il restera là, avec parfois un œil surgissant dans un guichet pour s’assurer qu’il ne va pas crever avant d’y avoir passé une longue vie. La lumière comme un soleil des fous, le silence comme un boucan d’enfers, et lui comme le monde entier, toujours empli de vie et de souvenirs, toujours plus flous, toujours moins vrais et sa voix qui s’étouffera contre les murs lorsqu’il dira… C’est moi El Chapo…

Texte
: Anna Jouy
Photo : Official Website of the Department of Homeland Security

 

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26 jeudi Sep 2019

Posted by ykouton in Anna Jouy

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Types_de_plumes._-_Larousse_pour_tous,_-1907-1910-

Des jours se suivant, des semaines. Je me sens rompue, une branche cassée dont seules quelques filandres gardent l’apparence intacte. Le temps finit par rendre aussi sa copie et il m’écrit qu’il en a assez de se perdre en moi. Il ne comprend plus mon langage, il cherche sa voie dans la mienne. « Explique-moi ce que tu cherches, explique-moi. Développe ta vision des choses, donne-moi ta définition de ce travail qui encombre mon espace. Dis enfin ce que tu veux écrire. Montre-moi que tout ça n’est pas qu’un simple fleuve de mots dans lequel tu essaies de me noyer. »

Je ne sais pas sont les mots qui traînent sur ma langue. Sur la langue aussi, comme des douaniers arrêteraient le flux de bile de ma prétentieuse contrebande. Je laisse filtrer ces syllabes, espérant d’elles, qu’elles emportent secrètement dans leurs doublures tout ce qu’il faudrait savoir. Puisqu’un jour il y eut un seul mot et qui contenait tous les autres… Comment savoir ?

Je doute. C’est une pensée si forte qu’elle transpire des auras et des tristesses que mon corps retient. Je doute, couleur grise d’insipides moments refusant la migration des lumières. Cette masse qui détruit les édifices péniblement échafaudés, boule de fonte lourde, boulets, canonnade dans mes châteaux de cartes et mes monuments d’allumettes. Ce que j’ai cru solide, ce que j’ai cru moi, pour de vrai, qui n’est que légende et que quelques mots peuvent chavirer et dévaster. Chiquenaudes.

Me demande si… Alors les paroles ne cessent de manager le tournis, l’ivresse, la mouvante association des mots entre eux. Ceux qui affirment, ceux qui nient : la balance joue au pendule, monte et descend, je me demande oui ou non ou oui encore. L’inquiétude du choix, de la décision quand tout et son contraire semblent se justifier. L’anxiété de prendre de faux chemins, de me fourvoyer avec ces suppositions. La question que je me pose n’a jamais de réponse.

Qu’en dites-vous ? Oui vous, qui avez des certitudes, des avis sur tout, que me dites-vous ? Votre parole est une boîte d’outils, de cisailles. Vous taillez franchement, les idées vous obéissent, vous redressez les jardins, redressez les murs d’aplomb. Et même les niveaux et leurs bulles d’air vibrantes sont figés. Vous savez et vous dites. Et si votre choix était le meilleur pour moi aussi ? Si vos idées pouvaient être les miennes, si j’appuyais mon chemin contre votre dos, si je grimpais sur vos épaules, si vous me portiez, vous qui savez dire, quand j’ai tant de questions encore informulées ?

Le poème vient d’un monde sans science. Je ne choisis pas. Je n’ai rien soupesé, je n’ai pas arrêté le jeu du pendule, je n’ai rien affirmé… Rien, ce je ne sais pas, qui me ressemble.

Peut-être simplement l’essence instable d’un temps en images ?

 
Texte : Anna Jouy
Illustration : Plumes. Illustré par Adolphe Millot dans Larousse pour tous [1907-1910]

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