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Les Cosaques des Frontières

~ refuge pour les dépaysés

Les Cosaques des Frontières

Archives de Tag: Pensées d’un passeur

and this one … is for Hasselmann

06 mardi Mar 2018

Posted by lecuratordecontes in Jan Doets

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Pensées d'un passeur

Notre ami Dominique Hasselmann est bien connu pour ajouter, souvent, aux articles sur son blog « Métronomiques » des tracks de jazz, je veux dire du VRAI jazz!

La grande partie que l’on écoute ces jours sous le titre ‘jazz’ est un mélange de pop et classique, joué avec des visages en contorsion comme si on est en train d’accoucher d’un bébé ou autre chose. Mais Dominique, comme moi, il aime le jazz pur, les improvisations qui swinguent. Le jazz de notre jeunesse. Que l’on joue en veston, avec cravate.

Voici Dominique, en témoignage de ma gratitude,  je vous montre les espoirs pour le futur, des jeunes dans leur vingtaine, rassemblés  pour l’occasion du festival de Marciac autour de Wynton Marsalis , des jeunes qui montrent que malgré Trump tout n’est pas encore perdu pour les États-Unis d’Amérique.

La danseuse Michela Lerman… le bassiste Russell Hall… le batteur Kyle Poole qui bat comme il faut : « avec  de l’autorité”, le pianiste Mathis Picard, 22,  d’extraction française (son solo incroyable à partir de 13m43s, touches d’Art Tatum), Anthony Hervey sur la trompette, le solo formidable de Ruben Fox au début, et cetera et cetera plus les solos extraordinaires de Michela Lerman à partir de 7h05. Regardez l’admiration et l’étonnement sur les visages des jeunes musiciens quand ils écoutent les improvisations de leurs compagnons… le visage intéressé du ‘vieux’ Wynton…

C’est dans un tel milieu que jouait votre vieux Cosaque dans les années 1950 et 1960 … la clarinette, le piano et la batterie,  il ne l’a jamais oublié, ça fait couler le sang si longtemps.

 

Texte : Jan Doets

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Un mot de l’éditeur

24 vendredi Mar 2017

Posted by lecuratordecontes in Jan Doets

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Pensées d'un passeur

jan doets

En retraite depuis les années 1990, je passais mes jours avec des belles occupations que je n’avais pas pu pratiquer régulièrement depuis mon enfance: écouter de la musique, lire des livres en plusieurs langues. Puis, en 2012, j’assumais à nouveau une forme de travail: je m’établissais sur le web. Au début avec mes trois blogs du Curator, puis, à partir d’août 2013, avec le blog Les Cosaques des frontières et à partir de juin 2015 avec les Éditions QazaQ.

Mais tout ceci est devenu très prenant, un certes très joli boulot, mais lourd et qui m’occupe du petit matin au soir.

J’ai décidé de prendre ma retraite pour la seconde fois de ma vie afin de revenir à mes passions bien trop négligées depuis 2012 : la lecture, la musique, l’écriture et les promenades.

Je n’ai pas pris cette décision légèrement. Tous ces derniers mois, j’ai lutté contre cette idée, en balançant les pour et les contre, mais surtout en pensant à vous, mes amis qui m’avez soutenu généreusement avec tant d’intérêt et d’enthousiasme. J’ai pris ma décision.

1  J’ai déjà interrompu l’existence des trois blogs du Curator – en trois langues – tout en gardant leurs textes sur mon disque dur. Qui sait, un jour, je pourrai convertir les 50 épisodes de Moussia en un livre sur papier?

2  Dans quelques jours, je vais clore le site des Éditions QazaQ. C’était une belle aventure que s’est regrettablement échouée. Depuis un an, les ventes et téléchargements (qui étaient déjà minimes), se sont réduits à un ou deux par mois. Triste mais pas déçu. Comme un pêcheur au bord d’une rivière. Le temps, l’air du temps a fait que les poissons n’ont pas mordu et pêcher c’est aller à la rencontre de l’inconnu. Le pêcheur n’y peut rien. Il a fait ce qu’il devait, il a profité des heures au bord de l’eau . Il ne regrette pas son temps.

Ce blog très bien lu «Les Cosaques des frontières – refuge pour les dépaysés» continuera d’exister. Je ferai encore paraître des nouveaux textes. Mais je vais me retirer de Twitter et Facebook, comptant sur mes 190 abonnés solides pour faire suivre la distribution. En ce moment, le blog est lu régulièrement par quelque 350 lecteurs par mois, et par quelque 500 passants par mois d’extra.

 

Texte : Jan Doets
Photo: Giovanni Merloni, 2013

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800 vœux de bonne année

04 mercredi Jan 2017

Posted by lecuratordecontes in Jan Doets

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Pensées d'un passeur

Chers lecteurs,
En ce jour du 800e article paraissant sur ce blog, le Cosaque vous souhaite une très belle année 2017. Un vœu ambigu dans un monde qui devient de plus en plus immonde? Ça dépend du point de vue.

Immonde oui, quand on regarde la situation politique sur tous les continents, la haine entre les extrémistes des religions, l’absurdité du grand argent, du chômage. Immonde aussi, quand on reçoit la nouvelle de la terrible maladie d’une chère amie.

Quand on pense à ces étendues de plastique qui flottent sur les océans et d’autres vilénies. Aujourd’hui, il est très difficile de rester optimiste. C’est comme si on revivait les années 1930 mais en pire. Le monde court à perdre haleine dans la fausse direction. On a perdu la tête.

Il ne nous reste que de petites choses pour nous rendre heureux. Le sourire d’une amie, la compréhension entre nous tous.

Être heureux avec l’écriture, les mots écrits, spécialement les mots de tant de vrais artistes qui n’arrivent que rarement ou pas du tout à être publiés par des éditeurs sur papier, ceux-ci étant trop souvent devenus des loups pécunivores, déclarant des texte sublimes mais au rapport financier improbable comme hors de ligne éditoriale.

L’écriture. En août 2013 j’ai commencé ce blog, Les Cosaques des frontières, refuge pour les dépaysés pour offrir un lieu commun aux individus pour qui les mots sont de « buées »de sauvetage. Cet article est le 800e. Sans compter la centaine d’articles enlevés du blog après leur parution sous forme de livre électronique aux Éditions QazaQ , mon initiative de juin 2015, et dont le catalogue compte 38 livres maintenant. Chaque mois, le blog des Cosaques des frontières est lu par quelque 500 lecteurs qui reviennent plusieurs fois par mois, dont 183 abonnés. Lecteurs en 40 pays dont la plupart vivent en France et aux États-Unis. 

De petites choses peut-être mais plutôt réussies et douces dans ce monde si misérable, n’est-ce pas ?

Recevez mes amis les bons vœux de Jan Doets.

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À l’aube de cette nouvelle année

01 vendredi Jan 2016

Posted by lecuratordecontes in Jan Doets

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Pensées d'un passeur

1 janvier 2016

Mes chers lecteurs et auteurs,

Je vous souhaite un très créatif Nouvel An en bonne santé, en vous remerciant de tout mon coeur pour votre soutien et fidélité en 2015, une année prospère pour Les Cosaques des Frontières et les Éditions QazaQ.

Très amicalement

Jan Doets

J’ai prise la photo de ma fenêtre, cliquez dessus  pour l’agrandir

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La poésie : étranger et, oh … si familier

29 samedi Août 2015

Posted by lecuratordecontes in Jan Doets

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Pensées d'un passeur

Joseph Brodsky 2003

« Je rentrerai quand tomberont les fleurs de l’acacia… »

Un beau texte de Christine Zottele paru sur ce blog en février 2014 a réveillé en moi un souvenir.

Elle nous racontait le retour à Niregyhaza, en Hongrie, d’Andras, prisonnier de guerre hongrois,  transféré provisoirement dans un hôpital psychiatrique de l’ex-URSS, où il avait passé cinquante-trois années. Il n’avait pu retenir son identité et sa langue maternelle, qu’en écrivant sur les murs verdâtres et glauques du pavillon des agités, les paroles d’une vieille chanson hongroise qui parle d’acacia… Cette chanson lui avait été chantée quand il avait dix-neuf ans, par sa petite-amie Erzebet âgée de seize ans avant qu’il parte au front. Elle, veuve, après une vie pleine des bonheurs et deuils normaux mais sans qu’elle ai jamais oublié son Andras, était venue à la gare pour assister à son retour. Quand il est descendu du train, elle a chanté leur chanson, mais lui ne se souvenait pas de son amie. Lorsqu’il lui a été demandé s’il se souvenait d’une chanson hongroise d’antan, il s’est mit à sourire et fredonner la chanson de l’acacia.

Mon souvenir. En l’automne de 1995, j’ai vu sur la TV néerlandaise une série exceptionnelle. Cinq soirées de quatres heures, de vingt heures donc, d’un programme d’interviews sur un seul mot : ‘le souvenir’. Les merveilles et les tromperies de la mémoire. Le programme s’appelle ‘Vertrouwd en o zo vreemd’: ‘Familier et, oh, si étranger’. Ce ‘conte télévisé’  peut encore  être acheté en DVD. Le plus souvent on parle anglais. L’animateur, Wim Kayzer, avait invité en 1994 dans un petit chateau à l’est des Pays-Bas la crème de la crème mondiale pour les territoires de la neurologie cérébrale et de la psychologie, du monde  littéraire, une pléthore de personnes uniques: des scientifiques, des personnes traumatisées, des idiot-savants, des chanteurs, une patiente de la maladie d’Alzheimer,  des poètes, des gens d’une mémoire exceptionnelle. Ils les interrogeait en petits groupes, ou seuls, autour d’une table, dans l’intimité d’une chambre, plusieurs fois. Le projet prenait plusieurs mois et le montage du film presqu’un an..

Willem Kayzer reste toujours hors écran mais pose ses questions et  fait ses commentaires en voice-over. Sa question principale : “Allons-nous jamais  comprendre un peu de notre conscience sans  tout d’abord  saisir la couche sur laquelle elle flotte : la mémoire et le souvenir ?”

L’histoire de Christine m’a fait me souvenir surtout des heures pour moi particulièrement émouvantes, en intimité  autour d’une table avec l’immortel  Joseph Brodsky, l’auteur nigérien Ben Okri, et l’auteur péruvien Mario Vargas Llosa. Joseph Brodsky, nerveux, fumant, donnant parfois, faussement, l’impression d’être indifférent puis éclatant en de longs monologues passionnés qui révélaient son absolue présence dans la conversation, tout en parlant rapidement, allant en avant avec conviction, hésitant parfois, allant en arrière pour reprendre une nouvelle route, séparant  ses observations à grande allure par ses ‘etceteraetcetera’, plutôt staccato etctraetctra.

Leur conversation m’est resté inoubliable, ils ont parlé de leurs traumes et leur façons diverses de les conquérir, ce billet n’est pas le lieu pour tout résumer. Dans le contexte du thème de ce texte il suffit de parler des idées de Brodsky sur la poésie et les poètes dont il dit “nous articulons le monde”.

Il racontait qu’ il avait pu  supporter ses années en camp de travail et surtout dans les hôpitaux psychiatriques en Russie, par les lignes de poésie qu’il avait enrégistrées dans sa mémoire. Très pessimiste sur le futur du monde, il racontait qu’il avait fait mémoriser par ses étudiants à New York entre 1500 et 2000 lignes de la poésie de plusieurs poètes, en mètres diverses, qu’ils devaient toujours avoir disponible ‘comme des allumettes’ pour s’en souvenir au moment d’une catastrophe, “je crois que la poésie donne les chances meilleures pour la survie de notre civilisation.” À quelques 3-4000 étudiants, pendant des années, il disait, “et s’ils en peuvent souvenir,  je n’ai pas gaspillé mon temps”. Il fit ces remarques pour souligner sa préférence pour la rime.

La poésie. Elle me touche – pourtant je ne suis pas un poète. La musique me touche – pourtant je ne suis pas un compositeur. Pour moi, la poésie est de la musique écrite et dite. On en écoute  les notes et les accords de mots. Je m’étonne que l’on traduise des poèmes en une autre langue, car comment traduire les notes, la sonorité originelle, avec un sens deviné des mots ?

Le plus de tout, la poésie est,  pour moi, le mot écrit de loin qui est plus fort que le mot dit de près. La poésie a beaucoup en commun, pour moi,  avec les mots des correspondances entre ceux qui ne peuvent pas se toucher, les Abélard et Héloise. Comme les poètes, ces correspondants voient de loin que l’on ne voit pas de près. Ils voient l’essentiel par manque du banal du quotidien, réfléchissent avant d’exprimer son sentiment, prennent beaucoup de temps pour écrire un texte bref (au lieu d’un long texte par manque de temps, ou par manque de concentration ou de sentiment profond).

Ainsi, de loin, on peut se souvenir pas seulement de son passé mais aussi de son futur. Ainsi on a, je pense, comme les poètes, une mémoire vers l‘avant, a forward memory. On est étranger et, oh … si familier. Je le sais.

Joseph Brodsky mourut quelques mois après les émissions, en janvier 1996. J’ai visité sa tombe en 2003. Il repose sur l’île cimetière de San Michele à Venise. Pas facile à trouver. J’ai suivi les flèches quasi-invisibles donnant la direction Russe Orthodoxe, tout à l’autre bout de l’île, où se trouvent les tombes de Stravinsky et Diaghilev. Là-bas, je l’ai trouvé finalement.

On avait déjà changé la croix que l’on y avait posé en hâte, en 1996,  pour une pierre tombale plutôt  juive, sur laquelle on peut poser des petits caillous, symboles de l’éternité. Normalement on ne met pas de fleurs ou plantes sur une tombe juive. Pourtant,  comme on peut le voir sur la photo que j’ai prise, Brodsky est universel. Et dans un pot de confiture vidé, quelques dizaines de bics et de crayons.

Je le sais. Mes mots de loin:

L’onzième commandement
Tu
ne mourras point
je t’en prie

Texte et photo: Jan Doets, reprise de 11 février 2014
Le texte de Christine Zottele : « La Promesse »de 10 février 2014
Poème: ma traduction de « Das elfte Gebot » de Michael Krüger: «Kurz vor dem Gewitter», Gedichte , 2003.

Das elfte Gebot
Du sollst
nicht sterben,
bitte

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