
À la mémoire de Lise Bonnafous et de Nathalie Filippi et à tou(te)s les immolé(e)s du silence…
« Un jour j’écrirai tous les jours. En attendant, j’écris de petites choses. L’été 2013, j’ai rédigé ce petit roman parce que je ne parvenais pas à écrire la lettre de démission destinée à l’Education nationale. J’ai découvert grâce à Jan Doets qu’on pouvait tourner la page dans les deux sens. Je lui en suis reconnaissante, aussi pour ça. Il a fortement contribué à la construction définitive de ce récit, ce qui en facilite la lecture. »
Photo couverture : Philippe Marc