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Les Cosaques des Frontières

~ refuge pour les dépaysés

Les Cosaques des Frontières

Archives d’Auteur: ykouton

La fiancée du Minotaure

01 mercredi Fév 2023

Posted by ykouton in Grégory Rateau

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1

Lui, avec sa gueule de Minotaure

crinière laquée de graisse

yeux globuleux, injectés

d’une lueur rouge vif propre aux initiés

vivant entre les enluminures de livres rares

capable de les citer de mémoire

d’en faire des refrains coup de poing

aujourd’hui, les pages sont déchirées

il les utilise pour retrouver son chemin

dans les nuées obscènes du hachich

2

elle, gracile, chevelure nègre

avec cette pitié maternelle

entremêlée de haine

après seulement quelques verres

voilà que ses visions reviennent

la Gitane en elle se réveille

fille de la Terre

la fièvre entre les jambes

dans l’attente d’un Thésée libérateur

elle danse jusqu’à l’extase

l’oubli de son serment

défaire par ses imprécations nocturnes

les liens empoisonnés

3

elles sont loin les unions cannibales

il ne reste plus que de vagues coïts amnésiques

migraine sur migraine

relents acides

effluves d’humidité rageuse

visions de ces choses grouillantes

jusque dans sa tête

demain, elle l’abandonnera

pour vivre en pleine lumière

si tant est qu’elle s’en souvienne

qu’elle trouve seule, l’issue du labyrinthe.

Extrait d’Imprécations nocturnes chez Conspiration éditions – Illustration : Pablo Picasso

Grégory Rateau est un écrivain et poète français né en 1984 dans la banlieue parisienne et vivant aujourd’hui en Roumanie où il dirige un média. Il est l’auteur d’un premier roman, Noir de soleil, chez Maurice Nadeau (sélectionné au Prix France-Liban et au Prix Ulysse du premier roman 2020) et d’un premier recueil très plébiscité, Conspiration du réel, chez Unicité. Ses poèmes sont valorisés dans plusieurs anthologies et dans une trentaine de revues en France/Corse, Belgique, Suisse, Roumanie, Portugal, Pérou, Haïti, Espagne et Italie (Arpa, Europe, Esprit, En Attendant Nadeau, Verso, Place de la Sorbonne, Points et Contrepoints, Le Persil, Traversées, Bleu d’encre, Recours au poème…). Son nouveau recueil, Imprécations nocturnes vient de sortir chez Conspiration éditions ainsi qu’un livre illustré de ses poèmes en collaboration avec le peintre Jacques Cauda, Nemo, chez RAZ éditions.

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Chemins

30 lundi Jan 2023

Posted by ykouton in Anna Jouy

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J’ouvre mon œil le prophète
Là-bas, après le dépli des jours, les puits de sang
Derricks sombres de la guerre turbinent la misère
J’en ramène les cœurs broyés des fils
Le carburant de ma peur.
Alors
J’efface le futur d’une paupière propre
J’ouvre mon œil l’impuissant
Ici, encore cette pâleur caressante de l’aube
Les corbeilles de l’amour sont pleines
Je ferme les cartes de l’avenir
De mon cœur à celui des hommes
Le présent est le chemin

Dimanche, le creux de mon corps, poquet d’amour et d’histoires, se remplit de cloches et de souvenirs.
Qui étais-tu enfant qu’un appel de ballons sonores éclatant dans le ciel, engageait à se joindre à des cérémonies mystérieuses.
L’enfant comprend les cloches, aucun besoin de lui apprendre. A elles seules, elles prient, d’une élégance enchantée, elles prient.
Cette joie quand l’appel surprend
Cette paix de la voix céleste
Et cette mélancolie ensuite d’airain fidèle
L’Amour habite l’air, longuement silencieux, l’entends-tu encore
Puis Dimanche éclate, « enfant je ne t’oublie pas… »
Je souris

J’aimerais être de ces essences oubliées, qu’on n’a jamais regardées et qui dans leur sol solitaire finissent lentement leur vie en séchant. Oubliées des mains cueilleuses, des faux, cachées sans même le vouloir par d’autres, lentement calmement perdant vie et couleurs quittant ce monde comme une buée de couleurs et de parfums.

Texte/Illustration : Anna Jouy

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Zinc

26 jeudi Jan 2023

Posted by ykouton in Pierre Vandel Joubert

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reste au bar mon ami
personne ne t’attend
et reprend un verre
je serai moins seul
à parler de la mort

par les anciennes routes
quand la joie faisait loi
sur le goudron du zinc

reste au bar mon ami
brûle l’histoire
et reprend un verre
je serai ton ami d’un soir
à parler de la vie

même si on fait semblant
à deux on a moins peur
des os sous la peau

reprend un verre mon ami
je t‘ai parlé de Marie ?
et de Joséphine ? non ?
tu es de Paris ? tu te souviens d’avant?
non c’est pour moi la prochaine

même si on est tremblant
on fait semblant de croire
que l’on est encore vivant

putain de connard ! reste je te dis
sinon je cogne ta race

tu sais pas qui je suis
j’ai connu des déesses
et les sublimes abîmes

espèce de merde ! je vais te fracasser
tu sais pas qui je suis
tu sais pas
tu sais pas
…
perdu au petit matin
corps gelé et rideau tiré

Texte : Pierre Vandel Joubert

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Ah Idée – Jacques Cauda

23 lundi Jan 2023

Posted by ykouton in Jacques Cauda

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Le sublime est toujours semblable à lui-même. Il suffit de
Regarder mon pied au bout du pied, l’orteil pour tout dire. Cette ordure étincelante, selon Bataille.
Ou quelque chose d’approchant. D’antithétique. L’ordure/L’étincelant
L’expression suraigüe du corps humain est l’expression de son désordre
Je me souviens de mon pied fatigué sur le chemin de Turin
Où découvrir la folie via Carlo Alberto
Et Pavese et le Saint-Suaire
Tout en marchant je pensais :
En marchant les femmes peuvent tout montrer mais ne rien laisser voir
C’est comme peindre le vouloir peindre, non, pas le vouloir
L’Idée …

Grâce et jouissance au bout de mon pied qui roule
Sur le chemin des hanches de la femme qui marche devant moi
En prenant racine dans mon œil ma main qui va
La dessiner
Elle et l’Idée que mon orteil s’en fait
La trace de mon pas
Qui dit oui à son non qui ne veut pas
Se laisser (aller à) voir

Elle sera à la ressemblance
D’un pied délicieux noir d’ordure

Ah tout est belle insanité !
Mon amour, lui dirai-je
Plus loin

Texte/Ilustrations : Jacques Cauda

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Plongée D’hiver – Pièce de Jean Dupont aux Editions QazaQ

20 vendredi Jan 2023

Posted by ykouton in Jean Dupont

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Au fil de monologues et d’un épilogue, ce texte-pièce de Jean Dupont déploie une impressionnante réflexion sur le récit. Comme le lieu d’une expérimentation infinie. Mise en abîme, que l’on pourrait résumer par cette seule phrase issue de « Plongée d’hiver » : « tout se fait et se défait en moi ».

L’éternelle ambivalence du langage face aux mille chemins qu’une histoire – que l’Histoire ? – peut prendre. Avec ce texte, d’une profondeur et densité sidérante, Jean Dupont s’inscrit dans le travail d’un Bernard-Marie Koltès. De cette approche théâtrale radicale où la solitude est une parole déréglée proche de la folie. Elle déploie pourtant un univers au-delà du réel, aux limites surréalistes, mais surtout aux confins de ce que la poésie permet. C’est-à-dire à peu près tout, une fois que l’on a compris qu’elle est la perturbation absolue du discours. Les nuages parlent, le récit n’est qu’une énigme, un mystère. Et la scène le réceptacle d’un secret. L’éclairage de l’exil, d’une étrangeté consubstantielle à l’existence.

Cette étrangeté que le langage ne parvient pas à cerner. Sauf si l’on recourt à la poésie. Dont la puissance agit comme une véritable force de déplacement mental. « Plongée d’hiver » nous oblige à cette confrontation. Beauté pure du texte qui transcende l’évidence première, la matérialité trompeuse de la logique langagière et d’une narration cohérente. Cette illusion à laquelle on s’attache, avant de s’y résigner. L’abandon du rêve, d’un champ des possibles. Jean Dupont fait de la scène le lieu de la renaissance. Voire de la révélation. Le récit n’est qu’une construction reposante mais terriblement limitée, comme une prison mentale, dans laquelle l’humanité finit par échouer. Le malheur commence très exactement là. Quand toutes les portes du récit se referment sur elle. Une échappée est possible.

Yan Kouton

******

Parler d’un texte, est toujours un exercice risqué, d’autant plus quand il s’agit de l’introduire à quelqu’un. Cela demande une certaine forme de délicatesse, afin qu’une première lecture n’empiète pas sur l’autre. Y conserver un espace, donc. Une ouverture.

Quoi dire, et ne pas dire ? Et surtout, comment le dire ? Par où commencer ? Et où s’arrêter ?

Dans la mesure où Plongée d’hiver résiste, échappe, (et c’est peut-être là son geste initial) à qui voudrait l’attraper dans les catégories littéraires existantes, il va falloir tourner un peu autour. Ni tout à fait roman, ni tout à fait poème, ni tout à fait théâtral au sens aristotélicien, ni tout à fait théâtral au sens romain, ni tout à f… on s’y perd rapidement. Pourtant Jean Dupont a tranché : il affirme et défend ce texte, comme d’ailleurs tout le reste de son travail à ce jour, comme étant du théâtre.

Il entend par là une certaine qualité de parole, au sens où comme le dit Philippe Lacoue-Labarthe

la phrase – la littérature – est orale.

Il y faut la voix.*

La voix, et donc aussi le corps, une certaine qualité d’écoute et de présence. Il faudrait essayer de lire comme un acteur ou une actrice le fait : lire, non pas avec emphase et expression, mais avec attention.

Lire avec son corps, avec les yeux, la langue, la main, les oreilles, le nez, la peau, les poumons.

Lire pour sentir, pour respirer,

lire comme on s’en va marcher en forêt, curieuses, craintifs, à l’affût

de tous les bruits

de tous les corps

de toutes les voix

Lire sans s’inquiéter de ne pas comprendre – on comprendra

Plonger

(*Phrase, Philippe Lacoue-Labarthe, éditions Christian Bourgois)

Mathias Rouche – metteur en scène du spectacle tiré de la pièce

****** 

Extrait :

« non – non – je ne peux pas voir cela – non – je ne comprends pas ce que tu dis. Je ne comprends pas ce que tu dis, non, Non ! je ne comprends pas ! – ta parole continue, ta parole continue, ta parole ne passe pas – ta parole n’est pas le couteau dans le ventre : pas plus la pierre jetée dans l’eau elle est l’impact qui n’arrête pas de rayonner et traverse mon corps, la lumière d’un soleil qui éclabousse. Je ne peux pas « Je ne peux pas » voir cela, et tout se noie autour • Mais ! Mais si je ferme les yeux, comme deux ailes deux rameaux deux volets, si je ferme les yeux et si comme un oiseau plonge dans un lac je peux oublier ta parole si comme fondue à cette seule et absolue fossile-vague-chute-soleil-clochette direction je peux descendre ta gorge, poitrine, ramper,, trempée,, dans la bouche ouverte et tellement heureuse du ruisseau dans le bruit de l’eau qui coule dessous mon ventre dans le tunnel-tu ne m’aimes plus peur-pâte-râle-ravale où mes oreil’les tom’bent et où mes deux mains deux deux pieds s’enfoncent s’enfoncent s’enfoncent dans le trou introuvable où l’on touche le visage des secrets avec des doigts neufs : « et que et que » : et qu’enfin arrivée à cette seconde rouge et vivante cette seconde-mal moment mauvais_cette seconde comme un animal « et que », où ce mot MAUdit de « pirAte » est rentré comme un ver : si arrivée à cette seconde et si celle-ci entre mes mains (mains amoureuses trop amoureuses) si arrivée et si à cet instant je peux parler enfin à ton cœur, : alors je ne te changerai pas, alors je n’en aurai même pas envie, de te changer te dire de rester ou seulement de me donner un regard comme avant ; je tournerai, je tournerai ton cœur, les rires d’enfants, les joies invasives que tu as semées partout dans tes sillons, dans tes tourbillons [quelques-unes en moi ont germé], tout, je tournerai tout, les années parties en courant, nos deux mains qui ensemble ont poussé comme un fruit, chacune dans la bogue de l’autre, je tournerai ma mère, mon père mon frère et Tout ! Tout ce que l’amour a fait perdre a fait aimer perdre à ta liberté et être vaincue, Tout, je tournerai tout vers cette forêt qui te protège, vers cette immense famille qui t’aime, et vers cette guerre qui est la nôtre, qui marche sur ses deux jambes et qui nous regarde. »

plongee-dhiverTélécharger

Plongée d’hier – Jean Dupont – Editions QazaQ – ISBN : 978-2-492483-59-2

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