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~ refuge pour les dépaysés

Les Cosaques des Frontières

Archives de Tag: Brigitte Celerier

Perdu

06 jeudi Juin 2019

Posted by lecuratordecontes in Brigitte Celerier

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Brigitte Celerier

pour les cosaques - perdu

Il aimait la mer depuis l’enfance, ou avant,

il aimait la mer depuis ce temps où il n’était pas encore

et je l’aimais bien

il était gracieux comme un petit page et sérieux comme un vassal

quand il souriait il devenait lumière, quand il se taisait il était silence bruissant d’idées tues,

et quand il franchissait le portail, quand on le cherchait on le trouvait toujours, ou presque – il avait au grand soulagement de ses parents des amours passagers pour des petites fées-lutins et des admirations pour des grands qui s’arrêtaient au moment de devenir leur homme-lige – on le trouvait donc toujours ou presque au bout de la rue, au ras de la plage, fermement planté devant la mer, les pieds à peine enfoncés dans le sable, les mollets tendus…

Ce jour là, quand nous sommes revenus, adultes et adolescents, d’une petite réception faussement improvisée et très réussie, quand, en riant, nous sommes descendus des voitures sur le sable de l’enclos, les six petits attendaient groupés, graves ou apeurés… quelqu’un a demandé «où est Jules ?» et des cinq voix se chevauchant, pleureuse, criardes ou murmurantes, avons deviné «il a disparu, dis-pa…»

La voix forte du père «qu’est-ce que c’est que cette histoire ?»

et celle de la mère «Marie !»

Elle est arrivée la Marie, a tapoté sur deux ou trois petites têtes, a dit «le goûter vous attend sur la table devant…» et puis, à nous : «il est sorti vers la plage, il aimait trop la mer cet enfant»

et comme la mère s’affolait «le grand Jean y est allé…»

Alors sommes partis en courant, et il était là, Jean, la bouche ouverte, les yeux plissés comme pour chercher à mieux voir, et à côté il y avait Jules, ou du moins ses mollets, dressés bien droit, mais rien, plus rien, au dessus

Jean a dit : «il faut attendre, il s’est perdu à la suite de ses yeux dans la mer, mais il va se fatiguer, il reviendra, il a laissé ses jambes…»

Monique, la mère, a commencé à pleurer. Je me suis assise et je reste là sur le sable en attendant de trouver comment finir cette histoire, et puis finalement ce n’est pas la peine.

 

 

Texte et photo : Brigitte Celerier

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Vie de loin

05 dimanche Mai 2019

Posted by lecuratordecontes in Brigitte Celerier

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Brigitte Celerier

Par sa fenêtre

elle regardait le monde

vivant dans la nuit.

Son coeur palpitait

au rythme des lumières

depuis son abri.

En un brusque élan

elle se tendait sans risque

vers cette ville.

Mais en souriant

elle caressait le mur

de son cher abri.

Laissait son rêve

s’élancer, se promener

à travers les rues

et le protégeant

s’allongeait, fermait les yeux,

tout doux s’endormait

 

Texte : Brigitte Celerier
Photo : Béatrice Clopès

 

 

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Effroi

25 jeudi Avr 2019

Posted by lecuratordecontes in Brigitte Celerier

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Brigitte Celerier

pour les cosaques - l'effroi (Caroline Leite)_modifié-1

Je le voyais ferme et indifférent. Il promenait dans la vie, dans la ville, parmi nous, ses courtes boucles, son cou épais, ses larges épaules et ses deux longs yeux cachés sous leurs paupières à demi-baissées, immobiles comme des auvents, de chaque côté du nez droit, de la fente mince de la bouche.

Mais ce jour là, à une heure pour lui inhabituelle, quand je l’ai vu avancer à grands pas, toujours impassible, peut-être pourtant, du moins je l’ai cru ensuite, légèrement, oh très légèrement, tendu, comme concentré sur lui-même jusqu’à en sembler plus massif, solide, comme un bloc en marche vers ce qui pouvait se passer là, un peu plus loin, derrière ce coin de rue d’où dépassaient quelques silhouettes immobiles, regardant on ne voyait quoi, ce jour où je l’ai suivi, emportée par l’élan de son pas souple, curieuse moi aussi de voir la cause de cet attroupement, et me le reprochant, je l’ai vu se détourner, se détourner avec une éloquence, presque une grandiloquence que je ne pensais pas possible, si ce n’est dans la représentation modernisée d’un tragique grec – geste cueilli par un projecteur trouant la nuit d’un théâtre de plein air, quand la distance entre acteurs et spectateurs, la multiplicité des langues aussi comprises par la petite foule estivale assise sur les dalles de pierre, obligent à même outrance, même conventions que celles pratiquées par des mimes ou par les premiers films muets.

Je suis restée un moment le regardant pendant qu’il maintenait sa posture, figé comme un acteur attendant des applaudissements ou soupirs de son public, et, l’admirant, j’ai soudain pensé plutôt kabuki dénaturé, puis me suis avancée vers les rires, les claquements de mains qui brusquement, brièvement, remplaçaient le brouhaha ordinaire au delà du pan de mur, pendant qu’il reculait lentement, et d’abord je n’ai rien vu, que des dos qui se séparaient, s’égaillaient, reprenaient leur marche dans la rue commerciale bruissante de l’activité du samedi après-midi, de part et d’autre d’un tréteau qui nous faisait face, adossé à la vitrine d’un magasin condamné comme il y en a de plus en plus chez nous, tréteau de bois sur lequel était assis, jambes pendantes, un garçon aussi grand que maigre, sanglé dans un petit veston noir trop court, comme l’était le pantalon étroit, enlevant en grimaçant l’épaisse couche blanche de son maquillage, pendant qu’une fille, en longue jupe grise strictement boutonnée et chemise de dentelle blanche ouverte et froissée, regardait en souriant de plaisir ce que contenait le chapeau qu’elle venait de ramasser, et je m’interrogeais sur le spectacle, la pantomime qui avait provoqué cet effroi théâtral quand elle a relevé la tête et crié « tu étais en retard, une fois de plus… ». Un pas dans mon dos, un grand rire, un « c’était encore mieux comme ça », moi les regardant tous les trois, demandant avec un air idiot « c’était quoi ? » et la réponse de la fille « dans deux heures, ici »..

Je suis revenue, ils étaient merveilleusement, ironiquement, mais pas tant, expressifs, mais bon sang ils auraient eu bien besoin de quelqu’un pour leur fournir un canevas moins stupide.

 

Texte : Brigitte Celerier
Image : d’après une sculpture en béton de Caroline Leite

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L’attente

03 mercredi Avr 2019

Posted by lecuratordecontes in Brigitte Celerier

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Brigitte Celerier

l'attente

Je t’ai attendu.

Je t’ai attendu avec Moustique, ou nous t’avons attendu, ou j’ai accompagné l’attente de Moustique.

Nous étions amis, tu sais, lui et moi.

Le jour où tu es venu me le confier, pour un quelque temps qui s’est étiré longuement, il t’a suivi jusqu’à ma porte, il a essayé de se faufiler derrière toi, il est resté un moment en arrêt devant le battant fermé, avant de me regarder avec ses yeux débordants. Je lui ai dit bonjour, j’ai mis la main sur son cou, il s’est aplati, respirant doucement.

Et puis nous nous sommes souvenus que nous nous connaissions, comme des bouts de toi, et nous avons mis au point les rites de notre compagnonnage.

Quand j’ai reçu ton message, je ne crois pas qu’il ait compris mon annonce.

En approchant de ton quartier où nous n’étions pas revenus, j’ai cru le sentir aux aguets, mais quand je lui ai demandé s’il reconnaissait il m’a regardé avec un vague étonnement. Au coin de la rue pourtant il s’est mis à vibrer, oh imperceptiblement, mais son allégresse courait vers moi le long de la laisse, ou je l’ai cru.

Tête levée avec une impatience joyeuse il m’a observée pendant que j’ouvrais la porte cochère, et il a filé dans l’escalier comme une fusée rousse.

Mon doigt sur ta sonnette a troublé le vide de ton appartement… il était très tôt, les occupants de l’immeuble étaient presque tous partis vivre leur journée, mais tu avais oublié ou n’avais pas jugé utile de préciser une heure, et n’avais pas, non plus, répondu à mon mail interrogatif.

Alors nous avons attendu.

Une femme est descendue avec son couffin, nous a regardés et salués.

Nous avons attendu.

La lumière en tournant à fait glisser les images des fenêtres sur les murs.

La femme est revenue, s’est arrêtée quelques marches avant notre palier, pour reprendre des forces, peut-être, ou parce qu’elle était surprise de nous voir toujours là, elle m’a demandé si mon ami rentrait – elle a dit « mon ami », je ne me souvenais pas d’elle, mais elle si, apparemment –, je lui ai dit que oui, en principe, mais que ne savais à quelle heure, elle m’a répondu qu’elle me souhaitait une courte attente, Moustique a reniflé son couffin, il avait faim, moi aussi, elle l’a caressé, elle est montée chez elle.

Moustique m’a regardé, je l’ai regardé.

Je lui ai dit de ne pas bouger. Je suis allée sur le boulevard acheter un sandwich à la viande. Je suis revenue.

Deux gamins, retour de l’école, étaient devant Moustique couché sur ton seuil. En me voyant arriver, ils ont détalé vers les étages supérieurs. Moustique ne bougeait pas, ils ne l’intéressaient pas, il n’était plus que statue du chien fidèle et patient… mais dès qu’ils ont pris un virage bruyant sur le palier intermédiaire pour entamer la volée suivante, il s’est levé, s’est planté devant moi, guettant mes gestes. J’ai ouvert le sandwich, ai posé la viande sur la feuille de salade devant lui, il m’a fait la grâce d’un regard reconnaissant.

Nous avons mangé, nous avons attendu.

La tache de lumière posée par les fenêtres a fini son circuit.

Nous avons entendu la porte cochère se refermer avec la violence dont tu avais l’habitude. Moustique s’est dressé, tendu, aux arrêts, et puis s’est recouché déçu, tache d’une rousseur un peu plus chaude que celle du bois de ta porte ; le martellement sourd de la course de chaussures de sport dans l’escalier ne pouvait être tien.

Un jeune-homme est passé, très vite, a grommelé quelque chose à quoi j’ai répondu « bonsoir ».

Nous avons attendu.

Il y a eu de nouveau le bruit de la porte, en bas, mais plus doux, et puis deux voix, et là nous nous sommes redressés tous les deux.

Je n’ai pas pu retenir Moustique, il a filé, je t’ai entendu protester en riant quand il s’est jeté sur toi, je t’ai entendu le présenter, j’ai entendu un petit rire féminin.

Vous êtes apparus. Moustique, devant, a couru vers la porte, me bousculant un peu. Tu souriais. Tu m’as dit « merci », j’ai répondu « de rien », j’ai salué ta nièce, heureuse que ce soit elle, j’ai regardé Moustique, il ne me voyait plus…

J’ai commencé à descendre. Tu as crié une invitation, je crois. Je n’ai pas répondu.

Texte et photo : Brigitte Celerier

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Le trou

19 mardi Mar 2019

Posted by lecuratordecontes in Brigitte Celerier

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Brigitte Celerier

pour les cosaques - le trou

En longeant la muraille il avait, chaque fois ou presque, avec plus ou moins de distraction, l’oeil attiré par ce trou, un peu sous le sommet, qui révélait le vide existant entre les deux murs qui la constituaient. En longeant la muraille en vague ennui, lorsqu’il n’était pas pressé par son but, il y accrochait une vague curiosité et des rêveries. Et peu à peu il se sentait appelé par cet oeil obscur.

Il a cherché, il a trouvé un peu plus loin – n’y avait jamais prêté attention – des marches, ou plutôt des saillants espacés, un peu dégradés, rappel d’un semblant d’escalier ancien… ne manquaient que les trois échelons les plus bas. Un jour où il était vacant, un dimanche ou un jour de fête, il s’est arrêté sous les saillants, il a mesuré de l’oeil la hauteur à franchir, a tenté d’évaluer la taille des appuis, a vérifié qu’il n’y avait trace de passant, même lointain, à droite ou à gauche, a entrepris de grimper.

Est arrivé au sommet, s’est dressé sur les dalles appuyées sur les deux murs – et peut-être sur un remplissage caché – est resté en contemplation sur la campagne, les champs, qui s’étendaient au delà et puis sur les maisons plus ou moins dégradées de la ville. Il a pensé que si elle revivait, il faudrait établir un escalier confortable, en utilisant des pierres provenant de la carrière, abandonnée ou non, qui avait servi au temps jadis à l’édification de ce rempart, pour faire de ce cheminement, après en avoir contrôlé la solidité, un attrait pour des touristes, une ressource.

Et il a avancé, constatant avec plaisir que la largeur du chemin était exactement adapté à une marche confortable et assurée, même si un croisement devait être un peu acrobatique sans être impossible – c’était bien un chemin de ronde – ce mot, en s’imposant l’a fait sourire de ravissement, éveillant des traces de souvenirs de ces histoires q’il se racontait au temps des genoux couronnés et de la voix de canard enroué.

Il s’est arrêté au bord du trou… un escalier, en bien meilleur état de conservation, y plongeait, mais rien ne permettait de le franchir pour rejoindre le chemin au delà et il s’est interrogé un instant sur ce manque, ne pouvant croire qu’il avait toujours été, qu’il faisait partie du projet d’origine, comme semblait l’être ces larges marches sans rebords qui descendaient à travers la pénombre vers l’obscurité.

Il a commencé la descente, tâtant précautionneusement du pied, levant la tête au risque de trébucher pour que ses yeux restent accrochés à la lumière, longuement, jusqu’à sentir qu’il avait atteint un sol, a regardé, n’a vu que des murs effacés par l’ombre, a deviné une salle rectangulaire dans laquelle s’ouvrait, du côté de la campagne, une ouverture sur le noir. À côté de la dernière marche s’alignaient contre le mur une série de pierres sur le devant desquelles se devinaient vaguement des traces de sculpture. S’est mis à quatre pattes, a tâté, a senti sous ses doigts se dessiner un âne ou un cheval attelé à une carriole, s’est assis sur la pierre en souriant aux images anciennes qui lui venaient, et s’est, comme dans ses après-midi d’enfant solitaire, appliqué à se raconter des histoires. Mais l’âge l’avait abîmé, elles se détruisaient presque instantanément, n’avaient que le temps d’un petit élan, il n’y croyait plus assez. Ont été remplacées par ces pensées maudites qu’il voulait justement fuir. Alors il a entrepris de remonter vers la lumière réverbérée par les pierres, là-haut.

Texte et image : Brigitte Celerier

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