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~ refuge pour les dépaysés

Les Cosaques des Frontières

Archives de Tag: Brigitte Celerier

Jacques creuse

13 vendredi Avr 2018

Posted by lecuratordecontes in Brigitte Celerier

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Brigitte Celerier

pour les cosaques, Jacques creuse

Jacques était gentil,
Jacques aimait les gens,
Jacques admirait
toutes ces pensées
qui passaient dans l’air,
enfin pas toutes,
savait que devait
choisir, bien trier,
ne garder que bon,
et prendre le temps
de les démonter,
les faire siennes,
et puis les scruter.
Il savait aussi
qu’on le disait sot,
mais il s’en moquait,
enfin pas vraiment,
ou restait humble,
ne le disait pas,
mais il s’en moquait,
et il en riait
seul en silence,
et puis écoutait,
baissait la tête
et il essayait
de penser bien fort
avec constance
à cette phrase
qu’il avait saisie.
Il la caressait,
il la retournait,
et lui souriait ;
ou, bien trop souvent,
et s’en dépitait,
devait constater
qu’il n’en restait rien.
Alors attendait
la prochaine idée
venue l’appeler.
Et recommençait à creuser le mur, parce qu’il avait perdu sa clé.

 

Texte et photo : Brigitte Celerier

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Nos blessures lasses

28 mercredi Mar 2018

Posted by lecuratordecontes in Brigitte Celerier

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Brigitte Celerier

pour les cosaques - nos blessures lasses

 

joue contre le mur
ai regardé la pente
attendant souffle
du passage de l’auto,
et le vertige
m’a surprise pied en l’air.
Joue contre le mur,
rides contre crevasse,
nous ne faisions qu’un.
Le grain des pierres
que dénudait le crépi
usé, en allé,
m’a transmis résistance.
Fraternellement
je les en ai remercié.
Un temps suis restée
ainsi, joue contre le mur
en sa compagnie
et puis me suis arrachée,
lancée sur pente
ai perdu son amitié.

 

Texte et photo : Brigitte Celerier

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Précocité audacieuse

21 mercredi Mar 2018

Posted by lecuratordecontes in Brigitte Celerier

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Brigitte Celerier

pour les cosaques - précocité audacieuse.jpg

trop tôt le printemps

eut un sourire tendre

les plantes y ont cru

 

les boules feuillues

leur sève pleine de joie

se sont éveillées

 

de fines tiges

ont jailli, se sont jetées

vives vers le ciel

 

tant jeunes étaient

que roses comme la vie

naissante en force

 

fières et assurées

se sont risquées à porter

feuilles et puis fleurs

 

terre en frémissait

elle tant vieille et sage

murmurait folie

 

la pluie est venue

et elle en fut heureuse

s’est faite tendre

 

un tendre berceau

enveloppant, nourrissant

fraîches naissances

 

puis est arrivé

le vent du nord portant peur

pour la tendresse

 

un ciel bleu glacé

a figé dans l’attente

les jeunes branches

 

Texte et image : Brigitte Celerier

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Lumières sur l’eau

08 jeudi Mar 2018

Posted by lecuratordecontes in Brigitte Celerier

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Brigitte Celerier

pour les cosaques, lumières sur l'eau

Je ne sais trop pourquoi mais on aurait un peu froid, un peu peur, dans la nuit d’une ville.

Il y aurait un jeune couple, enfin assez jeune, deux enfants et, un peu incongrue, de passage – ne sais plus pour quelle raison j’étais avec eux, et n’ai pas envie de chercher à m’en souvenir, ça n’a aucune importance -, moi la petite vieille.

Nous aurions marché poussés dans les rues par le vent, allant un peu au hasard, hésitant à nous avouer – enfin les deux parents – que nous étions perdus, entre des façades mortes.

Ils gardaient cependant pas ferme et calme apparent, mais nous, les deux enfants et moi, n’étions pas vraiment dupes, les remercions pour cette assurance, voulions y croire, mais le trajet fantasque, les changements de rue qui nous semblaient faits de hasard, nous détrompaient.

Et quand nous croisions des venelles noires creusées dans le mur que dressaient les façades, nous nous rapprochions, nos mains se rencontraient, se serraient, se caressaient, se calmaient par ce contact.

Nous chantions parfois, doucement, c’était la fille qui commençait et nous suivions comme pouvions parce qu’elle inventait des paroles, mais nous aimions bien cela, le bruit faible, juste une présence, que cela faisait, pour ce qui se passait peut-être dans les zones noires que n’atteignaient pas les rares lanternes, et puis pour les parents, eux ils se taisaient le plus souvent, chuchotaient parfois et c’était pour discuter, se retenant à la limite de la dispute ; nous percevions, en voulant l’ignorer, les remarques énervées sur le manque de patience qui l’avait poussé, lui, à décider au bout d’un long moment d’attente devant la gare qu’il y avait un malentendu et à partir avec une assurance injustifiée sur la foi d’une adresse, nous entraînons, nous, à sa suite.

Là le je, celle qui raconte cette histoire, s’arrête, ce dit voyons ce n’est pas possible, ou cela ne peut pas être envisagé, compris, alors aux deux enfants elle explique qu’ils sont tous les trois dans un temps – mon Dieu c’est déjà si loin, vont pas me croire – où les téléphones portables n’existaient pas, où il y avait de rares cabines de verre contenant des appareils généralement hors service, et pour seule possibilité les cafés, et vous avez bien vu, dans cette ville, à cette heure ci, il n’y avait pas de café ou de restaurant ouverts.

Nous avancions donc, la vieille femme entourée des deux petits, derrière le couple, nos éclaireurs, et il y a eu cette vague clarté au bout d’une rue, qui faisait doux aux yeux, nous ne regardions plus qu’elle, en attendant quelque chose, on ne savait quoi, un changement ; au bout d’un moment la mère s’est retournée et sa voix était joyeuse, une joie un peu forcée mais qu’elle nous lançait comme un encouragement «C’est le fleuve !»

Les petits se sont mis à courir, ont pris la tête de notre troupe, et nous les avons rejoint au bord d’un grand mouvement sombre qui était en effet le fleuve.

Et au delà du fleuve il y avait ces lumières, de l’or rouge mobile, qui se reflétaient dans le friselis du courant.

Le garçon a soufflé : «c’est quoi ça ?»

Nous regardions, la fille a tranché «des lutins qui dansent», j’ai pensé, des esprits en peine, mais ne l’ai pas dit, pour ne pas leur faire peur, et puis parce que ce n’était certainement pas ça, et qu’ils se seraient moqués de moi, le garçon a rétorqué «non, ce sont des amis qui nous font signe», la mère a affirmé, d’une voix un peu lasse, «ce sont des lampadaires voyons», le père a dit «bon le fleuve est là, donc…» à ce moment là il y a eu la criaillerie d’un klaxon derrière nous, et une voiture, et des appels, et c’étaient (le garçon n’avait pas complètement tort) des amis, nos hôtes futurs, qui étaient arrivés en retard à la gare, et «mais par où vous êtes passés ? auriez dû nous attendre» et puis des rires, des commentaires souriants, le coffre et les portes de la voiture ouverts.

A ce moment là, la vieille, celle qui disait je, essaie d’imaginer si les deux enfants ne trouvent pas cette histoire idiote.

 

Texte et photo : Brigitte Celerier

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Retour

19 lundi Fév 2018

Posted by lecuratordecontes in Brigitte Celerier

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Brigitte Celerier

pour les cosaques - retour

N’y avait qu’une vingtaine d’années qu’il était parti, parti sans regret et sans idée de retour.

Ni lui ni ses frères n’avaient eu de regret en mettant en vente la maison familiale, enfin pas de vrai regret, de petites nostalgies pour des recoins poussiéreux qui avaient été leurs asiles dans leurs désespoirs enfantins, la hotte de cheminée de la cuisine sombre, parce qu’elle lui rappelait la maigre femme bougonne et tendre dont c’était le domaine et qui leur permettait de s’y blottir, de s’y croire protégés par elle, et de fait ils l’étaient.

Il n’avait, depuis presque aussi longtemps, aucune nouvelle de ses frères, et ne le regrettait pas vraiment, ce qui les liait n’était que la mémoire du temps qu’ils avaient passé là, et de cette guerre perpétuelle que leurs parents avaient mis entre eux, ne leur laissant même pas la force de s’unir ; elle, la cuisinière, était morte un peu après leur départ, comme désertée, et il ne s’était jamais soucié de ce qu’il advenait de la ville, en avait vraiment, comme il le pensait avec un sourire de travers quand, par hasard, elle revenait au détour d’une conversation, secoué la poussière.

Et c’était avec un petit sourire, fort de son indifférence, qu’il avait accepté de revenir, puisque l’écrivain qu’il devait interroger y résidait, mais en fait depuis l’époque de son évasion, même s’il était maintenant bien ancré dans la ville jusqu’à lui redonner un semblant de notoriété. Il a pourtant eu un léger, bien vite refoulé, mélange d’appréhension et d’attendrissement quand, passés les abords disgracieux tels qu’ils se répètent plus ou moins de ville en ville, il a vu glisser le long de la vitre du train les premières maisons du centre, familières ou nouvelles bien que déjà usées.

Il a déposé sa valise dans un hôtel près de la gare, banal et inconnu, relu ses notes, mis dans sa sacoche le dernier livre de l’auteur et par des rues qui n’éveillaient que très vaguement des sensations passées, l’a rejoint dans le grand café ouvert sur la grande place ensoleillée qui, elle, l’a frappé le temps d’un éclair comme une brusque remontée de sa faiblesse hargneuse et désespéré, son insignifiance, ses élans enfouis, avant que s’impose le regard sur elle de l’homme sans grande envergure mais serein, heureux par delà les petites difficultés inévitables, qu’il était devenu, celui qui maintenant entrait dans le café et n’avait plus de pensée que pour ce visage, ce corps un peu tassé, le sourire d’accueil ébauché dans des yeux vers lequel il se dirigeait.

L’entretien a commencé lentement, conformément à sa réputation l’écrivain était aimable, apparemment ouvert mais taiseux, non qu’il déteste ces interviews, même s’ils étaient toujours une obligation, parfois dangereuse quand il rencontrait un interlocuteur bien documenté mais parfaitement étranger à ce dont ils parlaient, mais parce que simplement il pensait n’avoir rien d’autre à dire que ses livres , mais était-ce le plaisir évident que lui, l’interrogateur, avait pris à cette lecture, la sensibilité de ses questions et relances, la connaissance réelle du reste de l’oeuvre, était-ce une curieuse bienveillance à son égard de l’auteur, peu à peu s’établit un vrai dialogue, avec des évasions sur tout ou rien, des tout ou rien importants, non sans liaison avec le climat du livre, du temps et du lieu où il avait été écrit, et des plongées profondes et fouillées dans l’ouvrage.

Il se levait, satisfait, remerciait, s’entendait répondre par des remerciements au lecteur qu’il était, suivis de «et si nous déjeunions ensemble ?» et puis «je sais que vous avez grandi ici oui je m’étais renseigné  j’ai mes habitudes dans un petit restaurant, très agréable, calme, seulement il est très proche de votre ancien quartier, ce qui pour un temps fait perdre un peu du charme de l’environnement, maintenant qu’il donne sur un terrain provisoirement vague, désolé, et je crains que cela vous soit désagréable»… Il a accepté, sincèrement ravi de ce prolongement plus détendu, surpris et un peu agacé d’être en effet un peu choqué par ce que signifiait la fin de la phrase.

Ils sont partis par les petites rues de l’ancien quartier noble, entre des maisons splendides ou fatiguées mais encore fières, des dix huitième et dix neuvième siècles, certaines plus anciennes, d’autres portant la trace de modifications-embellissements autour des siècles. Le restaurant occupait le rez-de-chaussée d’un ancien hôtel d’un bon classicisme un peu banal, en grand besoin de ravalement.

Le patron, qui faisait de sa normalité extrême un style, une parure, a accueilli chaleureusement l’auteur et puis regardant son compagnon «je crois que je t’ai connu, toi, tu n’es pas un fils X ?» et suite à un hochement de tête un peu agacé «tu dois être le plus jeune, moi j’étais en classe avec Jean, l’ai revu quand il est venu pour la vente… ah mon pauvre tu vas voir, elle n’est plus là la maison, ni les autres d’ailleurs, j’ai mis des rideaux  et il en soulevait un pour montrer un grand espace vide, un sol mouvementé, pierreux et en bordure, de l’autre côté de la rue, trois grandes remorques pleines de débris et gravats  parce que c’est pas heureux comme vue, et cet été pour ma terrasse, même avec une haie de feuillage, peur qu’il y ait trop de bruit  bon après ce sera bien, ils reconstruisent, et puis y aura des clients» et l’autre «les séduire… tu auras des voisins plus riches mon ami  c’est pas mal d’ailleurs ce qu’ils font, pas trop clinquant, pas trop copie d’ancien, mais certainement pas pour ceux qui habitaient là… si vous aviez du temps vous devriez aller voir le projet» «sais pas si j’en ai envie»

Le sentiment inattendu d’un regret.

En sortant se sont plantés devant une des bennes, et comme en riant l’écrivain prenait une toute petite pierre perdue parmi les gros débris pour servir de presse papier, il a eu un rire presque franc, même si le ricanement perçait dessous, et a choisi, lentement, parmi les morceaux de poterie, un fragment de tuyauterie parfaitement découpé et bordé d’un large ourlet.

 

Texte et photo : Brigitte Celerier

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