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~ refuge pour les dépaysés

Les Cosaques des Frontières

Archives de Tag: Cosaquiana

Baranov prétend

08 vendredi Mai 2015

Posted by lecuratordecontes in Jan Doets

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Cosaquiana

Apollinaire Blog

Baranov arrosa les plantes. C’était le petit matin du premier vendredi du mois.

Tandis qu’il regardait la bougainvillée écarlate devant sa fenêtre, il se souvint d’une femme qu’il avait connue superficiellement à Lisbonne, qui était bloquée par ses avances et s’était interrogée sur son amour cosaquien de la langue française.

Entre les feuilles, une abeille remua une fleur.

Comme les bougainvillées, il se sentait bien au chaud aux bords du désert. Il logeait temporairement dans le village, dans une petite cabane à côté de la maison d’Andreï Stepanovitch, en attente de son admission au fort Bastiani.

Baranov était plus dépaysé qu’un apatride et fut considéré par quelques villageois comme un peu trop rentre-dedans. Donc quelques cosaques dans le fort avaient dit: “avec ce Baranov on ne traverse pas la glace d’une seule nuit’, une expression bizarre au bord du désert ce que l’on attribuait  à des gènes errants en Russie. Des capitaines de vaisseau y avaient-ils laissé des traces? Le Hollandais volant apportant du sel vers la Baltique, année après année au seizième siècle, ce gaillard blond qui avait une pléthore d’amies russes parce qu’il était souvent coincé par le gel pendant les hivers durs du petit âge glaciaire, dans les ports de Riga et de Réval ?

Quand le soleil passa son bras par la fenêtre, Baranov se souvint du flâneur des deux rives et rentra dans sa cage. Il alluma encore une cigarette, et réfléchit.

‘Comment puis-je pénétrer dans cette citadelle de la langue française’, pensa-t-il, bien qu’il sache bien que chaque individu ne peut vivre que dans la maison de sa langue maternelle. ‘Cette citadelle, a-t-elle des chambres d’amis ?’

Soudainement, il retint son souffle. Des voix. Quelqu’un frappa à la porte. Il l’entre-ouvrit et fut consterné de voir quatre personnes, trois femmes et un homme, en tenue de cosaque.

“Un joli salut !” dit la femme à gauche. “Vous êtes fin et amical, avanti !” crièrent les deux autres en choeur. “Voilà une délicatesse !” dit l’homme, tout en noir, portant des lunettes noires, avec dans la main, une fleur rouge.

Baranov ferma la porte derrière lui et les accompagna vers le fort.

Texte: Jan Doets
Dédié à Brigitte Celerier, Anna Jouy, Carol Shapiro et Francis Royo
Reprise de 7 septembre 2013

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De passage à la table des cosaques des frontières /2

17 mardi Fév 2015

Posted by lecuratordecontes in Brigitte Celerier

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Cosaquiana

(reprise de 28 août 2013)
hasselmann blog

Elle regardait donc…  elle a sursauté quand la porte s’est ouverte pour l’entrée – superbe, pas assuré, tête haute, veste blanche, pantalon noir, comme la plupart de ceux qui étaient là – d’un nouvel arrivé, qui a ôté son casque à queue de cheval, s’est dirigé vers le bout de la table, a claqué des talons devant un vieil homme à veste d’or, un peu usée, ouverte négligemment sur une chemise en partie déboutonnée.

La vieille a côté d’elle lui a chuchoté : « l’altman Syvorotka » et puis en désignant le nouveau venu « je le connais, c’est Hasselmann, le petit-fils de l’ancien altman suprême ».

Elle écarquillait un peu les yeux, comme si ça pouvait lui permettre de savoir quels hommes ils étaient, de rattraper son retard, de connaître un peu mieux leur histoire dont elle n’avait que de très brumeuses notions – la vieille a posé la main sur le bras de son voisin qui s’est penché vers elles.

« Toi qui a tenu chronique, qui sait tout de nous, ou presque, je te la confie, mets la au courant…  Jan Syvorotka a dit qu’elle était des nôtres »

Il a souri – « quand tu voudras »

Elle a hoché la tête pour remercier, « quand vous le pourrez » et puis elle a regardé ses bras nus posés à côté de la chemise brodée de la vieille, des autres femmes (et les robes de lainage sans manche d’où s’échappaient ces blancheurs)

La vieille – pourquoi pensait-elle la vieille ? elles étaient du même âge, certainement, ou à peu près – lui a dit « oui, mais attend, je ne sais pas, l’altman m’a dit que peut-être… plutôt une veste pour toi »

Elle a levé la tête, étonnée, elle a regardé l’altman.

Il a dit « Tu viendras me voir, dans deux jours, pas avant, quand la réunion sera finie ».

Elle se demandait si vraiment elle pourrait être des leurs… elle fouillait dans sa mémoire, … elle en doutait, elle l’espérait, puisque c’étaient là les cosaques des frontières, accueillant aux déracinés, et qu’elle ne se voulait pas de racines, sauf celles des voyages des siens.

Texte: Brigitte Celerier, photo : Ed. Bollinger, St. Petersbourg

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De passage à la table des cosaques des frontières /1

16 lundi Fév 2015

Posted by lecuratordecontes in Brigitte Celerier

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Cosaquiana

Tandis que Paumée attend la guérison de son ordinateur et réfléchit sur un ‘vague projet’, voici une reprise de son premier texte chez les Cosaques, datant de 23 août 2013. Depuis, elle nous a gâtés avec cinquante-huit textes en plus … merci Brigitte.

22 8 cosaquesSepia

Elle était dans un coin, avec les femmes et un peu impatiente, un temps, d’être là, cantonnée,  mais une vieille cosaque lui avait souri en disant «quelle importance ?» et elle avait répondu «quelle importance ?», parce que, bien sûr, cela n’avait aucune importance. Alors elle s’était reculée sur son siège, elle les avait regardés, ces cosaques des frontières, hommes et femmes, et puis tous ceux qui les avait rejoints, de passage, et qui, pour certains, étaient restés… et dehors le vent s’acharnait à courir en hurlant.

Le vent, elle s’est demandé quel était son nom, ce vent qui galopait sur les longues plaines… a pensé à d’autres noms, à d’autres vents, au mistral, le vent de cette terre où elle s’était posée un temps, ou au levant, au sirocco ou au simoun endormeur sur le pays où était né son père, à la mousson pour la jeunesse de sa mère, au Sures pour l’enfance de sa mère.

Ce vent, c’était le blizzard, peut-être… elle ne savait pas… hurleur sans nom pour elle, qui lui disait que la chaleur bien close et peuplée était l’endroit où être.

Puisqu’on voulait bien d’elle, là, un temps.

Elle qui ne bougeait guère mais ne se sentait d’autre appartenance que sa langue. Elle qui avait tant rêvé en son adolescence d’une vie errante, tant rêvé qu’il n’était plus nécessaire de bouger. Elle qui avait tenté, mollement de s’inventer des racines là où elle était passée, où elle s’était éternisée, sans jamais s’affermir.

Elle a écouté la voix qui disait le condottiere, et sa tristesse. Elle l’a suivie comme une houle.

Elle a rêvé à son autre, à celle qu’elle était, en son adolescence, pendant que, présente dans la salle de l’appartement familial, au dessus de la rade, elle s’échappait, quand elle était second sur un boutre cabotant le long des côtes d’Anatolie, quand elle était…

Elle est revenu à eux, aux cosaques, à celui qui parlait de la ville détruite, et les rues de Brest entraperçues enfant sont sorties de la brume du rêve pour y retourner pendant qu’elle suivait Dembinski.

Elle a un peu remué sur sa chaise, elle s’est sentie gênée, s’est reproché son manque de politesse, a profité d’un silence, s’est présentée.. et puis  s’est reculée, pour retrouver les voix.

Elle écoutait, et puis pensait, essayait de penser, à ce qu’elle pourrait raconter si son tour venait.

Texte et photo: Brigitte Celerier

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Avant-première Vases de février 2014, Brigitte Celerier et Jan Doets

18 samedi Jan 2014

Posted by lecuratordecontes in Brigitte Celerier, Jan Doets

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Cosaquiana, Vases

13 1 4 montée a

Les lecteurs fidèles du blog Paumée ont suivi avec bien des soucis les ennuis de Brigitte Celerier. Le schleppement de son  nouvel ordinateur par des rues d’Avignon, suivi par une montée du dit appareil par son escalier, suivi de ses  mentions fréquentes de ses bobos de carcasse. Heureusement le vieux cosaque, lui-même récemment révitalisé, inclus graissage et changement d’huile par un cardiologue, est venu à son aide et les deux se préparent pendant ces jours pour leurs Vases Communicants quelque part en Allemagne, dans un camp d’entraînement spécialisé. Ils ont choisi le sujet :   “Le trapèze”.

D’Allemagne, ils vous souhaitent un bon week-end en vous offrant une avant-première de leur Vase.

http://vimeo.com/30014163

Texte : Jan Doets
Video: Die Maiers, Sabine Maier et Joachim Mohr, http://www.diemaiers.com/

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Martha et les trois Marie /1: le départ

07 mardi Jan 2014

Posted by lecuratordecontes in Brigitte Celerier

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Cosaquiana

6 1 4 les Marie pour le départ

Les deux amies ont reposé le livre de contes, rien ne leur convenait.

«il doit bien y avoir des contes chez toi ?» a dit Oksana

«les contes universels, plus ou moins, tu sais le chaperon rouge, blanche neige… ils connaissent sans doute, et mal, à travers des dessins animés ou des livrets – et puis il y avait certainement, comme partout, des histoires que l’on racontait aux enfançons, mais nous, nous lisions les classiques, avec le plaisir de savoir ce qui allait nous faire rire ou trembler et de l’attendre – ah ! il y a les légendes attachées à des lieux, dont je n’ai qu’une vague idée, et que les syndicats d’initiative ont remodelées»

«et bien raconte les moi ces légendes, pour que nous les traduisions ; je choisirai une musique pour t’accompagner, et ce sera pour les plus grands, juste avant l’âge des ricanements»

«mais elles ne me viennent pas, pas comme ça… il y a bien les saintes Maries, mais je ne crois pas que cela puisse convenir, et puis je sais juste qu’il y a une histoire mais rien de plus..»

«essaie».

«et toi ? Tu dois bien en connaître des histoires»

«Je ne veux pas me souvenir de ce que je racontais à mon fils… non essaie, et puis après nous inventerons de jolies aventures, laissons les venir.»

Elle a essayé, elle a cherché sur son ordinateur, elle a trouvé des traces de ce qu’avait écrit Raban-Maur, un évêque de Mayence, d’autres auteurs, elle a un peu inventé, elle a sans doute beaucoup inventé, et les enfants avec la grande et confiante attention de leur âge, bouche ouverte, ont entendu.

«Près de chez moi, sur le bord de la mer, il y a une région merveilleuse, sauvage, ou qui l’a été, et que l’on appelle la Camargue, et là il y a une petite ville autour d’une église, une église où l’on vient depuis des siècles en pèlerinage. Et je vais vous dire ce que j’ai compris des histoires que l’on raconte à ce sujet. Bon, il y a des variantes, j’ai peut-être un peu imaginé, c’est si vieux…

Oui, c’est très vieux. Cela remonte aux premiers temps qui ont suivi la mort du Christ.

Ses anciens compagnons, sauf peu à peu les apôtres, se faisaient discrets.

Dans la belle maison de Béthanie, en Judée, qu’elle avait hérité de son père Théophile, on était accueilli par la riche Marthe, la maîtresse de maison, comme le disait son nom, douce et aimable, souriante et réservée, dans une robe, sa préférée, en laine bleu sombre à galons rouge et vert foncé, richement ceinturée, sur une chaste chemise de lin blanc très fin, ses beaux cheveux noirs sagement rangés sous un voile, mais on voyait peu, même quand il s’agissait de leurs propriétés, Lazare (ils étaient tous deux fils d’Eucharie, de la lignée de David, mais j’ignore le nom du père de Lazare et de leur soeur Marie, celle qui était née la même année que leur ami Jésus de Nazareth, la blonde, la peu sage, qui habitait en Gallilée, à Magdalon).

Quand les persécutions commencèrent, quand le diacre Etienne fut lapidé, ils décidèrent de partir.

Ils laissèrent la belle maison – Raban Maur, Ruffin et Eusèbe de Césarée parlent d’une statue d’airain montrant la rencontre entre Marthe agenouillée et un homme en robe traînante, drapée avec art, qui tend la main vers elle et qui est sans doute Jésus – et leurs esclaves et serviteurs, puisque les histoires ne mentionnent plus que sa servante Marcelle, et ils gagnèrent un port, sans doute Césarée, pour s’embarquer sur un navire de belle taille puisqu’ils emmenaient avec eux, sur ce bateau qu’ils avaient frété, leur soeur Marie de Magdalon ou de Magdala et, entre autres, les apôtres Trophime et Maximim, Sidoine l’aveugle-né qui avait été guéri par Jésus, et surtout les deux Maries, les deux demi-soeurs de Marie de Nazareth, qu’Anne avait eu (bel entêtement dans le choix du prénom) de ses second et troisième maris, Marie Jacobé, et Marie Salomé, la femme de Zébédée, sans leurs fils les apôtres, les deux Jacques, Jean et les autres, mais accompagnées de Sarah, la servante de Marie Salomé.

Et ils firent longue route, long cabotage…

Je ne sais pourquoi ils ne décidèrent pas de s’arrêter à Sidon, à Arwad – sans doute était-ce trop proche – ni à Sidé, Ephèse, Smyrne ou Eleuthérion, pas plus qu’à Cnide, Mytilène, Nauplie ou Corinthe, Motyé ou Syracuse, Puteoll, Misène, Pyrgi, ni même Massalia, mais ce fut donc là, sur ce rivage sans port qu’ils mirent fin à leur navigation.

Certains s’installèrent, d’autres rejoignirent Massilia ou Marseille, ou l’arrière pays, Marthe, elle, avec quelques compagnons, remonta le Rhône, et c’est pour cela qu’elle m’intéresse.

Moi Brigetoun, parce que je crains que, en écoutant Borislava, ou en me lisant, les enfants, et vous, ayez baillé un tant soit peu, mais moi, égoïstement, je me suis amusée, et vous aurez droit à l’histoire de Marthe et à celles de monstres qui sévirent près de ma bonne ville.

Texte : Brigitte Celerier
Image : Sainte Anne et les trois Marie, miniature de Jean Fouquet (1420-1480)

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