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Archives de Tag: Martine Cros

Carrés de ciels

15 dimanche Mai 2016

Posted by lecuratordecontes in Martine Cros

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Martine Cros

Carrés cousus

« … à proprement parler je n’ai rien,
je suis un dépossédé. »
Jacques Abeille

Je n’ai rien
que des carrés de ciels
qui viennent s’épingler sur la plaine
lointaine du paysage
Dans la mansarde sage
j’en confectionne des dizaines
j’en tisse des voiles
               de secrets

Profondes trouées
dans la tristesse et le calme du soir
Ce qui console quand on rapièce,
c’est d’entendre le temps

Des vents doux ou violents secouent le ciel
sur le paysage indifférent
à l’ordre intérieur de la pièce

Je ne regarde plus la fenêtre je couds
le même carré vespéral
aux émotions de la lisante

À peine entend-elle la rumeur citadine
la magie des enfants qui dansent dans les maisons
Le chant des oiseaux se tait profondément

Dans son coeur
il y a d’épais ronciers
qui amoureusement enlacent
de leurs épines
les ruines
               les ruines ;
une musique ombrageuse, où bruissent les amours,
qui lui porte des mots
jusqu’à ce livre
               intime

Le carré aujourd’hui est d’un bleu indigo
strié à l’infini par de claquants barreaux
Il confine les jours enterrés sous
               les mots
hurlant de la lumière dans les plis de silence
Est-ce dans ce losange qu’elle reprise là
qu’elle pourra
               s’oublier ?

Regardant les images elle fume
un cigare qui lui prête allure d’Amantine
Dans son ventre elle entend des cantiques
des amantes des amants et puis des carrés bleus
qui l’appellent : toujours lutter, toujours avoir soif ?

Ce n’est pas l’éternité qu’elle veut,
              c’est le souffle tiède de l’instant

De longs cils comme les sillons d’un champ
partent de la fenêtre, planent sur les foins croquants
S’évadant ils dessinent
cet oeil ainsi dans l’enroulé soleil
posé sur l’horizon qu’elle voit de sa fenêtre
posé sur l’horizon comme soleil aux monts
posé sur l’horizon comme une tempe
              en des seins ronds.

Toujours au bas de ces carrés phtalo
elle ourle les mêmes mots :
je suis ton abandonnée
                       je suis ton abandonnée ;
ce sont de splendides franges,
             inutiles

Et sous la paupière du crépuscule
le soleil où dort la mer
se déshabille lentement
dans une source claire
abreuvant juste là les dernières pages
du livre de la couturière.

 

 

Texte : Martine Cros – un poème du recueil en cours : Soleil noir —
Image : Martine Cros – Carrés cousus , peinture vitrail sur papier calque
(pour agrandir l’image, cliquez dessus)

 

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La chambre à la sonate

08 mardi Mar 2016

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Martine Cros

Nolde

(Sur une musicalité picturale
de Georg Trakl)

 

À Jan Doets.

 

Il y a un arbre bleu qui veille sur des fruits doux.
Ses branches décoiffées par le vent froid du Nord
aime porter le voeu d’odorantes fleurs blanches.
Il les sent souffler en lui comme des biches
effarouchées devant
l’orage de cristal.

Il y a un étranger au bas dormant contre le tronc,
coiffé d’un étrange chapeau de songes.
C’est lui l’étranger doux qui vient nous retrouver ainsi
et qui nous tend ses longs bras, longs comme des allées.
Son bâton de pâtre est digne et noir métallisé
comme un glaive de feu
et d’onde.

De Chopin, la mélancolie râcle ma gorge
et je suis une étole noire chantée par la douceur.
C’est aux rameaux du noyer que s’accroche mon voile,
on dirait un étendard fier dans le mélo des condamnés.
Quand pleurent les rires
des mouettes manchotes.

Pour chacune de ses fleurs le noyer bleu prépare,
avec son officier de marine,
de profonds vases d’argent ciselé où elles prendront racine
dans une eau magique
à contre-courant.

Je convoque bien des muses et des gens
que je trouve un peu brigands pour noter tous mes voyages.
Et j’écris sur des dorures d’automne ce que je sais de nous,
et sur l’acier tonitruant des jours qui semblent m’oublier.
Dans ma chambre à la sonate, le grand noyer bleu frappe
à la fenêtre au givre,
me dit de veiller encore un peu
avant de m’endormir
sur des futilités.

En bas, des dames blanches se promènent ; l’une d’elles
joue au piano sur une table d’étoiles.
Une autre écrit sur nos métamorphoses.
Des femmes de joie et des passantes approchent.
Sur la pierre argentée de la lune
jaillit la mélodie inédite
que j’écoute de mes yeux
amoureux.

Au pied de l’arbre une pulpeuse corbeille
veille sur ses enfants qui dorment un peu.
Au large dans le loin, un grand paquebot noir
chargé de passagers minuscules
prend son envol pour la banquise.
Le soir maritime est l’archet de nos cordes.
Dans de rousses brumes les stries d’or de la lune
enferment dans un écrin carmin
l’ultime note
du Larghetto
où je m’assieds.

Sans rien dire, je parle longtemps avec elle :
(car elle est pure)
un sol si céleste qu’assise je vole.
J’aime pleurer secrètement ces voyages immobiles
qui ne meuvent que mes rêves.
D’intimes tas de feuilles mortes
brassent en moi
des trésors immatériels.

Mordent les serpents ! je ne sens que l’étoile qui tinte
où jaillit ton visage dessous la constellation.
Georg, sur un soir presque nuit me chuchote:
Sur des semelles d’argent glissent des vies antérieures.
Et dans le bleu de l’arbre, nous demeurons intacts.

 

Texte : Martine Cros
Peinture : Emil Nolde (1867 – 1956 ) : Half moon over the sea, 1945

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Jours, trembles

05 vendredi Fév 2016

Posted by lecuratordecontes in Martine Cros

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Martine Cros

Jours trembles

Tremblements d’êtres
Aux aguets de toutes les frontières
Nous sommes
Toujours à l’orée d’elles.
Quelque chose de nous veille,
Qu’il faut aimer.
A l’inverse il se pourrait
Que tout se compartimente, cimente
Dans l’indifférence puis,
En une seule seconde,
Chavire dans la haine.

Nous sommes les veilleurs des seuils
Ils nous habillent de leur moire.
Il nous est demandé
De dévêtir parfois notre regard.
De suspendre le temps
Avant qu’il ne nous sombre.
Avant que nous ne puissions voir
Qu’une noirceur.
Celle-là même qui ombre et lumière
Ici un visage
Ici un geste
Une ligne de tirs
Un noir qui se confonde avec l’extrême banalité,
Qui a un autre nom : la mort.

Ainsi chaque seuil est un acte d’éternité
Si nous prenons la peine de le franchir.

Par exemple :

Je te frôle
Je te souris
Tu t’en vas dans l’autre pièce.

Ou :

Je te frôle
Je te souris
Tu me prends.

Ainsi la seconde du frôlement
Le sas, l’orée des possibles
– Peut-être est-ce la gueule de l’enfer! –,
Sombrera dans l’oubli
Ou dans la passion.
Amour ! comble
Ce qui veut s’achever de nous.

Par exemple:

Repasser à l’écoute des Lieder
De Schubert,
Ce n’est plus repasser.

An den Mond,
C’est imaginer les êtres qu’on aime
Se mouvoir au travers du tissu
Que l’on rend souple, étale.
C’est apprécier combien ces êtres
Sont là proches de nous
Ou un peu plus loin, mais là,
Dans la vie incarnée sous le textile,
Emplie de leurs plis que défroisse la caresse.
C’est penser que l’on va, dans quelques heures,
Ecouter, écrire la poésie,
La voix à l’oeuvre pour ouvrir
La voie.

Repasser : c’est me dire :

Si un jour je repassais pour toi
Tes habits de tous les jours,
J’aurais envie de toi
De ta peau parfumée
A travers le tissu que je n’ose opprimer.
A travers tous les mots que je veux libérer,
Là, juste sous tes lèvres fleuries.
J’apercevrais ton corps et ta bouche alanguis
Les vagues feraient comme de la vapeur
Une brume d’avant midi chuinte à mes oreilles
Le frôlement d’une aile qui cherche son écaille
Je me ferais soleil pour caresser cet or,
Dorure de coton de ton dos qui s’endort.

Tremblements de jours où les seuils se succèdent
Et jouent dans leur invisible lumière.
Dans la chair des promesses.
Dans la chair de la nuit
Où le moindre des gestes
A sa portée
Sur les papiers peints de la prière.
Et où la ligne de veille se vit et s’écrit
Dans le pouvoir majestueux qui nous est donné
De le porter aux nues, et aux frontières.

Mon regard vers la mer
Toujours a des regrets impénétrables.

 

Texte   : Martine Cros
Dessin : Martine Cros, d’après Le Caravage, un détail du tableau « Les musiciens », 1595

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Neige absence

03 dimanche Jan 2016

Posted by lecuratordecontes in Martine Cros

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Martine Cros

Neige absence


Pourquoi j’habite la Montagne Bleue ?
Sourire sans réponse coeur serein.
Fleurs de pêchers que charrie la rivière
Un autre monde existe loin des hommes.

LI PO.


Dans l’absence en moi,
je suis née pour te sourire.
Aucun froid, aucun soupçon,
et des parfums magiques.


C’est apaisant comme une fleur de neige.
L’obscurité abrite ses flocons. Ils ne chutent pas, ils rejoignent leurs pairs,
ils tombent dans ce à quoi ils appartiennent.


De la neige de l’amour de la musique :
je pose âme et pieds sur cette seule terre :
elle se nomme : absence, éclipse de peau.
Une seule entité me sollicite, libre, évidente,
quelque chose qui semble de la neige, un silence, quelque atome de tao,
un chant de l’oiseau le matin très tôt, un langage primitif
d’où ne naissent de mots – tout y est d’emblée,
intelligible.

Une épluchure de fatigue, entendue, choyée.
Un cadeau que l’on reçoit de voir ces fleurs fanantes,
ces flocons chuintants,
quelque chose qui ne s’offre pas,
qui est là depuis longtemps.


Il rôde des manquements partout hors du corps,
à l’orée de lui et de l’âme environnante,
qui pourtant incestueusement le couvre de baisers.
Le corps comme une mort se meut comme une ruine,
noble et rouge dans le coucher fabuleux
de celle qui mange des rêves.


Il saigne une morsure vive.
Des fragments de vie monacale s’éparpillent, mimant la floconnerie.
Comme un pointillisme fauve déborde de la nuit. Vite, les bandages de prières !


Il est des constellations où la fleur de ma bouche
se promène et butine d’étoiles en étoiles.
Leurs sexes multicolores, où se trop-taisent encore
les promesses, que les tombes font aux berceaux.


Il est un doux monastère où j’aime revenir
où me penchant sur toi, je me pose en un corps,
dont d’un baiser je prends le pouls-présence.


Il sera une onde calme cou épaule ou flocon,
une évasion,
à trouver refuge au creux des clavicules,
et le long des bois sans cages,
comme pour chercher un nouvel
ordonnancement.

Texte : Martine Cros

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madrigali

23 lundi Nov 2015

Posted by lecuratordecontes in Martine Cros

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Martine Cros

Si l'amour

‘Si l’amour n’existe pas, O Dieu, alors qu’est-ce que je ressens?
Et si l’amour existe, quelle chose est-il, qui n’est pas le néant? ‘

Pétrarque

madrigali

 

je te savais l’orage
les vents ont soufflé sur le feu
mon désir !         . à voix seule

en pliure des voeux
le dommage collatéral me recrache
et en cendres je demeure le roman

inachevée de tes regards
j’attente aux floraisons de formes
mille doux lieux de mes pensées

j’écrirai mes yeux sans pleurs
brûlés à tes merveilles ils viennent
poignarder là

sous les pages presque blanches
les mots
amorosi

tu vas et je viens
je vais tu-viens-tu
allées et venues

heures argentiques qui tapissent la peau
intime de mon coeur téléobjectique
de ces photographiques morts

réseau de veines pourpres sans cris
aller venir en la chair des mots sang
dédale polyphonique d’un naufrage

sans berceau

ô mon amour perte de toi
non arriva non arriva
extirpe l’or de la chape

 

loosant toute grammatismale
perte de voix madrigala
non m’arrima non m’arrima

 

levée cambrée au ciel la mer
aiguë n’a qu’à, s’étale
jusqu’au mirage , horizontale

 

lève l’intime dramaturgie
dessous la brisée légère
non marina non marina
je me savais l’otage feu
les vents ont soufflé
mon désir !           . à voix seule .

 

Martine Cros,
à Dijon, le 21 novembre 2015,
(poème inédit pour les Cosaques des frontières
à l’orée de l’amour et de l’attentat)

Peinture:
VUE SUR ARCONA À L’APPARITION DE LA LUNE – CASPAR DAVID FRIEDRICH

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