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Archives de Tag: Journal de vacances

Journal de vacances 3 : à la cire

27 mercredi Juil 2016

Posted by lecuratordecontes in Anna Jouy

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Journal de vacances

à la cire

M’étendre, me détendre.

La petite arracheuse de poils navigue de droite et de gauche affûtant ses outils, ses très vieux outils de tortionnaire. Gracieuse minette aux petits pas joyeux de geisha avec au centre d’elle l’étrange feu des napalms- ah! dé-forester ces territoires apaches, dé-touffer les plaines et les deltas ! La jachère pure, la jachère à tout prix!  Sans état d’âme autre que celui de faire « propre en ordre ».

Je l’examine réchauffant la colle, préparant ses ongles mignons à leur tâche saisissante. Elle me sourit et me couve comme l’objet d’un rare instant de pur délice.  Mais  tout en moi est tendu.  Je pratique une retraite intérieure, je tente avec une obstination de jeune convertie de réduire mes surfaces à un minuscule carré de gazon, à peine de quoi imaginer un golf miniature. Mais elle touille ses huiles, ça bout, ça clapote et ce n’est pas la seule matière en ébullition dans la pièce zen couverte de posters glabres, impressions sur papier glacé.

Mes doigts cherchent un soutien, une compassion fébrile dans la mousse de la table. Je griffe l’acier toutes serres dehors, crampons pitonnés dans la table des vertiges. J’étire mes lèvres sur sourire et pincettes et je tends le cou bien haut comme si on allait, ô suprême injustice me guillotiner la tête en l’air.

La jeune officiante me regarde à peine. N’ai-je pas cependant offert à son sadisme joyeux de quoi s’affirmer et croître encore? Pitié!

Elle me fixe soudain et ses doigts s’agitent et gigotent au- dessus de mon pauvre corps…. Je sens soudain une plaque, que dis-je une claque de cire  » s’éclaffant « sur le seul Mont de tout mon paysage, volcan provisoire. Le sort en est jeté. Dans une minute, une toute petite minute, ma terre aura encore perdu l’espace d’un grand terrain de foot  de précieuse forêt vierge! Catastrophe écologique pour le profit de la multinationale du plaisir…Ô triste Géa que l’on meurtrit, que l’on déboise sans vergogne.

Elle sourit, elle se mordille la bouche. Ses ongles cherchent la faille, là où saisir la cire durcie. Appliquée, lente, subtilement inopérante. Et dans ma tête défilent les hécatombes des essences précieuses des lointaines Amazonies. Je serre les yeux, je perce la table. On souffre tant de déjà savoir, d’avoir déjà été la victime de la laborieuse maîtresse de tortures en tout poil. On sait que ça va abruptement  faire remonter de soi un hurlement incontrôlable, une montée en staccato avec expiration imminente. En dessus de moi planent les cris des autres, ces plus courageuses, ces presque glabres, ces à peine humaines, des angelotes aux fesses roses d’éternels poupons.

  • Comme vous êtes délicate !, minaude la terrifiante
  • Grrrhheu…
  • Vous verrez il sera tout content…
  • ? Il…, qui?
  • Votre chéri…
  • Certes…certes.

Tandis que me revient en tête ce rikiki de maillot de bain, pour lequel j’ai succombé il y a peu…je le savais, je le savais que ce n’était pas une si bonne affaire…

 

Texte : Anna Jouy

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Journal de vacances 2 : Été

20 mercredi Juil 2016

Posted by lecuratordecontes in Anna Jouy

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Journal de vacances

été

Prendre l’été, forme passive de l’être. Prendre l’été, comme on tombe dans le sable, après un grand saut. Cet élan qui enfin aboutit. J’ai travaillé et il est temps de lever haut les mains, de s’accrocher au ciel, au bleu, de s’y suspendre un instant et de brasser encore un vide porteur, d’agiter jambes et bras et  d’arquer le corps en projetant un dernier vieux désir, à l’avant, plus loin, là-bas.

Prendre l’été. D’autres le volent et vraiment leurs enjambées géantes les propulsent à des surfaces lumière de leurs racines. L’humanité est en transe. L’humanité blanche, pâle, les peaux préservées sous des chemises raides, des tailleurs étroits moulant des fesses compassées, cette humanité de bureaux et d’antres frileux soudain sautille et puceronne vers les quatre coins du globe. Elle prend l’été, – ce qui fut-, pour atteindre à la finalité brève flamboyante, pour saisir le fruit de leur être laborieux, verbe devenu d’actions, de folies et de servitudes.

Il y a devant moi le bac frais du sable des vacances. Je tire mes jambes d’athlète de la semaine, mes bras aux doigts noueux de clavioter interminable. J’allonge mon corps rassis de tremper dans ses encres. Je m’apprête au déploiement, à l’élongation musculeuse de mon être. Je m’apprête à l’extension no limite, au supplice délicieux de la roue de bagnole qui va m’étirer majuscule toutes les jointures, les points charnières, qui va décoller les tissus de mon âme adhérant à la peau. Je vais flotter peut-être ainsi comme une veste futile sur le mât de misaine des quelques jours battant vacance.

Prendre l’été. Une porte de fond de cour, une porte sur le bas-côté, dans l’espace clos des jours, porte cachant la  remise à demain, l’enclos de dossiers toujours ouverts,  la resserre de services. Toute l’année on l’oublie, c’est un endroit du domaine qu’on tient au secret longtemps, une arrière-cour, un jardinet, un lopin sauvage avec vue sur  nos autres vies. On va s’y rendre, riches d’un territoire étonnant. C’est là-bas dans ce lieu privé, intime qu’on pense enfin atteindre un peu sa réalité. On y sera, enfin soi-même.

Et le voilà cet été pour être enfin. On y est différents, oui, porteurs de shorts immondes et de chemises fleuries, de tongs de plastique. On s’y balade décoiffés, hagards, heureux d’un peu de vent et d’un jus qu’on savoure bêtement sans se souvenir du coût des choses. On y est sauvages, mangeant avec les doigts sur des bords d’autoroute, parlant fort, riant même scandaleux à de grasses blagues qu’on va laisser ensuite traîner à terre parmi des plastiques et de canettes vides. On y est cultivés en file indienne à l’entrée d’un musée, d’une église, d’un concert. On s’ébroue dans des soirées à force de basses et de rythmes furieux. On est autres, neufs, réalisés. On se découvre enfin des libertés sans contrainte que celles merveilleusement supportables de faire le mouton en son petit parc si naturel, celui qui est derrière sa bâtisse de jours et qu’on appelle été.

Prendre l’été. La vacance laborieuse, la frénésie de vider son grand sac d’économies soucieuses pour acquérir l’éphémère bien d’un repos consommé.

Il est l’heure. Où ai-je mis la clé du portail? Il y a derrière ce vieux bois du fond de ma saison, un paradis perdu, mon autre vie. Ce temps frais, intime où je laisse enfin un peu d’air passer sous ma robe et où je me surprends, me savoure, m’enrichit et me danse…là devant moi, enfin. Et ce bruit délicieux du loquet qui cède et grince…

 

Texte : Anna Jouy

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Journal de vacances

08 vendredi Juil 2016

Posted by lecuratordecontes in Anna Jouy

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Journal de vacances

vacances-1

Ville dégagée, parfaite nue. Espace inhumain. Est-ce pour confirmer que c’est bien le vide? Grande lumière partout et moi dans le bar de la Gare, borne d’amarrage de mes sorties de route. Ici avec un café débute l’essentiel toujours de ma méthode de vie. La matrice ferroviaire, habitée de va et de viens, de départs et d’arrivées, comme si elle jetait des bébés tout pleins de cicatrices et de douleurs dans l’escalator existentiel. Je crois que je suis un vieux prématuré.

Bien trop tôt pour l’heure du train comme pour m’assurer que personne n’a eu l’idée entre temps d’effacer cet endroit de la carte ou que la station n’ait pas pris ses valises pour les poser dans un autre quartier résidentiel. Temps yoyo intense. Je pars je viens je joue à l’élastique sans cesse étirée-rabougrie. Je teste le craquement le point de rupture…Lausanne 80 km puis retour puis repartir, succession de flexions génuflexions. Je passe de carte en carte sautant dans les cases du chemin initiatique. Où en suis-je? Pas loin du point de départ. La gare est-elle un arcane?

Et je reviens. J’essaie le loin, le proche, je teste le début, un bout de trajet et hop je reprends la main. Je m’approche, je m’éloigne. Choisir mon camp là où la résistance de l’élastique cèdera, où le nerf du ressort pètera? Ici? Ou là-bas? Intéressant non…

Je vais me refaire une é-tirage, cartes grande échelle sur table: il y a eu un moment, peut-être quelque heure, où vous m’avez aimée. Je le sais. C’est ce où que je cherche encore. Aller-retour. Pas sûr qu’il y ait encore pour nous des sacs de grandes chances, des tirages de dés à profusion… Le hasard n’existe pas mais où sont nos désirs prospères nos envies de bouffer de la vie ? Où sont mes croyances sans équivoque: je ferai l’amour  je ferai l’amour je ferai l’…avec toutes ces charges de joie et de tristes violences. Il suffisait alors de lancer dans le ciel cette rage de vivre pour que tombent des colombes et des pains bénis. Mains tendues je recevais et dans ma paume qui en brûle toujours des baisers autant que je pouvais dire encore encore encore… Ce n’est pas le temps qui manque, ce n’est pas le temps qui enterre, ce n’est pas le temps qui  « dé-crée ». C’est ce manquement de paroles et de chants, ce manquement de la voix qui feutre la vie et la rend aussi imperméable qu’un métal, aussi raide que le squelette dont nous sommes construits. Qu’ai-je à prétendre créer et mettre au monde si je ne désire plus un départ? J’en vois qui suturent avec des frénésies paralytiques leurs lèvres vives… Alors je devine que le temps s’installe, qu’il prend corps et forme. Le temps surgit dans ce trou, cette absence de poésies. Le temps monte car la vie a horreur du vide. Le temps n’est que cette ombre portée de tout ce qui ne peut apparaître. Le temps qui dans sa forme finale, son ultime chrysalide laissera la mort sceller gestes et paroles et poser son petit catafalque sur le désir.

En vacances, qu’est-ce que je cherche si ce n’est l’oasis où tu défais les palmiers, croyant déshabiller le ciel. Scories de jours balayées d’un revers de godasse, pastels et fusion sous le tissu gris de la gare

 

Texte : Anna Jouy

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