[Le hasard (?) à fait voisiner deux textes, deux plumes, à bien des égards, très proches, qui me touchent beaucoup.]
Ici
comme toujours chez elle
l’écriture est si dense
[non … pas l’écrit … les mots
non … pas les mots … leur souffle
non … … et pourtant ]
Anna Jouy donne en ce poème
de quoi lire et relire des journées entières (… si ce n’est notre peur de l’immobile)
un monde à la fois habité et hanté
dont elle nous ouvre la porte en grand
en très grand
sachant que nous ne pourrons aller au-delà du seuil
d’où
si nous lui laissons le temps
nous pourrons entendre, voir, humer même
l’oeuvre en cours de l’alchimiste.
jcpinsac55 a dit:
La danse des mots
J.J. P. a dit:
toujours prenant
et portant
loin
ton verbe
Aunryz a dit:
[Le hasard (?) à fait voisiner deux textes, deux plumes, à bien des égards, très proches, qui me touchent beaucoup.]
Ici
comme toujours chez elle
l’écriture est si dense
[non … pas l’écrit … les mots
non … pas les mots … leur souffle
non … … et pourtant ]
Anna Jouy donne en ce poème
de quoi lire et relire des journées entières (… si ce n’est notre peur de l’immobile)
un monde à la fois habité et hanté
dont elle nous ouvre la porte en grand
en très grand
sachant que nous ne pourrons aller au-delà du seuil
d’où
si nous lui laissons le temps
nous pourrons entendre, voir, humer même
l’oeuvre en cours de l’alchimiste.
annajouy a dit:
c’est trop… vraiment trop. je suis votre obligée.
merci de cette amitié uniquement tissée de mots et fidèle
colorsandpastels a dit:
Caryatide des Mots
Plus forte qu’Amazon
J’aime ta folie