[Le hasard (?) à fait voisiner deux textes, deux plumes, à bien des égards, très proches, qui me touchent beaucoup.]
Ici
comme toujours chez elle
l’écriture est si dense
[non … pas l’écrit … les mots
non … pas les mots … leur souffle
non … … et pourtant ]
Anna Jouy donne en ce poème
de quoi lire et relire des journées entières (… si ce n’est notre peur de l’immobile)
un monde à la fois habité et hanté
dont elle nous ouvre la porte en grand
en très grand
sachant que nous ne pourrons aller au-delà du seuil
d’où
si nous lui laissons le temps
nous pourrons entendre, voir, humer même
l’oeuvre en cours de l’alchimiste.
La danse des mots
toujours prenant
et portant
loin
ton verbe
[Le hasard (?) à fait voisiner deux textes, deux plumes, à bien des égards, très proches, qui me touchent beaucoup.]
Ici
comme toujours chez elle
l’écriture est si dense
[non … pas l’écrit … les mots
non … pas les mots … leur souffle
non … … et pourtant ]
Anna Jouy donne en ce poème
de quoi lire et relire des journées entières (… si ce n’est notre peur de l’immobile)
un monde à la fois habité et hanté
dont elle nous ouvre la porte en grand
en très grand
sachant que nous ne pourrons aller au-delà du seuil
d’où
si nous lui laissons le temps
nous pourrons entendre, voir, humer même
l’oeuvre en cours de l’alchimiste.
c’est trop… vraiment trop. je suis votre obligée.
merci de cette amitié uniquement tissée de mots et fidèle
Caryatide des Mots
Plus forte qu’Amazon
J’aime ta folie