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Archives de Catégorie: Jean Dupont

Plongée D’hiver – Pièce de Jean Dupont aux Editions QazaQ

20 vendredi Jan 2023

Posted by ykouton in Jean Dupont

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Au fil de monologues et d’un épilogue, ce texte-pièce de Jean Dupont déploie une impressionnante réflexion sur le récit. Comme le lieu d’une expérimentation infinie. Mise en abîme, que l’on pourrait résumer par cette seule phrase issue de « Plongée d’hiver » : « tout se fait et se défait en moi ».

L’éternelle ambivalence du langage face aux mille chemins qu’une histoire – que l’Histoire ? – peut prendre. Avec ce texte, d’une profondeur et densité sidérante, Jean Dupont s’inscrit dans le travail d’un Bernard-Marie Koltès. De cette approche théâtrale radicale où la solitude est une parole déréglée proche de la folie. Elle déploie pourtant un univers au-delà du réel, aux limites surréalistes, mais surtout aux confins de ce que la poésie permet. C’est-à-dire à peu près tout, une fois que l’on a compris qu’elle est la perturbation absolue du discours. Les nuages parlent, le récit n’est qu’une énigme, un mystère. Et la scène le réceptacle d’un secret. L’éclairage de l’exil, d’une étrangeté consubstantielle à l’existence.

Cette étrangeté que le langage ne parvient pas à cerner. Sauf si l’on recourt à la poésie. Dont la puissance agit comme une véritable force de déplacement mental. « Plongée d’hiver » nous oblige à cette confrontation. Beauté pure du texte qui transcende l’évidence première, la matérialité trompeuse de la logique langagière et d’une narration cohérente. Cette illusion à laquelle on s’attache, avant de s’y résigner. L’abandon du rêve, d’un champ des possibles. Jean Dupont fait de la scène le lieu de la renaissance. Voire de la révélation. Le récit n’est qu’une construction reposante mais terriblement limitée, comme une prison mentale, dans laquelle l’humanité finit par échouer. Le malheur commence très exactement là. Quand toutes les portes du récit se referment sur elle. Une échappée est possible.

Yan Kouton

******

Parler d’un texte, est toujours un exercice risqué, d’autant plus quand il s’agit de l’introduire à quelqu’un. Cela demande une certaine forme de délicatesse, afin qu’une première lecture n’empiète pas sur l’autre. Y conserver un espace, donc. Une ouverture.

Quoi dire, et ne pas dire ? Et surtout, comment le dire ? Par où commencer ? Et où s’arrêter ?

Dans la mesure où Plongée d’hiver résiste, échappe, (et c’est peut-être là son geste initial) à qui voudrait l’attraper dans les catégories littéraires existantes, il va falloir tourner un peu autour. Ni tout à fait roman, ni tout à fait poème, ni tout à fait théâtral au sens aristotélicien, ni tout à fait théâtral au sens romain, ni tout à f… on s’y perd rapidement. Pourtant Jean Dupont a tranché : il affirme et défend ce texte, comme d’ailleurs tout le reste de son travail à ce jour, comme étant du théâtre.

Il entend par là une certaine qualité de parole, au sens où comme le dit Philippe Lacoue-Labarthe

la phrase – la littérature – est orale.

Il y faut la voix.*

La voix, et donc aussi le corps, une certaine qualité d’écoute et de présence. Il faudrait essayer de lire comme un acteur ou une actrice le fait : lire, non pas avec emphase et expression, mais avec attention.

Lire avec son corps, avec les yeux, la langue, la main, les oreilles, le nez, la peau, les poumons.

Lire pour sentir, pour respirer,

lire comme on s’en va marcher en forêt, curieuses, craintifs, à l’affût

de tous les bruits

de tous les corps

de toutes les voix

Lire sans s’inquiéter de ne pas comprendre – on comprendra

Plonger

(*Phrase, Philippe Lacoue-Labarthe, éditions Christian Bourgois)

Mathias Rouche – metteur en scène du spectacle tiré de la pièce

****** 

Extrait :

« non – non – je ne peux pas voir cela – non – je ne comprends pas ce que tu dis. Je ne comprends pas ce que tu dis, non, Non ! je ne comprends pas ! – ta parole continue, ta parole continue, ta parole ne passe pas – ta parole n’est pas le couteau dans le ventre : pas plus la pierre jetée dans l’eau elle est l’impact qui n’arrête pas de rayonner et traverse mon corps, la lumière d’un soleil qui éclabousse. Je ne peux pas « Je ne peux pas » voir cela, et tout se noie autour • Mais ! Mais si je ferme les yeux, comme deux ailes deux rameaux deux volets, si je ferme les yeux et si comme un oiseau plonge dans un lac je peux oublier ta parole si comme fondue à cette seule et absolue fossile-vague-chute-soleil-clochette direction je peux descendre ta gorge, poitrine, ramper,, trempée,, dans la bouche ouverte et tellement heureuse du ruisseau dans le bruit de l’eau qui coule dessous mon ventre dans le tunnel-tu ne m’aimes plus peur-pâte-râle-ravale où mes oreil’les tom’bent et où mes deux mains deux deux pieds s’enfoncent s’enfoncent s’enfoncent dans le trou introuvable où l’on touche le visage des secrets avec des doigts neufs : « et que et que » : et qu’enfin arrivée à cette seconde rouge et vivante cette seconde-mal moment mauvais_cette seconde comme un animal « et que », où ce mot MAUdit de « pirAte » est rentré comme un ver : si arrivée à cette seconde et si celle-ci entre mes mains (mains amoureuses trop amoureuses) si arrivée et si à cet instant je peux parler enfin à ton cœur, : alors je ne te changerai pas, alors je n’en aurai même pas envie, de te changer te dire de rester ou seulement de me donner un regard comme avant ; je tournerai, je tournerai ton cœur, les rires d’enfants, les joies invasives que tu as semées partout dans tes sillons, dans tes tourbillons [quelques-unes en moi ont germé], tout, je tournerai tout, les années parties en courant, nos deux mains qui ensemble ont poussé comme un fruit, chacune dans la bogue de l’autre, je tournerai ma mère, mon père mon frère et Tout ! Tout ce que l’amour a fait perdre a fait aimer perdre à ta liberté et être vaincue, Tout, je tournerai tout vers cette forêt qui te protège, vers cette immense famille qui t’aime, et vers cette guerre qui est la nôtre, qui marche sur ses deux jambes et qui nous regarde. »

plongee-dhiverTélécharger

Plongée d’hier – Jean Dupont – Editions QazaQ – ISBN : 978-2-492483-59-2

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« Foi Folie et Fêlure » de Jean Dupont aux Editions QazaQ

29 mercredi Juin 2022

Posted by ykouton in Jean Dupont

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Toile de Aris Francel

On aborde d’abord « Foi Folie et Fêlure » comme son auteur a souhaité qu’on le fasse. Comme une pièce de théâtre. Ce que le texte est. Sublime et hanté. Dur et terriblement beau. Une œuvre traversée de bout en bout de fulgurances typographiques, d’inventions narratives. Une œuvre dont la portée littéraire, philosophique et mythologique ne cesse de s’étendre au fil des lectures et des relectures. Une profonde réflexion sur l’amour, la filiation, le souvenir. Sur la destruction et la liberté.
Le texte travaille à décloisonner l’écriture dramatique, en ouvrant la poésie à la dynamique du théâtre, puis en réinventant le théâtre par son immersion dans la poésie. L’on mesure alors l’importance de « Foi Folie Fêlure » à cette difficulté : le théâtre est le lieu de l’incarnation empirique, alors que la poésie est le lieu de la transcendance. Deux visées antagonistes, que Jean Dupont parvient à fusionner en forgeant un « théâtre-poésie » (tel qu’il a pu être défini par Marianne Bouchardon).
A l’instar de Paul Celan, mais aussi de Guyotat, Jean Dupont transmute le langage.
Le langage devient matière ici, perdant sa fonction communicationnelle, dont on mesure chaque jour la faillite. La parole s’est perdue dans son rapport à l’histoire, aux histoires. Devenant l’instrument du storytelling, ou du roman. L’instrument du drame mis littéralement en scène. Au détriment du conflit de l’homme avec le langage. Autrement dit, au détriment de l’essence même de la poésie.
Ainsi Jean Dupont percute la matérialité même du théâtre, en le sortant de son carcan dramatique, pour le précipiter, grâce à la force poétique, dans une forme indéterminée, mettant en jeu la vie même, en lieu et place d’une dramaturgie prédéterminée et forcément réductrice.
« Foi Folie et Fêlure » est une transgression qui ébranle ce que l’on connaît du théâtre de manière classique. Le texte déstabilise cet édifice, en mettant en jeu, non pas une « scène », mais bel et bien la poésie comme matrice du tout. Seule force capable de renverser les cloisons entre genres. C’est même sa fonction vitale. Interroger, jusqu’au langage, les fondements les mieux établis pour faire surgir de nouvelles formes. Et mettre l’homme face à lui-même. Dans sa singularité, son mystère et sa liberté foudroyante.
Jean Dupont affronte là, par le versant poétique, ce qui fonde le théâtre, mais ce qui le détruit aussi. Avant de le reconstruire, totalement renouvelé.

Foi-folie-et-felureTélécharger

« Foi Folie et Fêlure » de Jean Dupont – Editions QazaQ – ISBN : 978-2-492483-47-9

Sur l’auteur

Jean Dupont est né dans un mimosa en fleur dans la banlieue Est de Paris. Il préféra les rivières aux écoles, et décida d’écrire pour le théâtre. Après avoir pédalé jusqu’aux forêts du Morvan et survécu au désert de Paris, il s’installe à Bruxelles qui est plus douce et généreuse. Un extrait de sa pièce L’amour au premier regard a été publié dans le numéro 16 de la revue Le Cafard Hérétique. Un extrait de sa pièce Avec la mort à bicyclette a été publié dans le numéro 214 de la revue Recours au Poème. Sa pièce Foi folie et fêlure est publiée aux éditions QazaQ en 2022. À Bruxelles, il participe en 2022 en tant que dramaturge à la création de deux ses pièces, Plongée d’hiver et L’amour au premier regard.

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