doutes blancs… fantômes de la chambre… souvenirs d’errances ou de vies fantastiques… le théâtre de mon sommeil absent
la nuit ne s’éteint plus
comme la fusion au cœur du réacteur
la nuit m’étreint blanche
je vois passer le jour d’après
les yeux grands ouverts
je vois l’assassinat du jour d’avant chaque nuit
dans la cendre… un oubli… la peau du temps… une tristesse valeureuse
Texte/Illustrations : Pierre Vandel Joubert
j’aime ces apnées où les images ont le temps de vivre
j’aime ces apnées dans le texte…. qui laissent les images vivre
dans l’espace, un lieu singulier qui nourrit le temps avec les mots
et des images qui colorent les gestes
puisque l’insomnie conte