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Les Cosaques des Frontières

~ refuge pour les dépaysés

Les Cosaques des Frontières

Archives de Catégorie: Jean-Claude Bourdet

Savane

27 mercredi Jan 2021

Posted by ykouton in Jean-Claude Bourdet

≈ 3 Commentaires

Jean-Claude Bourdet nous fait l’honneur de proposer aux Cosaques un poème qui sera publié dans son prochain recueil – aux Editions A L’index – consacré à la peintre Sylvie Basteau.

la toile par multiples sentiers
laisse le regard s’éloigner
les grappes de velours
dérangées par quelque félin, se dispersent
en cris silencieux
À l’horizon doux de collines sauvages
l’infans court entre les folles graminées
le sol chaud de l’ancienne caldera
assemble sans haine la mémoire blessée
des pieds agiles fuyant
l’esclavage
À l’ombre des astres
les arbres parapluie dessinent
des silhouettes fantomatiques

Errant sous les étoiles
un cri déchirant ponctue
la tragédie naturelle qu’aucun Pedro Calderón De la Barca
n’écrira
Que fait donc le vent dans les bulbes
troués par les fourmis
quel air fredonne-t-il chargé de sable saturé
de sueur de peur d’amour
vers quel espoir entraîne-t-il le marcheur
solitaire
quelle eau de vie remplit sa gourde ?
Maîtres de la savane les acacias célestes
songent à l’oracle sacré
d’une mythologie incertaine
mystérieusement surgie
sans tendresse
de temps immémoriaux
narcisse glorieux suspend ton pas
happé par la perspective fuyante
Le sort des épices roule
buissons épineux de chair suspendue
entre les troncs noueux
les souvenirs, comme le pain
se consument
marguerite sans pétales
messie d’orient à dos de chamelle

Extrait du livre La peintre le sait-elle ? de Jean-Claude Bourdet
Accompagné de trois œuvres de Sylvie Basteau
Liminaire de Gilles Jallet

Toile :

Savane
120×120 cm, 2017
Sylvie Basteau, Bordeaux

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L’Histoire de Pierre (16)

09 samedi Mai 2020

Posted by ykouton in Jean-Claude Bourdet

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IMG_7640

Elle semblait taillée dans du saule, souple et résistante, sa peau était fine, hâlée par des années de labeur. Elle m’avait dit qu’elle avait trois enfants, deux grands garçons un peu rudes, une fille plus jeune, celle qui l’accompagnait. L’homme qui était avec eux était son ami, elle avait décidé de le quitter mais ne lui en avait encore rien dit. Elle avait sacrifié sa vie, sa carrière, pour faire de ses enfants des humains, forts, résistants, elle y était presque arrivée. Mais elle avait peur, elle était dévorée par un amour ancien qu’elle espérait faire renaître. Elle avait affronté toutes les épreuves de la vie dès sa prime enfance, cela l’avait modelée, durcie, son intelligence vive, l’acuité de sa vision lui avait appris à suivre les multiples sentiers de l’existence. Il y a bien longtemps elle avait croisé un homme qui était devenu le père de ses enfants. Elle l’aimait, ils s’étaient éloignés, un temps, l’un de l’autre, ils avaient continué leurs chemins sans jamais se perdre de vue. Quelques nuages avaient bien essayé d’assombrir leur ciel mais sans vraiment les inquiéter. Un nuage, particulièrement inconscient, avait pourtant tenté de la ravir, de lui montrer que le ciel bleu peut se colorer de rouge, il avait même cru un instant y être arrivé. Mais le vent qui emporte les passions était arrivé et le ciel s’était de nouveau éclairci au-dessus de sa tête. Le sable chaud du désert recouvrait ses pas, personne ne pouvait la suivre vraiment, un jour le nuage, qui était obstiné, après avoir irrigué les champs arides de la terre, l’avait retrouvée, elle errait seule, perdue dans les rues d’une grande ville, il avait murmuré des mots tendres, aimants, à son oreille, au début elle ne les avait pas écoutés, toute envahie par de sombres pensées. Mais, le soir, dans un coin de sa mémoire elle s’était souvenue de ces mots, elle avait retrouvé le sommeil. Alors le nuage avait poursuivi sa route dans le ciel tourmenté des sentiments.

La pirogue laisse une traînée blanche, mille fils tressés dans l’écume accompagnent le sillage de l’effilée colorée.

Des voix de femmes, légères comme le vent, enveloppent le ronron du moteur. Alanguis sur le pont, le temps coule comme l’air frais. La Mangrove dessine des paysages monotones qu’on remonte sans fin. Quelques Baobabs se découpent à l’horizon des champs de Mil, d’autres pirogues nous dépassent, flanquées de femmes longilignes, leur bébé sur le dos.

Parfois le piroguier se rapproche, échange quelques mots en Wolof, donne un ustensile usager, récupère quelques carpes rouges. Une clique d’oiseaux s’envole lentement à notre approche, accompagnée du feu d’artifice de leurs cris de colère.

Pape Diouf égrène des noms mystérieux tirés d’un précis naturaliste oublié. Un Courlis Courlire au long bec courbé, un Rollier d’Abyssinie aux ailes turquoise, le grand Héron Goliath, un Pélican décolle comme un Airbus surchargé, tiens des Flamands roses qui, de loin, paraissent délavés.

Nous sommes là, passagers en transit, errants enveloppés d’une douce torpeur, comme en sursis, recouverts de crème solaire comme les touristes des plages.

L’envie d’écrire me reprend sous la forme d’un dialogue intérieur au sujet de la belle étrangère et de son ami inconnu.

« Tu es là, le plus souvent en face, belle et inaccessible, aube d’un matin chaud, nuit de pleine lune que tu aimes tant.

Tu m’as fait le cadeau précieux d’un instant de ta vie. J’ai aimé te voir capter ces enfants éveillés serrés dans les pagnes de leurs jeunes mères. J’ai pleuré la fin de notre voyage. »

Bivouac sur l’île de Boslow dans le Delta du Saloum. L’air est doux, le vent de mer agite les tentes igloo qui ont poussé comme des champignons de rosée en rond autour du foyer. Quelques Cocotiers dessinent des arabesques dans le ciel rougeoyant du couchant. Le clapot du fleuve berce mon écriture nostalgique d’une musique lancinante que le vent balaye avec les buissons de graminées. Ande Sénégal, L’Amitié, notre pirogue se balance avec les ondulations des Palétuviers.

« La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme dans le déroulement infini de ses lames et ton esprit n’est pas un gouffre marin moins amer… » Écrit Baudelaire.

Chacun s’occupe dans cet entre-deux qui s’étire comme un chat qui s’éveille.

Le crépitement de la sauteuse où dorent les oignons mêlés aux tomates rouges et aux poivrons écarlates murmure une berceuse aux saveurs épicées. Le Wolof nourrit une conversation constante entre les cuisinières et le pilote de la pirogue.

De quoi parlent-ils ? Quelles nouvelles en appellent d’autres, amours passées, souvenir d’un cousin éloigné qu’ils ont croisé à Niodior lors du spectacle de lutte ? Parlent-ils du vieux Lion qui traversait la route, à la frontière de la Gambie, dans les années 80, obligeant les voitures à s’arrêter en révérence à sa majesté. Parlent-ils de Phaco qui raconte volontiers, à la veillée, l’histoire de ce maître d’école qui voulut l’empêcher de manger la viande de Phacochère.

Ou bien de la vérité, reine des mensonges, qui vient détruire le rêve d’un homme perdu ?

Diront-ils le cri des enfants, étouffé par le rideau d’arbres qui me sépare de toi, la larme qui dessine sur ma joue une géographie éphémère que le soleil efface.

Texte/Illustration : Jean-Claude Bourdet

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Roi de la Mort (2)

07 mardi Avr 2020

Posted by ykouton in Jean-Claude Bourdet

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IMG_7453

III

 

As-tu frappé à ma porte aujourd’hui ?

Grand décideur, es-tu dans ma maison ?

A l’abri je me croyais

Loin je m’étais réfugié, hors de ta portée

J’étais fou, inconscient

Pessoa aurait dû m’appeler

Lui l’intranquille dans sa demeure

Rien que pour entendre sa voix

Mais que dis-je, je m’égare.

 

 

IV

 

Colère

Haine

Angoisse

Êtes-vous en train de dépasser la charge virale des monstruosités quotidiennes ?

29 Mars 2020

8215 – Italie

3292 – Chine

1147 – Etats Unis

2314 – France

4858 – Espagne

Roi de la mort, grosse mine verte hérissée de piquants

Trop visible dans la vacance

Le silence de mort sur les villes abandonnées

Enfin en paix

 

 

V

 

Je marche dans les rues vides tous les deux jours.

 

 

VI

 

Deux carcasses calcinées abandonnées

Donnent au quartier résidentiel, un air de banlieue chaude.

 

 

VII

 

J’ai croisé un homme pressé, il a changé de trottoir en m’apercevant.

Flanqué d’un chien blanc et marron au regard de voyou

J’ai juste eu le temps de voir le petit animal lever la patte gauche.

Tient c’est un mâle.

La phrase m’est venue à l’esprit, prenant la place de pensées saugrenues sur le malotru qui ne m’avait même pas salué.

 

 

VIII

 

Le confinement est un exercice permanent d’aïkido mental.

Colère, haine, excitation exubérante, désespoir, fatalité se succèdent à une vitesse déconcertante.

Le vocabulaire s’appauvrit pour qualifier cette météo instable et monotone de l’âme.

 

IX

 

Diran a eu le Covid-19, le scanner l’a confirmé

Une semaine « sous » le plancher de son appartement Parisien

Terrassé, m’a-t-il dit par le KO viral

Une voix faible mais l’Arménie parle avec elle

Fière, cultivée, chaude, saine

Sans colère, factuel heureux d’en sortir

 

X

 

Gaït a fabriqué des masques multicolores

Le CHU de Grenoble a mis en ligne un tutoriel très simple

Une infirmière m’a dit qu’on pouvait utiliser du linge polaire

Le froid du Nord a emmené ce Roi conquérant en France

Incubé en humide Asie du Sud-Est il a suivi les mille vents du monde

 

 

XI

 

La lutte s’est vite organisée

De multiples parodies, blagues, concerts, films ont fleuri

Des bouquets ont enchanté nos oreilles

Des images réjouissent nos palais

Des mélodies ravissent notre tact

Le clou de girofle enchante nos sens

 

 

XII

 

Annaïg travaille beaucoup sur le petit bureau qu’elle a emménagé dans notre chambre

Lorsque l’ordinateur lui laisse du temps libre

Elle fait le ménage « à fond » dans l’appartement

Une pièce par semaine

 

Texte/Illustration : Jean-Claude Bourdet

 

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Roi de la Mort

22 dimanche Mar 2020

Posted by ykouton in Jean-Claude Bourdet

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IMG_7132

I

L’anthracite de l’horizon scintille
Un couple de merles fabrique un nid de misère
Il ne reste que l’œil
Pour sentir le monde
L’image des Twins s’impose à ma perception
D’un coup d’œil je glisse
Intemporelles pensées
Oh une fumée noire, là à gauche des tours
L’air vicié,
Le sol maculé,
Le tact cramé
STOP roi de la mort

II

Silence
Une abeille chargée de paille
Une musique macabre
Danse Roi de la mort
Joue, oublie-moi
Passe ton chemin
Tu me retrouveras bien assez tôt.

Texte/Illustration : Jean-Claude Bourdet

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L’Histoire de Pierre (15)

02 lundi Mar 2020

Posted by ykouton in Jean-Claude Bourdet

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Elle part sans dire quoi que ce soit. La Twingo est garée devant le garage, elle ouvre son portable après avoir allumé une Philip Morris Bleue. « J’arrive j’ai bien cru qu’il ne me lâcherait pas, tu m’attends, tu as réservé une table ? »

On n’entend pas la réponse couverte par le bruit du moteur et de la radio qui passe U2 à fond.

Vers minuit, les amants sont allongés, ils fument une cigarette. Tu vas le lui dire ? dit l’homme.

Écoute, je ne sais pas, je pense que oui et puis dès que je le vois je ne sais pas comment le lui dire, les mots ne viennent pas. Bon je rentre il va encore falloir que je lui mente je n’aime pas ça… »

Séjour au Sénégal.

Une feuille de Baobab est tombée hier soir. Elle avait poussé sans bruit, comme toutes les feuilles de Baobab, elle avait vu arriver les paysans avec leurs bêches au long manche d’acacia, elle les avait entendus parler dans cette langue familière, rude, de leur famille, des toubabs qui se faisaient rares. Elle avait vu passer la hyène sarcastique, les fourmis chargées de brins de mil, elle avait entendu le chant des petits calaos à bec rouge. Le vent l’avait caressée, elle avait eu peur que le soleil brûlant ne la dessèche, elle s’était délectée des premières pluies. Elle avait passé de longues heures à attendre un ami, quelqu’un avec qui elle pourrait parler de toutes ces choses banales de son quotidien qui l’attachait littéralement à ce vieux Baobab centenaire. Elle savait confusément qu’il coulait dans sa sève, qu’elle était de passage, qu’il la nourrissait et qu’elle lui était nécessaire pour un temps. Elle était son oxygène, sa couleur, c’est elle, avec ses semblables qui lui donnaient, pour quelques mois l’occasion de chanter autrement. Les molécules qui coulaient dans ses veines lui transmettaient toute la mémoire de l’arbre sacré du Sénégal. Parfois, lorsque le soleil déclinait, c’était le moment qu’elle préférait, quelques hommes s’asseyaient sur un tronc d’acacia poli par le temps, au pied de l’arbre, juste au-dessous d’elle. Ils racontaient souvent une histoire, elle avait vite compris que c’était toujours la même et attendait les premiers signes qui l’annonçait. Après les salamalecs d’usage, lorsque le groupe était au complet soit six hommes et une femme sans âge, l’un d’entre eux, jamais le même, commençait.

J’aimais, lorsque je me souvenais de ce séjour au Sénégal, imaginer ce que pouvait ressentir la nature rude et généreuse de cette région éloignée du delta de Saloum. Mais ce sont les longues traversées en pirogue et les bivouacs qui retenaient mon attention.

Une touriste m’avait intrigué, elle voyageait avec une adolescente, un homme semblait les accompagner, un ami certainement. Elle paraissait triste, son regard évitait celui de l’homme, elle restait la plupart du temps silencieuse auprès de sa fille ou prenait des photos. Elle était belle, fine, son corps élancé était fait pour la nage, ses jambes nerveuses pour la course, ses lèvres pour l’amour. Je me disais que le temps était passé, les lunes et les soleils avaient poli son cœur, ses muscles étaient fermes.

Texte/Illustration : Jean-Claude Bourdet

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