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~ refuge pour les dépaysés

Les Cosaques des Frontières

Archives de Catégorie: Aline Recoura

Tu As La Peau Fine

29 lundi Mar 2021

Posted by ykouton in Aline Recoura

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Tu as la peau fine
elle marque facilement
J’ai compris
le tout c’est de ne pas laisser
de marques
Un lancer de basket
sur la tête
un lancer d’échelle de mezzanine
puis un poing
sur la pommette
Fond de teint
maquillage
répare le dommage
Dommage
crier
laisse-moi tranquille
va-t’en
laisse-moi tranquille
va-t’en
à suivre dans l’appartement
enfermée
maintenir la porte
écran d’ordinateur explosé
tasse de café brûlant renversé
brûlures
Une dispute de couple ça arrive
parole de flic
Madame vous êtes en danger
et votre fils
parole d’un deuxième flic
Signalement description
donné fausse indication
Ce n’était pas le premier
le premier s’appelle
géniteur
Claques tapes derrière la tête
pour une mauvaise note
pour faire lire un titre de livre trop dur
pour des maths
Claques tapes sur les fesses
sur les cuisses
sans habits
s’appelle fessée déculottée
pour un non
pour une rébellion
pour du vernis à ongles
destruction d’objets
stylo plume préféré
pointe écrasée
Une maîtresse a vu
à la piscine
pas de suite
Larmes torrentielles
pluie diluvienne dans la chambre
déluge du cœur
Retour des mots
pour un nouveau ciel
celui de la culpabilité
Pardon ma fille
Pardon mais…
Mais quoi
redoublement de larmes torrentielles
pour d’autres ciels
Un cauchemar une nuit
une fille tuée
que j’ai tué
je ne sais pourquoi ni comment
Que faire du cadavre ?
Elle tient dans un carton cubique
qui lui-même entre dans mon caddie de courses
l’ancien
celui où j’habitais avant
Le mieux est de le jeter dans la Seine
Mon fils est là
Il me soutient et participe
mature
culpabilité palpable
de faire porter un tel secret à un enfant
et moi
je vais devoir vivre avec cette morte secrète
sur la conscience
et la peur d’être découverte
jusqu’à la fin ?

Texte/Illustration : Aline Recoura

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Soleil éclaté sur les murs

17 mercredi Mar 2021

Posted by ykouton in Aline Recoura

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Ils bombent ils bombent
ils viennent la nuit
toutes les couleurs dans le sac à dos
il faut faire vite
escalader
guetter la bande adverse
repasser sur la fresque d’hier

ils montent sur les voies
sur les immeubles
sur les trains aux dépôts
et s’expriment

disent leurs couleurs
leurs visages leurs symboles
leurs blazes leur nom de code
leur nom de couleur chimique
street art énergie des villes

ils se cachent des bleus
des serpents urbains à l’affût
venin féroce de la liberté d’expression

elles aussi sont là
elles tracent
elles sont des Winnie Graffiti
mouvements circulaires du bras
elles peignent leurs icônes féminines
slogans et désirs sous les bombes
la couleur danse dans le métal
fait son bruit de jeu d’enfant
le circuit à billes en bois du petit frère

elles imaginent leurs pays
ils ont les traits les contours de leurs naissances
elles inventent les matières métisses
inondent les murs de portraits
des consœurs de combats
elles signent poupées noires
sexy et coupe afro
robe moulante presque pin-up
des couleurs dans les cheveux
le lierre des murs devient coiffure
la nature résistante habille les corps

Elles s’engagent
ils disent
elles esthétisent
ils dévoilent

ensemble ils commencent sur les tables
dans leur chambre
dans la cage d’escalier
dans les caves
sur les murs du quartier
sur les boîtes aux lettres
aux arrêts de bus
sur les trains

Ils marquent leur territoire
elles prennent leurs ailes et les déploient
ils se font la courte-échelle en espérant toucher le ciel

Texte/Illustration : Aline Recoura

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Poèmes Divers

26 mardi Jan 2021

Posted by ykouton in Aline Recoura

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A l’occasion de la sortie de son recueil Banlieue Ville, Aline Recoura sera en lecture le 30 janvier prochain à « La Lucarne des Ecrivains« .

Nous profitons de cet évènement pour présenter deux nouveaux textes qu’Aline Recoura a bien voulu réserver aux Cosaques.

Y’a pas d’âge

Aimer par corps à coups de cœur
je ne veux pas de maison élue domicile
un carrelage froid une pièce abandonnée
un duvet des draps usés un peu de café
lune soleil dardant leurs lumières
muscles poils et sueurs saveurs
odeurs d’un logis où vivent les bougies
soupe sur le feu poireaux carottes navets
pommes de terre à feu moyen
feu fort rougit les seins nues
ébouriffe les cheveux de nos danses

Un doux cœur à cœur
galop féroce dans l’entrée
chatte dormante sur le coussin
de l’eau à la lave j’attends à toi
tes souffles ténus tendus retenus
en flux tendus à peau carrée
œillades répétées aiment
affolées par mon port de tête et mes os fins

Ta tête amarrée sur mon pubis
j’exile mes pensées dans l’écume
les suit les laisse flotter
la mouette en moi sur l’eau salée
retrouvée en notre amour
ma bouche te calme avant

avant la bête vive qui mord

En notre amour une expérience
la mort qui pousse dans l’intense
comme vent fort dans les voiles
conscience de la disparition
la mort à nos trousses surveille
garder les étoiles en attraper les pointes croquer
gourmandise avalée-léchée-pelée-sucée
embrassée en mémoire ce qui n’a pas été fait
aimer sur le tard comme nouveau mot adulescent
s’embrasser dans la rue se prendre la main se toucher
se toucher tout le temps savourer
ça existe bien ce corps on peut le palper le serrer
il veut faire qu’un comme avant la naissance
on s’en fou des antinomiques morales de l’amour
on s’aime tard comme si c’était trop tôt
on s’aime ado comme si c’était trop beau
ça dure les draps défaits la nudité
la peau cajolée ensorcelée de tours
magie de nuit magie de jour
y’a pas d’âge pour l’amour

*****

Y’a du Sang

Y’a du sang
dans ma douceur
Y’a des révoltes
dans les fleurs
Y’a un coeur
rouge vibrant
strié de noir
aux cauchemars
récurrents
Y’a la perte
y’a le temps
y’a toi
rayonnant
à la plage
au milieu
de trois enfants
y’a la peur
de baisser les bras
de pas y arriver
y’a la hantise
qu’un jour tout soit fini
qu’un jour
on ne s’entende plus
qu’un jour
on ne s’aime plus
Y’a la bourrasque
des inconnues
dans le sommeil
très agité
Y’a du sang
dans mes cauchemars
des abandons
des têtes passées
des bébés crocodiles
des grenouilles qui se noient
des sens sensation d’effroi

Y’a de l’eau
des aquariums
des mots qui planent
des voix
mais qui fait le premier pas d’habitude
Y’a les déchirements
les hurlements
la douleur
l’impuissance
à accepter
l’abandon
le désamour
Y’a tant de cris
dans ma douceur
tant
et tant
silence
de mon air
je ne fais jamais beaucoup de bruit
Sang silencieuse
mon coeur explose
quand dort
le reste du corps

Textes : Aline Recoura

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La Lune Perchée

15 mardi Déc 2020

Posted by ykouton in Aline Recoura

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La nuit tu marches
tu entends tes pas claqués
sonores comme talons
ils résonnent dans les tunnels
les pas
les élans
tu serres quand même ton corps
tu te récites des poèmes
tu cherches l’odeur qui te rappelle ta grand-mère
ce jour où un soir tu as ouvert la fenêtre de la cuisine
et pour la première fois tu as senti l’odeur de la nuit
tu te souviens de ta grand-mère car tu étais chez elle
au sixième étage
vue sur le square
où tu avais toujours l’impression de voir des formes bizarres
tu ne reconnaissais même plus le bac à sable
les arbres changeaient de couleur ils ressemblaient à des hommes
les bancs parlaient tout seuls
Mon corps devient rapide
un retour une pulsation battement oisillon
un froid à fuir transperce le pantalon
des bruits à apprivoiser
Je n’ai pas envie de rencontrer un vampire
ni la bête des villes
elle rode et se promène avec une hotte pleine de mauvaises surprises
dompter le silence comme un fusil porté à l’épaule
Regards qui entendent loin
oreilles qui voient près
circulaire toujours
la vue dans le noir
des kilomètres de nuit
des visions
des films
des idées
des fumées blanches
brouillards
broussailles
boue invisible juste une sensation de glissement
vide personne
Arrivent des feux de route inquiétants
qui est au volant
peur d’un arrêt
les yeux de chats à l’affût

les oreilles montent la garde
elles réagissent plus vite que le hérisson
L’odeur de la pluie remonte
quand le frais et le chaud se mélangent
la lune t’envoie ses rayons
tu penses au sabre laser de ton fils
le corps lumineux
tu arrives chez toi
c’est ton thriller de minuit

Texte/Illustration : Aline Recoura

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Poèmes Divers

12 jeudi Nov 2020

Posted by ykouton in Aline Recoura

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Poupée

La première fois elle a vu que dans une flaque d’eau géante au milieu d’une forêt

un matin d’automne elle pouvait scruter son visage.

Un visage au milieu des feuilles déchirées des ombres des branches des arbres

venues du dessus.

Un visage se froisser légèrement au souffle du vent nez yeux bouche ondulés petits cheveux

au milieu de l’autre de l’autre nature la nature de l’autre.

Son épuisement ou son feu. Sa chaleur aux confins des baisers. Sensuelle répétition.

L’odeur dans le cou comme au creux de l’écorce, elle s’est souvenue.

L’arbre entouré de ses bras confiants. Pleurer de peur de perdre.

Perdre son chapeau pointu son ciré clair à petits pois blancs.

Son enfance.

L’homme vert, grave son passage sur les troncs d’arbres sème des énigmes sur les mystères de sa présence.

La journée passe la profondeur de la forêt attire autant qu’elle fait peur.

Femme coiffée de lierre chevelure verdoyante la frange cache un œil celui qui assemble des bouts de temps comme morceaux de tissus pour en faire d’autres vêtements, celui qui tape la vase du pied à la recherche de myes qu’il grattera un peu étourdi.

Femme verte compose feuille à feuille sa forêt de prose d’œil à œil avec les jours.

Aimer dans l’embrasement des écorces des racines des reflets de l’autre.

Le coin caché où traîne la poupée de chiffon.

Maquillée de tes pastels gras de tes feutres à la pointe écrasée.

Tu lui as aussi coupé les cheveux plus courts d’un côté que de l’autre.

Tu l’as tapée quand tu avais mal toi aussi la poupée maltraitée la rejetée de ton estime le coin caché où trône ta méchanceté l’écharde cachée aux yeux.

Quand tu aimes elle surgit la poupée maltraitée. Elle crie dans ton ventre et se venge.

En parfaite petite fille malaimée elle sort par ta bouche enferme les baisers dans une toile

d’araignée.

Immobile

honteuse

paralysée

dans une prison froide.

Quelle liberté pour les poupées maltraitées ?

Je veux parler ouvrir la bouche articuler sortir des mots.

Refrain

J’ai éteint la lumière encore ce soir. Comme tous les soirs avant que la nuit tombe je ferme les portes et entre.

Entre dans l’ombre du théâtre du vide. Je tâte les contours de mon corps afin de vérifier que je suis bien là.

J’aimerai que tu mesures chaque soir l’état de mes frontières. Que tu mesures l’énergie de mes hanches

de mes seins

de mon nombril

de mes fesses

de mes cuisses

de mon dos. Démon sensuel de l’envie.

L’énergie sous mes paupières dans le fond de ma gorge dans ma langue.

L’énergie de mon âme plongeant dans tes frontières sans gardes.

Je cherche mon garde-folle à la vitesse d’une enfant qui fait une bêtise chute disparaît dans le magasin attrape la fourchette fais tomber son assiette ou son verre joue de l’inquiétude de sa mère fais semblant d’être morte sans savoir qu’elle est vu en train de respirer.

Je cherche ton sexe la lanterne de mon sommeil le donneur de somnifère le sirop de l’apaisement. Je veux la sensation du liquide blanc coulant entre mes jambes prisonnier de ma vulve dansante entre les lèvres chantant le repos de l’amour.

Je m’endors dans ces flots dans la douceur du chaud étranger entre mes jambes.

Le miracle entre les jambes. Le mélange des liquides des opacités des sangs blancs de nos âmes. Transe-lucide de la fusion.

Je veux rester allongée pour ne pas en perdre une goutte. Une miette.

Seule ce n’est pas la même idylle. Je tourne et retourne l’emballage. L’intérieur remue dans toutes les directions pense à ce qu’il ne faudrait pas penser à cette heure.

Remue l’arnaque de la solitude des draps de la solitude de la feuille de salade flétrie au fond du réfrigérateur.

Impossible de voir l’apaisement dans ses yeux ni t’entendre ses souffles réguliers.

 Je pensais pouvoir m’endormir. Refrain des paupières à clore pour dormir.

Textes/Illustrations : Aline Recoura

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