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en grand désir d’eau,
haletante et angoissée
la vasque oubliée
.
rose délicat
penché sur la souillure
noire d’absence
.
et sous le jet mort
l’injure de ce bouchon
comme une ironie
.
dans la touffeur d’août
un espoir déçu pour ceux
qui vivent la rue
Texte et photo : Brigitte Celrier
Belle bouffée de chaleur pour nous réchauffer
L’observation est en éventail…
Toujours votre sensibilité me surprend… Cette attention aux si petites choses qui disent toute votre humanité…
merci à vous (oui suis au niveau du petit et je m’y tiens)
Beau
la photo et le poème
fait de présence
et d’absence
____
[et oui, grr! pour ces fontaines de plus en plus sans eau
ici (Buis les Baronnies)
l’Ouvèze en petits canaux d’eau captée, arrose les jardins
mais les fontaines, partout sont
en squelette)