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~ refuge pour les dépaysés

Les Cosaques des Frontières

Archives de Catégorie: Martine Cros

La tentation du vent 3

19 dimanche Juin 2016

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La tentation du vent

tentation-3

D’Or & Désirs

*

Toujours quand s’endort le monde
je dévore l’espérance
le vacarme des petits anges
quand nous quittent les oiseaux
J’unis aux paysages
l’ Amour frère de mes Pauvres
En moi loge le ciel des trop-orgueilleux
que je traverse en rafale de tout vol
Autant en emporte le pardon !
Et pendant que s’écrivent les tentations
et les épines du Mal
qui nous rendent à la terre quand s’éteignent des vies
j’écoute
dans mes croix
tes bijoux de femme tinter
comme un chant suspendu à l’angélus lassé
Erre ! Or !
tu es la Nudité du vent
dans le nu de moi-même
C’est ainsi qu’on se donne
n’est-ce pas ? Ô Désirs !
lorsqu’on est un vent chaud dans l’aube du trépas

 

De Vin & d’Or

*

Gorgée de soleil entre les ceps bandés des vignes émeraude
luisant en tes yeux, ma Vendange !
Soleil marchant de mille rais entre tes feuilles foisonnantes !
Entre tes jambes ces fardeaux de patience
se boit le baiser qui refonde !
La sève !
Prémisses des pas de jeunes mariés dans l’aurore à éclore
& valse d’ouverture un peu trop ivre parfois !
Minérale aquatinte et sépia dans le lavis des récoltes mordorées !
Courbure de chagrins, carrioles et radeaux où la goulée
de vin bovarien pousse à l’ennui !
Améthyste agate fleur de sels et de sables et de sels
Sieste en robe religieusement pliée gisante
au pied des carreaux de ta chambre d’infante!
La levée de l’air frais la levée des reins doux la levée
du triomphe de l’amour !
Dans le lin de ton aube
j’ai caressé des berges
couronné des roseaux qui saluaient tes rus !
Quelle rouée d’orages
en l’humus où il plut
et l’amante à l’averse qui exhume ses fleurs
dans le compost doré des terroirs sans miroirs !
Dans la pitance de mes pensées !

Ô vents doux que je suis, allongée en vous-mêmes !
Ô vents doux que je fête, repliée en moi-même !

D’Amour & de Bris

*

La nuit paysagère
refoule le passé
sur tes reins aromatiques
D’inquiètes créatures s’y affairent
et des objets antiques
qui se rendent conformes
aux voeux de nos poètes

Nos danses affligées de figures diaboliques
et l’ermite priant sans faillir Aux Catacombes
nos os tendent sans tarder la toile de nos robes

Celle du vent est d’un voile taillé dans l’abstraction
et le mystère de nos corps revêt l’absence des réponses
quand entre ciel et terre nous vascillons
errants
J’erre pourtant
dans ton regard
Rivée
entre Bleu et la mer
Ton regard est-il ?

Ô vents doux que je prie, allongée en toi-même !
Ô vents doux qui replient en moi ce que tu brises là

 

Texte et image : Martine Cros
Jeu numérique : Ermite, dessin de M.C., sur une peinture de Charles Francisque Raub, Ismaël, 1880, Musée des Beaux-Arts de Chambéry

Librement inspiré des pages 52-55, La Tentation de saint Antoine,
Flaubert – folio classique, édition de Claudine Gothot-Mersch –

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La tentation du vent 2

05 dimanche Juin 2016

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La tentation du vent

Tentation 2

Je vais ce crépuscule tenté par un bain de mer qui vient s’abreuver aux calanques tyriennes, aux rosées des paysages ; je lape l’or aux hanches des falaises qui sombrent dans l’eau mate ; l’évocation de cette union ancestrale gorge mon courage de royaumes d’amour que la nuit entretient
je plonge

Prendre soir

et j’emporte sous ma cape ces senteurs sensuelles de bois que l’on râpe, ces muscs noirs que le zénith éclot à même le rocher ; j’ai pris soin de les cueillir à chacune de mes essoufflées ; puis je range les activités humaines qui peuplent ces vallées virginales que l’enfer souille de ses simonies avant de retrouver
l’onirique ouvrage

nouer la nuit

Je sombre

Parfois répands sur les troupeaux des pluies de psaumes, des fontaines de coeur fatal Je recueille la douceur des femmes flagellées sur des manteaux d’éther J’ouvre des livres vastes comme des déserts ou des océans Puis soudain le bleu me tarit comme un ciel sur la guerre, dont l’air se dérobe, dont la robe se fait gicler
de sang

Le feu des nuits naissantes prend aux bouches des fenêtres Les visages pensifs s’inclinent sur des âtres, des chandails aventureux, des chants de rossignols en cage Troublantes trouées que ces fenêtres, que ces toits aux silhouettes qui s’affairent en pans de vies qu’on aimerait connaître et que l’on aperçoit ; lorsque le jour tire sa révérence, je ne revois plus personne de possible Mais l’aveugle m’appelle Avec lui je vais le vent et j’apprends
tout ce qu’il voit

Je suis un puits de pénitence réfugié au coeur
des forêts
de connaissances
Je recueille les eaux de l’averse qui les lave

Stèle

Je vais l’enlacement du ciel et de la mer Sur le fil éternel, sur la couche de jaspe où s’étend longtemps le temps, j’étreins les hérétiques, les dieux, les messagers J’étreins tous les portiques, aveux, les champs de blés J’étreins les marécages, les risées, les barques qui prennent le désir Ceux qui ordonnent l’amour et ses fanés parterres J’étreins dans mes brumes de calcédoine l’envol des oiseaux vers l’enfer En escadrons d’aurore Voyages valeureux Plumes conquistadores J’étreins les voiliers coulés par des vagues sans âme ; puis je n’ai plus d’espace pour étreindre l’absence du monde
je
tombe d’azur
en consolation
dans le socle
de ton horizon

 

 

Texte et image : Martine Cros
Librement inspiré des pages 52-55, La Tentation de saint Antoine,
Flaubert – folio classique, édition de Claudine Gothot-Mersch –

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La tentation du vent 1

24 mardi Mai 2016

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La tentation du vent

Tentation-1

C’est la plus belle des îles, tout en haut de la mer, où s’arrondissent tes demi-lunes – sculptures endormies dans le jardin de mes yeux clos.

Dans la chair du vent je m’approche vêtue de boue et de feuilles séchées.

Je n’ai pas de portes. Je comporte une table, un vase ébréché, et une assiette de rêves.

Mon livre ouvert dort sur un psaume.

Je sors parfois sur le perron dans un seul souffle,

aspirée par la nuit.

Je regarde alors la lune longtemps. Cette flaque de femme, ce flocon de questions, cloués sur un ciel ou une mer — je ne distingue plus parfaitement ces mondes ; mes yeux d’étoiles scintillent sur ta grève uniquement –. La brume, née de la condensation née de la fraîcheur des vagues nées de la pluie, compose des formes pourpres sur la toile de la nuit. Elle me rappelle un Rothko, et l’air dessine sur ma respiration des volutes dentelées représentant tes courbes, tes soieries. A moins que ce ne soit le fruit de mon imaginaire lithographique dans lequel tu plantes tes griffes d’encre et de sang, et dont j’use des coulures pour rehausser l’horizon décadent de damiers de splendeurs.

Tentation-2

 

Tes ongles ornithologiques ! Lorsqu’ils se prennent dans mes rêves, ma chevelure de cirrus saccade en zéphyrine gémissante ; ma tunique scande sa stupeur et se déchire en orage du soir ; de blondes ondulations courent aux dunes de mon désert. Je semble une mer rouge. J’attends que tu me sépares.

La nacre vibre au fond de mes yeux ; aveuglée, je viens par nappes de songes joindre tes cambres géographies.

Enfermée dans le vent, réduite à ne pouvoir t’effleurer que sur ordre de l’atmosphère, en allées et venues sous le pourpre couchant, je tente parfois de m’évader du sortilège. Mais sans lui, je ne suis qu’une accalmie. Une déchiqueture dans le jour. J’attends que tu me rassembles dans la crinière d’une aube. J’attends d’être le galop du vent, un rai de flamme et de témérité.

 

Texte et jeux numériques : Martine Cros
Librement inspiré des pages 1-4, La tentation de saint Antoine,
de Gustave Flaubert — Bibliothèque numérique Wikisource —
Image au centre du texte : d’après Mark Rothko, White Center, 1950, private collection

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Carrés de ciels

15 dimanche Mai 2016

Posted by lecuratordecontes in Martine Cros

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Martine Cros

Carrés cousus

« … à proprement parler je n’ai rien,
je suis un dépossédé. »
Jacques Abeille

Je n’ai rien
que des carrés de ciels
qui viennent s’épingler sur la plaine
lointaine du paysage
Dans la mansarde sage
j’en confectionne des dizaines
j’en tisse des voiles
               de secrets

Profondes trouées
dans la tristesse et le calme du soir
Ce qui console quand on rapièce,
c’est d’entendre le temps

Des vents doux ou violents secouent le ciel
sur le paysage indifférent
à l’ordre intérieur de la pièce

Je ne regarde plus la fenêtre je couds
le même carré vespéral
aux émotions de la lisante

À peine entend-elle la rumeur citadine
la magie des enfants qui dansent dans les maisons
Le chant des oiseaux se tait profondément

Dans son coeur
il y a d’épais ronciers
qui amoureusement enlacent
de leurs épines
les ruines
               les ruines ;
une musique ombrageuse, où bruissent les amours,
qui lui porte des mots
jusqu’à ce livre
               intime

Le carré aujourd’hui est d’un bleu indigo
strié à l’infini par de claquants barreaux
Il confine les jours enterrés sous
               les mots
hurlant de la lumière dans les plis de silence
Est-ce dans ce losange qu’elle reprise là
qu’elle pourra
               s’oublier ?

Regardant les images elle fume
un cigare qui lui prête allure d’Amantine
Dans son ventre elle entend des cantiques
des amantes des amants et puis des carrés bleus
qui l’appellent : toujours lutter, toujours avoir soif ?

Ce n’est pas l’éternité qu’elle veut,
              c’est le souffle tiède de l’instant

De longs cils comme les sillons d’un champ
partent de la fenêtre, planent sur les foins croquants
S’évadant ils dessinent
cet oeil ainsi dans l’enroulé soleil
posé sur l’horizon qu’elle voit de sa fenêtre
posé sur l’horizon comme soleil aux monts
posé sur l’horizon comme une tempe
              en des seins ronds.

Toujours au bas de ces carrés phtalo
elle ourle les mêmes mots :
je suis ton abandonnée
                       je suis ton abandonnée ;
ce sont de splendides franges,
             inutiles

Et sous la paupière du crépuscule
le soleil où dort la mer
se déshabille lentement
dans une source claire
abreuvant juste là les dernières pages
du livre de la couturière.

 

 

Texte : Martine Cros – un poème du recueil en cours : Soleil noir —
Image : Martine Cros – Carrés cousus , peinture vitrail sur papier calque
(pour agrandir l’image, cliquez dessus)

 

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La chambre à la sonate

08 mardi Mar 2016

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Martine Cros

Nolde

(Sur une musicalité picturale
de Georg Trakl)

 

À Jan Doets.

 

Il y a un arbre bleu qui veille sur des fruits doux.
Ses branches décoiffées par le vent froid du Nord
aime porter le voeu d’odorantes fleurs blanches.
Il les sent souffler en lui comme des biches
effarouchées devant
l’orage de cristal.

Il y a un étranger au bas dormant contre le tronc,
coiffé d’un étrange chapeau de songes.
C’est lui l’étranger doux qui vient nous retrouver ainsi
et qui nous tend ses longs bras, longs comme des allées.
Son bâton de pâtre est digne et noir métallisé
comme un glaive de feu
et d’onde.

De Chopin, la mélancolie râcle ma gorge
et je suis une étole noire chantée par la douceur.
C’est aux rameaux du noyer que s’accroche mon voile,
on dirait un étendard fier dans le mélo des condamnés.
Quand pleurent les rires
des mouettes manchotes.

Pour chacune de ses fleurs le noyer bleu prépare,
avec son officier de marine,
de profonds vases d’argent ciselé où elles prendront racine
dans une eau magique
à contre-courant.

Je convoque bien des muses et des gens
que je trouve un peu brigands pour noter tous mes voyages.
Et j’écris sur des dorures d’automne ce que je sais de nous,
et sur l’acier tonitruant des jours qui semblent m’oublier.
Dans ma chambre à la sonate, le grand noyer bleu frappe
à la fenêtre au givre,
me dit de veiller encore un peu
avant de m’endormir
sur des futilités.

En bas, des dames blanches se promènent ; l’une d’elles
joue au piano sur une table d’étoiles.
Une autre écrit sur nos métamorphoses.
Des femmes de joie et des passantes approchent.
Sur la pierre argentée de la lune
jaillit la mélodie inédite
que j’écoute de mes yeux
amoureux.

Au pied de l’arbre une pulpeuse corbeille
veille sur ses enfants qui dorment un peu.
Au large dans le loin, un grand paquebot noir
chargé de passagers minuscules
prend son envol pour la banquise.
Le soir maritime est l’archet de nos cordes.
Dans de rousses brumes les stries d’or de la lune
enferment dans un écrin carmin
l’ultime note
du Larghetto
où je m’assieds.

Sans rien dire, je parle longtemps avec elle :
(car elle est pure)
un sol si céleste qu’assise je vole.
J’aime pleurer secrètement ces voyages immobiles
qui ne meuvent que mes rêves.
D’intimes tas de feuilles mortes
brassent en moi
des trésors immatériels.

Mordent les serpents ! je ne sens que l’étoile qui tinte
où jaillit ton visage dessous la constellation.
Georg, sur un soir presque nuit me chuchote:
Sur des semelles d’argent glissent des vies antérieures.
Et dans le bleu de l’arbre, nous demeurons intacts.

 

Texte : Martine Cros
Peinture : Emil Nolde (1867 – 1956 ) : Half moon over the sea, 1945

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