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~ refuge pour les dépaysés

Les Cosaques des Frontières

Archives de Catégorie: Martine Cros

Jours, trembles

05 vendredi Fév 2016

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Martine Cros

Jours trembles

Tremblements d’êtres
Aux aguets de toutes les frontières
Nous sommes
Toujours à l’orée d’elles.
Quelque chose de nous veille,
Qu’il faut aimer.
A l’inverse il se pourrait
Que tout se compartimente, cimente
Dans l’indifférence puis,
En une seule seconde,
Chavire dans la haine.

Nous sommes les veilleurs des seuils
Ils nous habillent de leur moire.
Il nous est demandé
De dévêtir parfois notre regard.
De suspendre le temps
Avant qu’il ne nous sombre.
Avant que nous ne puissions voir
Qu’une noirceur.
Celle-là même qui ombre et lumière
Ici un visage
Ici un geste
Une ligne de tirs
Un noir qui se confonde avec l’extrême banalité,
Qui a un autre nom : la mort.

Ainsi chaque seuil est un acte d’éternité
Si nous prenons la peine de le franchir.

Par exemple :

Je te frôle
Je te souris
Tu t’en vas dans l’autre pièce.

Ou :

Je te frôle
Je te souris
Tu me prends.

Ainsi la seconde du frôlement
Le sas, l’orée des possibles
– Peut-être est-ce la gueule de l’enfer! –,
Sombrera dans l’oubli
Ou dans la passion.
Amour ! comble
Ce qui veut s’achever de nous.

Par exemple:

Repasser à l’écoute des Lieder
De Schubert,
Ce n’est plus repasser.

An den Mond,
C’est imaginer les êtres qu’on aime
Se mouvoir au travers du tissu
Que l’on rend souple, étale.
C’est apprécier combien ces êtres
Sont là proches de nous
Ou un peu plus loin, mais là,
Dans la vie incarnée sous le textile,
Emplie de leurs plis que défroisse la caresse.
C’est penser que l’on va, dans quelques heures,
Ecouter, écrire la poésie,
La voix à l’oeuvre pour ouvrir
La voie.

Repasser : c’est me dire :

Si un jour je repassais pour toi
Tes habits de tous les jours,
J’aurais envie de toi
De ta peau parfumée
A travers le tissu que je n’ose opprimer.
A travers tous les mots que je veux libérer,
Là, juste sous tes lèvres fleuries.
J’apercevrais ton corps et ta bouche alanguis
Les vagues feraient comme de la vapeur
Une brume d’avant midi chuinte à mes oreilles
Le frôlement d’une aile qui cherche son écaille
Je me ferais soleil pour caresser cet or,
Dorure de coton de ton dos qui s’endort.

Tremblements de jours où les seuils se succèdent
Et jouent dans leur invisible lumière.
Dans la chair des promesses.
Dans la chair de la nuit
Où le moindre des gestes
A sa portée
Sur les papiers peints de la prière.
Et où la ligne de veille se vit et s’écrit
Dans le pouvoir majestueux qui nous est donné
De le porter aux nues, et aux frontières.

Mon regard vers la mer
Toujours a des regrets impénétrables.

 

Texte   : Martine Cros
Dessin : Martine Cros, d’après Le Caravage, un détail du tableau « Les musiciens », 1595

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Neige absence

03 dimanche Jan 2016

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Martine Cros

Neige absence


Pourquoi j’habite la Montagne Bleue ?
Sourire sans réponse coeur serein.
Fleurs de pêchers que charrie la rivière
Un autre monde existe loin des hommes.

LI PO.


Dans l’absence en moi,
je suis née pour te sourire.
Aucun froid, aucun soupçon,
et des parfums magiques.


C’est apaisant comme une fleur de neige.
L’obscurité abrite ses flocons. Ils ne chutent pas, ils rejoignent leurs pairs,
ils tombent dans ce à quoi ils appartiennent.


De la neige de l’amour de la musique :
je pose âme et pieds sur cette seule terre :
elle se nomme : absence, éclipse de peau.
Une seule entité me sollicite, libre, évidente,
quelque chose qui semble de la neige, un silence, quelque atome de tao,
un chant de l’oiseau le matin très tôt, un langage primitif
d’où ne naissent de mots – tout y est d’emblée,
intelligible.

Une épluchure de fatigue, entendue, choyée.
Un cadeau que l’on reçoit de voir ces fleurs fanantes,
ces flocons chuintants,
quelque chose qui ne s’offre pas,
qui est là depuis longtemps.


Il rôde des manquements partout hors du corps,
à l’orée de lui et de l’âme environnante,
qui pourtant incestueusement le couvre de baisers.
Le corps comme une mort se meut comme une ruine,
noble et rouge dans le coucher fabuleux
de celle qui mange des rêves.


Il saigne une morsure vive.
Des fragments de vie monacale s’éparpillent, mimant la floconnerie.
Comme un pointillisme fauve déborde de la nuit. Vite, les bandages de prières !


Il est des constellations où la fleur de ma bouche
se promène et butine d’étoiles en étoiles.
Leurs sexes multicolores, où se trop-taisent encore
les promesses, que les tombes font aux berceaux.


Il est un doux monastère où j’aime revenir
où me penchant sur toi, je me pose en un corps,
dont d’un baiser je prends le pouls-présence.


Il sera une onde calme cou épaule ou flocon,
une évasion,
à trouver refuge au creux des clavicules,
et le long des bois sans cages,
comme pour chercher un nouvel
ordonnancement.

Texte : Martine Cros

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madrigali

23 lundi Nov 2015

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Martine Cros

Si l'amour

‘Si l’amour n’existe pas, O Dieu, alors qu’est-ce que je ressens?
Et si l’amour existe, quelle chose est-il, qui n’est pas le néant? ‘

Pétrarque

madrigali

 

je te savais l’orage
les vents ont soufflé sur le feu
mon désir !         . à voix seule

en pliure des voeux
le dommage collatéral me recrache
et en cendres je demeure le roman

inachevée de tes regards
j’attente aux floraisons de formes
mille doux lieux de mes pensées

j’écrirai mes yeux sans pleurs
brûlés à tes merveilles ils viennent
poignarder là

sous les pages presque blanches
les mots
amorosi

tu vas et je viens
je vais tu-viens-tu
allées et venues

heures argentiques qui tapissent la peau
intime de mon coeur téléobjectique
de ces photographiques morts

réseau de veines pourpres sans cris
aller venir en la chair des mots sang
dédale polyphonique d’un naufrage

sans berceau

ô mon amour perte de toi
non arriva non arriva
extirpe l’or de la chape

 

loosant toute grammatismale
perte de voix madrigala
non m’arrima non m’arrima

 

levée cambrée au ciel la mer
aiguë n’a qu’à, s’étale
jusqu’au mirage , horizontale

 

lève l’intime dramaturgie
dessous la brisée légère
non marina non marina
je me savais l’otage feu
les vents ont soufflé
mon désir !           . à voix seule .

 

Martine Cros,
à Dijon, le 21 novembre 2015,
(poème inédit pour les Cosaques des frontières
à l’orée de l’amour et de l’attentat)

Peinture:
VUE SUR ARCONA À L’APPARITION DE LA LUNE – CASPAR DAVID FRIEDRICH

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la ligne

25 dimanche Oct 2015

Posted by lecuratordecontes in Martine Cros

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Martine Cros

 

elle est la ligne de bord    elle est la longitudinale     en pleine possession du jour dès lors qu’elle érafle les espaces vierges         elle se réunit pour tendre muscles & corollaires    étendre    la musique qu’elle compose sous l’écrire    entre ce qui doit jaillir de la terre et l’apesanteur d’un amour en amendement
elle marche      le vent la découvre de ses feuilles une à une
le rien vole elle marche là où il faut aller mais le vent vient plus fort que jamais mais courbée elle marche sa croix est de trouver ce calme ce cambre ce terrier d’ambre      elle se déchire de ses feuilles le vent la déshabille aussi de tout y compris de sa pudeur la plus pâle elle marche comme une mécanique elle a presque honte d’aimer elle demande des voies de recours elle marche devant évite l’alentour elle danserait ce presque défeuillé elle est nue à force sans force à nu par un moment s’agenouille longtemps      elle ne cesse de comprendre comprend accepte le vent accepte et ne résiste plus lui importe peu lui importe plus les portes les seuils mais les cachots : fini     les entre-baillés : fini
il reste les ouvertures les grands battants de bois les béances d’humus le compost de ses mots alors elle prend l’air elle ne permet plus la sentence d’usage au final elle aime l’intonation du vent elle n’a jamais voulu être lucide car elle voyait à travers le produit de la pensée avant que le mot n’arrive à la bouche savait-elle qu’elle devrait ployer de cela     alors elle prend l’eau le vent la caresse maintenant elle rit elle maintenant rit-pleure elle préfère attendre le consentement de loin     éloignez vous d’elle c’est cela d’elle maintenant qu’elle longe la ligne de fuite au bord de la marge et des blancs de la page
support ligne accord appuyé au présent réceptif aux beautés mères de tous les fardeaux elle s’allonge là dans ce plaid végétal fauve et rissolé elle est la foliole de ses données intimes et plus aucune meute ne pourra l’atteindre en plein coeur

elle est l’illusionniste

Texte et lecture : Martine Cros

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Autoportrait à l’aimée

13 dimanche Sep 2015

Posted by lecuratordecontes in Martine Cros

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Martine Cros

Martine Cros autoportrait

je sangle le fil
de ma pensée à ta rive
m’élance au delà
des bogues rosées à
fleurir dans ta blancheur
dans le coquillage échoué
du hasard tu nacres et
je perle

la vie est hors de moi
marche à peine sur son fard
plus ou moins
sans ivresse sans désir _
tous _ les désirs _ ont été jetés
aux charniers _ défaits de leur consistance _
amassés tous _ les désirs _ un à un retirés
aux enfants aux femmes aimées aux larmes et
à toutes les fleurs qui bordaient leur chemin _
seule ta chute en moi rescapée m’a redonné
la force de plonger _ dans la fosse _ rassembler les os
les yeux exorbités les mâchoires bées les coeurs broyés
j’ai tout pris dans mes bras tous les désirs
qui criaient là _
longue chute de toi et mon vertige
un nous qui me donne un toit
libre et un désert pour pétrir
les dunes et un port apaisant
poésie tu me chutes
je veux sonder ta chair profonde
que j’inventerai ancrée te prendre par derrière
la syllabe dans l’orée des couleurs
du désir _ ombre lavée _ rouge ouvert _
je m’emplis de toi _ plisse soupir _
le doute se déplie tu me plais
tu me fais attendre à genou tu as peur
comme quand j’écris je me perds ainsi en ce nôtre
autre nous qui se noue et nous ôte
au creu du temps qu’enfle le clos de nos yeux
au creu cambre de nos reins amoureux
j’aime dire tout bas sans que tu entendes
le pluriel de désir
inventer les rimes de mes ivresses
mais quand saurai-je parler
pour que seulement tu me voies
oublier tous les aparte
que tiennent dieux et soldats
contre le cri des pas
que nous faisons vers l’autre
dans ce cri je t’appelle Vent _
Hanche _ Cîme _ Allongement
de mon centre sur
le sable des siècles
dans ta crique obsidienne
_ je te demanderai si l’eau d’automne est bonne
tu sortiras trempée de songes et de flots
t’allonges sur mon dos fraîche comme un
printemps
pardonne sable je te trahis d’emblée
car dans mon dos tremble l’infini
tout en chair longeant là mon échine
qui n’était que fardeau
jusqu’à _ Beauté _ ton arrimage intime
ta main ta main marine m’arrime
comme jamais
à cet entre de nous
où je naîtrai
abondance
de désirs _ si femme
si

Texte et peinture : Martine Cros.
Elle est la bienvenue entre les Cosaques ! Née en 1963 à Berlin, Martine Cros a grandi entre Nancy, Béziers et sa ville natale ; elle a suivi des études d’assistante de service social à Metz, et travaille depuis 1986 à Dijon au Centre Hospitalier Universitaire. En reconversion professionnelle actuellement.
Elle écrit et peint depuis l’enfance, fréquente l’atelier d’arts plastiques de Christine Delbecq pendant dix ans; en 2010 elle crée un blog-atelier d’écriture poétique et de peinture: http://allerauxessentiels.over-blog.com/
Bien en accord harmonique avec le poète Jean-Pierre Duprey qui avait du mal à se définir dans une biographie, elle estime que sa vie est entièrement et de source sûre dans ce qu’elle écrit.

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