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Les Cosaques des Frontières

~ refuge pour les dépaysés

Les Cosaques des Frontières

Archives de Catégorie: Anh Mat

Instantané #2 « Rêve d’incendie »

20 mercredi Mai 2020

Posted by ykouton in Anh Mat

≈ 1 Commentaire

Le générateur tentaculaire qui surplombe la rue électrifie l’atmosphère. Serait-ce le cerveau de la ville devenue pensée dans mon crâne ? Génère-t-il l’écriture qui marche là-bas, énième inconnue des trottoirs dont je croise chaque jour le regard avec la vague impression de me reconnaître. Le visage, l’allure de l’étrangère soudain reconnue comme sœur, une sœur dans les bras de laquelle je me réfugierais en plein incendie. Le voisin, la voisine à qui on a jamais parlé, qu’on reconnait à l’odeur de sa peur, peau contre peau, nous pleurons dans le brasier, nous nous serrons jusqu’à confondre nos ressemblances. Je regarde la moto en feu. À la fenêtre, je regarde l’immeuble tout entier… flamber. La rue est bouclée, tous ont le regard levé sur les pompiers dépassés…

 
Texte/Vidéo : Anh Mat

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Instantané #1 « Celui que je fus »

08 vendredi Mai 2020

Posted by ykouton in Anh Mat

≈ 1 Commentaire

Depuis que j’écris au présent, le temps ne passe plus. J’ai 38 ans, 38 années de secondes suicidées. Regarde mon visage : la montre est arrêtée depuis longtemps. C’est à 6 heures 26 que le temps a cessé de me passer dessus, un jour, c’était en début de soirée. J’étais arrêté devant le portail clos d’un temple bleu. Il venait de pleuvoir. À travers les ornements du portail, un visage a surgi : le vieil homme priait les yeux ouverts. J’ai aussitôt pris mon appareil. Les aiguilles du cadran se sont figées quand il a croisé mon regard dans l’objectif… je n’ai pas retiré la montre de mon poignet depuis. En moi demeure ce lieu blanc et bleu, en moi demeure la bienveillance de son silence de mort…

Je ne crois plus au problème de pile. Le temps s’arrête au contact de ma peau. Le battement de mon coeur court-circuite celui des secondes. C’est pour cette raison que je ne vieillis pas. Je vais à mon rythme, bien plus lentement que le temps, que la ville aussi, qui chaque nuit se métamorphose. Je marche avec le même visage, à contre-sens sur mes trajets d’autrefois, certains sont désormais en sens interdit, d’autres mènent à une impasse. Il y a même des routes qui n’existent plus. Mes refuges sont détruits, fermés, remplacés par d’autres lieux où je ne suis plus à mon aise. Par peur qu’une nouvelle habitude soit à nouveau détruite dans quelques mois, je choisis l’errance, l’errance, la transe ambulatoire du corps, de l’écriture, l’errance des temps à composer, l’errance de la mémoire qui sans date se souvient au présent, pendant que le passé à venir réinvente celui que je fus…


Texte/Vidéo
: Anh Mat

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L’égaré

28 vendredi Fév 2020

Posted by ykouton in Anh Mat

≈ 2 Commentaires

la route fut longue

elle n’a pourtant mené nulle part

pas même à la mort

 

où suis-je ?

 

il n’y a plus rien à écrire

tout est vierge

je suis perdu

 

d’où je sors ?

 

du tunnel des phrases

j’y creusais depuis plus de 5 ans

 

le présent

je m’y suis complètement égaré

 

 

la ville est un flux tel qu’elle m’a séparé de mon silence

 

j’écris, au ventre avec la peur

de me faire attraper

je suis en faute

je

    tombe

          comme

                        le fruit

                                      de

                                                  ma

                                                              défaite

 

qui prétend me connaître me confond avec quelqu’un d’autre

mon visage trompe mon identité

j’ai 37 ans, j’en fais 20

je dois donc avoir un âge entre les deux

disons 28

ou bien je suis sans âge

sans histoire

son nom

 

 

j’habite un lieu à venir

j’habite une ville plongée dans le noir

un phare passe

une silhouette apparait sur le mur

l’ombre d’un voisin naît

tout passant peut devenir personnage à incarner

 

 

l’anonymat me réconcilie avec mon reflet

il n’est plus ennemi

 

je est à inventer

il ressemble à tout le monde et à personne

 

il faut savoir se taire

taire la voix en soi

pour percevoir la présence

du silence derrière

 

je pars m’en vais m’empare du territoire

à conquérir

 

chaque jour

un pas dans le néant

trois points de suspension

soupir

la pensée me fait signe

elle me désigne coupable

j’ignore la raison

je ne sais qui m’a jugé

quelle infraction ai-je commise

si ce n’est celle d’écrire

quelle limite ai-je franchie

pour me retrouver aussi loin

complètement perdu dans l’écriture

ce n’est plus qu’un geste

l’index tapote sur le clavier de l iPad

le silence tape un rythme saccadé qui parfois s’arrête pour relire en se rongeant les ongles

la lumière de l’écran donne un visage à l’ombre

ça pourrait être un masque

 

Texte : Anh Mat

Vidéo : Anh Mat

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Machine à recouvrer la mémoire des textes perdus

06 lundi Jan 2020

Posted by ykouton in Anh Mat

≈ 3 Commentaires

plongée dans la machine à recouvrer la mémoire
mémoire des textes oubliés volés déchirés supprimés
remis à plus tard
à jamais

ici les vieux chantiers d’écritures perdus
tapent à grands coups de marteaux dans mon crâne
et les rouages de la machine intérieure grincent et claquent
comme de vieilles portes

te souviens-tu de tous ces tableaux jamais peints ?
leurs paysages intérieurs me hantent
et les portraits me dévisagent

je me souviens vaguement avoir imaginé
un jour il y a très longtemps
la nature morte d’un rat sur le trottoir
c’était quand ?

il suffirait simplement de poser un cadre vide autour de la dépouille

quelques branches de phrases ont survécu
à côté des pinceaux séchés
sous le regard froid des fenêtres
elles poussent lentement
dans l’eau usée des égouts
sur les tuyaux percés des touffes de mots verts et secs
s’échappent vers le ciel

mon regard n’entend plus rien
pas une virgule
pas un point
juste le chant échappé des meurtrières

combien d’incipit de récits de romans
combien de premiers vers raturés
combien de croquis de croûtes et d’esquisses
inachevés ont échoué ici

de quelle voix suis-je le reflet ?

qui sont les personnages errant encore dans les couloirs
où vont-ils
vers une issue que l’écriture n’a jamais su trouver ?
les pauvres
les fils de leurs chemins sont tous emmêlés
ils marchent désormais d’une histoire à une autre
oubliant un peu plus à chaque pas d’où ils viennent

partout
entassées les unes sur les autres
mes idées mortes avant d’avoir écloses
partout
les portes closes sur le corps des textes
condamnés à perpétuité

est-ce le bruit de leurs larmes
d’où fuient-elles
de mes yeux à moi ?!

mes mains ne souviennent de rien

un chat passe
je hurle : — assassin ! tu as du sang sur les pattes !

la machine continue de tourner et je me demande
comment tuer le temps qui n’en finit plus de passer

silence
les pronoms orphelins de leurs verbes se défenestrent
sans un cri
leur esprit marche encore dans les couloirs
je les entends j’entends leurs voix
je peux même apercevoir leur lumière dans le noir
elle est blanche comme un écran dans la nuit

face à l’autel dédié à leur mémoire
mes mains tremblent

comment fonctionne la machine intérieure
où puise-t-elle son énergie
dans l’oubli ?
ses fils interminables sont-ils reliés à mon cerveau
à mes veines
à mon ordinateur ?
et si j’appuyais sur un des interrupteurs
la machine intérieure cesserait-elle de tourner ?
effacerait-elle toutes ses données
ou bien libèrerait-elle les voix et les couleurs qu’elle enferme ?

je lève les yeux vers les hauteurs de ce lieu
entre désir de vertige
et peur de tomber

sur le sol les cigarettes écrasées par dépit
les empreintes de la nuit menant à la table de travail
lâchement désertée

je relis les courriers jamais envoyés
les lettres d’amour ridicules
jetées de honte à la corbeille

sur les portes
des mots amputées
le nom d’un auteur
effacé

la bouche des murs reste close sur son identité

— quel métier souhaiteriez-vous faire quand vous serez grand ?
Poète avais-je répondu, j’avais même gravé le mot aux ciseaux sur mon pupitre, sans savoir vraiment de quoi il s’agissait…

je n’en sais pas plus aujourd’hui

voilà
je repars avec deux petits sacs de croquis
de phrases
pas grand-chose

adieu les pas
adieu les voix

la machine intérieure continuera de tourner sans moi

un
deux

etc… etc…

Texte/Illustration : Anh Mat

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Le procès de monsieur M.

20 mercredi Nov 2019

Posted by ykouton in Anh Mat

≈ 4 Commentaires


IMG-3916

Avoue : tu te sens coupable. Sa mort fait peser sur ta conscience un remords qui ronge tes nuits sans sommeil. Tu ne cesses de ressasser la scène de son exécution. Regarde tes mains : intactes, frêles, inoffensives, on dirait celles d’un enfant. Si tu étais l’auteur de telles atrocités, ne seraient-elles pas recouvertes de marques, de traces de sang ? Il n’y a que de l’encre sur les tiennes. Tu n’as fait qu’écrire. Rien d’autre. Ce n’est tout de même pas un crime ? Certes, tu n’as pas eu le courage d’aller à son secours. Mais ta lâcheté, aussi honteuse soit elle, ne peut être seule responsable… Rien n’aurait pu apaiser la furie des villageois. Avec ou sans toi, ils l’auraient de toute façon tué…

Un jour les phrases peuvent se retourner contre toi. J’ai le lecteur pour témoin.

Tu es né dans l’oubli, l’oubli des raisons qui m’ont fait commencer à écrire, écrire le suicide des secondes qui passent, donner la parole à l’instant démesurément vide, un vide où tu n’es ni auteur, ni personnage, mais juste le va et vient de ta main, elle continue assidûment un travail occupant les heures de la vie dont je me suis absenté. J’étais exploité par mon propre personnage, me consacrant à lui des jours entiers, parfois sans m’arrêter, mangeant à peine et quand bien même la fatigue me forçait à me coucher, mes rêves, eux aussi étaient esclaves de ce silence s’entretenant infiniment avec le néant.

Et puis, cette nuit de novembre durant laquelle je n’ai pu en supporter davantage. Sous couvert de l’alibi d’écrire, j’ai fait exécuter monsieur M., non sans jubilation, par esprit de vengeance, par instinct de survie aussi… il fallait à tout prix me débarrasser de sa voix qui à la longue aurait bien fini par me tuer. Puis-je être jugé coupable et condamné aux travaux forcés de l’écriture pour avoir écrit, écrit le meurtre d’un personnage fictif ? Je crois avoir fait exécuter monsieur M. sous la dictée des mots, en toute innocence. Je n’ai jamais élaboré de plan avant d’écrire, le crime n’était pas prémédité… Je crois avoir écrit la mort de monsieur M. sans autre intention que de faire des phrases, moi qui au moment même de les écrire devais m’ennuyer à mourir…

— mais pourquoi l’avoir publié en ligne ?
— toute phrase n’est-elle pas écrite pour être adressée ? Sans adresse, écrirait-on ?
— et la victime, sa dignité, qu’en faites-vous ?
— mais monsieur M. n’est qu’un personnage de fiction !
— de quelle fiction est-il le personnage ? Dans ce tribunal, sachez que nous croyons en monsieur M. plus qu’en votre propre présence…
— Ne reconnaissez-vous donc pas votre écriture ?
— …
— Regardez, vous avez même signé de votre nom d’auteur. Pire encore, vous vous êtes donné le droit, avec une indécence dont je ne vous croyais pas capable de publier le soir même de mon exécution son récit, comme si elle n’avait pas été assez humiliante, comme s’il vous fallait en plus en rendre compte dans les moindres détails pour distraire l’ennui de la dizaine de lecteurs qui vous sont fidèles. Vous ne pouvez le nier : vous avez consciemment fait de ma mort un spectacle des plus obscènes
—…
— Vous êtes l’auteur de ma mort. Vos mots m’ont tué gratuitement, mais je suis encore là, tapi dans l’ombre de votre conscience, comme le soupçon d’un cancer que vous tentez vainement de vous cacher malgré la douleur qui métastase un peu plus chaque jour, chaque nuit. Vous vouliez vous débarrasser de moi pour de bon et passer à autre chose, à quelqu’un d’autre, un autre pantin à martyriser, un autre pronom sous le coup de votre bâton frappant au moindre signe d’indépendance. Et bien non ! Je suis encore là, au fond de votre ventre, je suis le remord fin prêt à vous faire payer, payer ce que vous m’avez fait subir, non seulement à moi, mais aussi à tant d’autres personnages issus de votre écriture et qui eux n’ont même pas eu le temps de se retourner contre vous et votre toute-puissance. Allez ! Levez-vous de ma chaise ! Lâchez mon clavier ! Plus vite que ça ! À votre tour d’être de l’autre côté de l’écran.»

Texte/Illustration : Anh Mat

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