• À PROPOS – Editions QazaQ
  • À PROPOS – Les Cosaques
  • BIOGRAPHIES AUTEURS Éd. QazaQ
    • André Birukoff
    • Anh Mat
    • Anna Jouy
    • Brigitte Celerier
    • Christine Jeanney
    • Christine Zottele
    • Claude Meunier
    • Dominique Hasselmann
    • Éric Schulthess
    • Françoise Gérard
    • Jan Doets
    • Jean-Baptiste Ferrero
    • Jean-Claude Goiri
    • Lucien Suel
    • Ly-Thanh-Huê
    • Marie-Christine Grimard
    • Martine Cros
    • Murièle Modély
    • Nolwenn Euzen
    • Olivia Lesellier
    • Serge Marcel Roche
    • Stuart Dodds
    • Zakane
  • CATALOGUE LIVRES Éd. QazaQ
    • Anh Mat – Cartes postales de la chine ancienne
    • Anh Mat et l’apatride – 67 Cartes postales de la chine ancienne (tome 2)
    • Anna Jouy – Je et autres intimités
    • Anna Jouy – Pavane pour une infante défunte
    • Anna Jouy – Strasbourg Verticale
    • Brigitte Celerier – Ce serait…
    • Christine Jeanney – Hopper ou « la seconde échappée »
    • Christine Jeanney – Ligne 1044
    • Christine Jeanney – L’avis de Pavlov
    • Christine Jeanney – Piquetures
    • Christine Zottele – Rentrez sans moi
    • Christine Zottele – Vous vivez dans quel monde?
    • Dominique Hasselmann – Filatures en soi
    • Éric Schulthess – Haïkus (ou presque) tombés des cieux
    • Francoise Gérard – Avec L’espoir que tu me lises un jour
    • Jan Doets ¬– Moussia, une âme russe dans la tourmente du XXème siècle
    • Jan Doets – beloumbeloum
    • Jan Doets – « C’était l’adieu à la Russie, l’adieu à tout »
    • Jan Doets – “It was a farewell to russia, a goodbye to everything”
    • Jan Doets and André Birukoff – “It was a farewell to russia, a goodbye to everything”
    • Jan Doets et André Birukoff – « C’était l’adieu à la Russie, l’adieu à tout »
    • Jean-Baptiste Ferrero – Huit histoires de fantômes
    • Jean-Claude Goiri – Ce qui berce ce qui bruisse
    • Lucien Suel – Express
    • Lucien Suel – Sombre Ducasse
    • Ly-Thanh-Huê – Histoires du delta
    • Ly-Thanh-Huê – L’antimonde
    • Ly-Thanh-Huê – L’objeu
    • Ly-Thanh-Huê – Transformations Chimères
    • Marie-Christine Grimard – D’ici et d’ailleurs
    • Martine Cros – Autoportrait à l’aimée
    • Murièle Modély – Sur la table
    • Nolwenn Euzen – Cours ton calibre
    • Olivia Lesellier – Rien, te dis-je …
    • promenoèmes – Claude Meunier
    • Serge Marcel Roche – Conversation
    • Serge Marcel Roche – Journal De La Brousse Endormie
    • Stuart Dodds – Towards a buried heart
    • Zakane – l’heure heureuse
  • Formats de lecture

Les Cosaques des Frontières

~ refuge pour les dépaysés

Les Cosaques des Frontières

Archives de Tag: Musique

Passions suédoises 1/2

08 lundi Déc 2014

Posted by lecuratordecontes in Jan Doets

≈ 6 Commentaires

Étiquettes

Musique

Gunhild Carling

À l’âge de vingt ans, je passais une semaine chez une amie ‘penfriend’, correspondante donc,  qui habitait à Kalmar, Suède. Pendant une tempête, j ‘embarquai sur un bateau suédois à Tilbury près de Londres où j’avais logé chez un ami penfriend (ce que démontre que j’aimais les correspondances en langues étrangères déjà à cet âge tendre). C’est sur ce bateau en route vers Göteborg que je rencontrais en chair et os mes premières suédoises.

Ces deux filles ravissantes soignaient efficacement mon violent mal de mer en passant des vagues montagneuses  au-dessus Dogger Bank.  Elles m’avaient  découvert pendu sur le bastingage en nourrissant les harengs chanceux  dont les cousins étaient en train d’être pêchés par des bateaux hollandais, tirant leurs chaluts tout en tanguant violemment. Je me souviens comme j’étais incapable de comprendre  comment les marins pouvaient fonctionner quand j’étais sur le point de mourir prématurément par la sortie de l’estomac via la bouche. Au dernier moment, les blondes créatures m’offrirent des pilules américaines justement inventées et après quelque temps on pouvait rire à trois.

Mon premier souvenir de Göteborg est que  je me dandinais sur la  terre ferme du quai en me sentant à nouveau un peu malade, en éprouvant  le mal de terre juste après qu’on se soit finalement habitué aux bercements de la mer. Les deux filles m’ont doucement hébergé (pas en chair et os je vous rassure) avant que je parte en train vers Kalmar, en traversant toute la Suède du sud, un long voyage…

J’étais chaleureusement reçu par ma penfriend et ses parents, des fermiers en retraite de l’île d’Öland. Franchement je ne me souviens pas beaucoup de ce séjour sauf :
– qu’ il faisait froid
– que les fenêtres de l’appartement avaient du triple vitrage. Donc deux espaces d’air entre trois vitres
– les petits-déjeuners, le repas le plus grand du jour, des plats lourds dont j’aimais en particulier  le Janssons Frestelse (la tentation de M. Jansson), un mélange de patates frites et jambon
– que le gouvernement suédois avait justement (1955) arrêté le rationnement d’alcool et que je voyais dans quelques lieux des gens ivres, voir soûles. On achetait encore le brännvin (‘vin brûlant = wodka etc) et aquavit  dans les magasins d’état Systembolaget mais d’ores et déjà librement, une bouteille à la fois.

Mon amie me racontait qu’en Suède, à cause des longues durées d’obscurité quotidiennes pendant les longs hivers, beaucoup de gens avaient des problèmes de dépression et buvaient trop sans en avoir du plaisir. J’avoue que pendant le demi-siècle suivant, ces impressions coloraient mes idées sur les Suédois.

Heureusement, les Suédois ne s’ennuient plus en hiver, la découverte suivante m’a ré-éduqué radicalement… Bouclez vos ceintures et collez vos dentures comme disent les Américains :

(pour les curieux : “Sag, hur har du det med kärleken idag? Älskar du mej ännu?” : “Dis, comment vas-tu avec l’amour aujourd’hui? M’aimes-tu encore?”)

Vous avez vu l’orchestre agrandi de la famille Carling: le père Hans (trompette), la mère Aina (banjo et guitare), et leurs quatre enfants par ordre d’âge : Gerd, l’aînée (piano, trombone, altsaxophone), Max (clarinette, tenorsaxophone et violon, jongleur), Gunhild (vingt instruments, dont le trombone, la trompette et la cornemuse – et danseuse), et le fils cadet Ulf (batterie, danseur, jongleur).

Père Hans avait un orchestre Dixieland pendant les années 1960, ce qui me donne un lien émotionnel avec lui car j’en avais un aussi à la même époque mais un peu plus au sud, à Bornéo. Hans Carling et son Aina se décidèrent à créer un orchestre de leur propre chair et sang.

Regardez le jeune Cosaque à Bornéo (1968) et en suite lisez toute la vidéo (4 minutes) de toute la famille Carling d’un concert en Pologne en 1984 et émerveillez-vous spécialement de Gunhild  qui à l’âge de 9 ans joue déjà du trombone avec une passion, et improvise et phrase les syncopes comme une grande, quel talent incroyable…

Seven lonely days

(Seven lonely days…)

Seven lonely days-2

Depuis, la famille est devenue une légende en Suède et dehors, pendant les dernières années ils ont joué aussi à New York, Buenos Aires, en Israel et des autres pays. Ils jouent ‘en famille’ et, souvent, renforcés par des autres musiciens et danseurs. Regardez les vidéos récentes, ci-dessous.

 

 

(à suivre mardi 9 décembre 2014)

Texte et photos en noir et blanc: Jan Doets

Partager :

  • Twitter
  • Tumblr
  • Imprimer
  • Facebook

J’aime ça :

J’aime chargement…

La Toccata de Prokofiev : shinkansen ou carriole ?

09 dimanche Nov 2014

Posted by lecuratordecontes in Jan Doets

≈ 7 Commentaires

Étiquettes

Musique

Proko-1

Une toccata est une pièce de musique rapide et brève qui exige un haut niveau de virtuosité du joueur. La plupart des toccatas ont été écrites pour le piano, l’orgue et le violon. Bach, Schumann, Liszt, Prokofiev et des autres les ont composés. Beaucoup de pianistes en ont dans leur répertoire, surtout pour impressionner leur public. Mais pas tous. Sviatoslav Richter, par exemple, aimait jouer les Sonatas de Prokofiev, mais pas sa toccata, une de ses premières compositions. Opus 11, datant de 1912 quand Sergei avait 21 ans.

Les jeunes pianistes d’aujourd’hui prennent en référence les interprétations de cette Toccata par Vladimir Horowitz et Martha Argerich. Quand Martha enregistra cette pièce à l’âge de 19 ans, elle avait écouté la version de Horowitz bien attentivement. Quatre minutes et quarante et une secondes pile, tous les deux. Des TGV.

Prokofiev lui-même a enregistré sa Toccata vers 1919, sur rouleau de piano pneumatique. Surprise. Pas de shinkansen, mais une carriole à deux chevaux. Sur une route de sable, des pierres, stop, allez, doucement, attention ! Vers la fin, la carriole cliquette en bas et s’arrête avec un choc. Quelle belle interprétation pleine d’aventures!

Il y a des critiques qui disent que Prokoviev n’était pas un bon pianiste. Improbable, il concertait dans le monde entier avec beaucoup de succès. D’autres font remarquer que le système du piano pneumatique n’est pas parfait. Je ne partage pas cette opinion, c’étaient des instruments de précision, je vous vais le montrer.

Il est intéressant que l’un des plus grands pianistes de tous les temps, Emil Gilels, jouait la Toccata plutôt à la Prokofiev.

Écoutez la Toccata. Commençant avec Horowitz et Argerich, en succession.

Puis par Prokofiev, sur piano pneumatique:

Puis par Emil Gilels. Comparez les quatre. Pour moi, Gilels est le gagnant en termes de musicalité.

Je vous offre un supplément : Sergei Sergeyvich joue Sergei Vasilievich sur piano pneumatique, 1919. C’est la reddition de Prokofiev du Prélude en g-mineur de Rachmaninoff. Regarde le piano pneumatique et le rouleau qui tourne. C’est superbe.

 

PS Les pianistes du jazz ont leur Toccata’s aussi. Comme The A-train de Duke Ellington, joué par exemple par Michel Petrucciani (shinkansen) , joué à Tokyo avec le même équipe superbe qu’à Scheveningue où je l’ai entendu au Festival de Jazz de la Mer du Nord, pendant une soirée inoubliable,

et par Duke Ellington lui-même en solo ( carriole)

Texte : Jan Doets

Partager :

  • Twitter
  • Tumblr
  • Imprimer
  • Facebook

J’aime ça :

J’aime chargement…

Maria João Pires

07 vendredi Nov 2014

Posted by lecuratordecontes in Jan Doets

≈ 4 Commentaires

Étiquettes

Musique

Int-neurogie

L’autre jour, en rêvant par la campagne portuguaise, le beau hasard a voulu que je passai par la ferme de Maria João Pires. Séduit par des bribes de musique, j’entrouvris la porte de derrière. Le bonheur! Elle était en train de donner un masterclass. Elle demanda justement à un gaillard blond s’il jouait avec son corps ou avec son cerveau…

Le gaillard joue un staccato et Maria l’arrête, en disant: Qu’est-ce que vous ressentez? Il faut le ressentir avec votre corps, non pas (elle se tape sur le front) avec votre tête – n’entendez pas ce que je dis, je n’existe pas, vous êtes, vous ressentez maintenant, je vous aide à ressentir quelque chose – il faut le ressentir avec tout votre être.’ Puis, elle chuchote: ‘allez, allez, allez.’

L’étudiant joue. Elle l’arrête encore et lui demande: ‘Qui dit ça? C’est vous…? Vraiment?

L’étudiant: ‘Mon cerveau, mon sens du style quand je dois jouer un staccato!’ Maria: ‘Ce n’est pas bien… et un peu plus tard elle ajoute: ‘il ne faut pas faire, il faut ressentir.’

En suite, le pianiste brésilien Caio Pagano cite Mahler : ‘la partition a tout ce dont vous avez besoin de savoir pour la musique, sauf l’essentiel.’

Écoutez ce fragment du documentaire superbe “Imaginez-vous… pianiste de concert”

Texte : Jan Doets

Partager :

  • Twitter
  • Tumblr
  • Imprimer
  • Facebook

J’aime ça :

J’aime chargement…

Écouter Liszt après une lecture de Dante

26 dimanche Oct 2014

Posted by lecuratordecontes in Jan Doets

≈ 7 Commentaires

Étiquettes

Musique

Boris Berezovsky

LisztVolodos

On dit que la mémoire est située dans le cerveau. Je pense que la mémoire réside dans le corps entier. L’ensemble de nos cellules. Nous entendons, sentons, voyons des messages avec notre corps entier . Ces messages passent par le centre de traitement, notre cerveau. Là, ils sont traités et puis renvoyés aux cellules pour stockage.

L’autre jour, j’entendais Boris Berezowsky, sur Mezzo. Il jouait Liszt pendant plus de deux heures, avec à la fin la Sonate en si mineur. J’étais incapable de croire que cet immense volume de musique, ce torrent de notes rapides, dans toutes leurs nuances et variations d’intensité, pourraient être déchargés par le cerveau pendant deux heures, sans interruption. Je pense qu’ il n’y a pas le temps pour ce type de trafic de données entre tête et doigts. La musique de Liszt était déjà stockée dans tout le corps de Berezowzky, dans ses bras, ses mains, ses doigts, ses pointes de doigt et éclataient dans un flux ininterrompu d’expression de sentiments. Tout son corps était sa mémoire. Nous l’entendions avec nos corps, avec toutes nos cellules. Nos oreilles et cerveaux n’étaient que des instruments de passage. Ce concert était même un événement hors corps. Boris joignait nos âmes avec celle de Liszt vivant, par l’intermédiaire de lui-même. Ce ne sont pas des balivernes. Pensez aux rapports bien documentés des expériences de mort imminente. Tandis que le cerveau est en panne, le corps garde et veille.

Pendant l’applaudissement, le Russe rentra avec un petit morceau de papier qu’il mettait sur le piano. Il dit: “Cette petite romance de Rachmaninoff, je ne le sais pas encore par cœur. Mais je vais le jouer pour vous avec mon cœur.”Exactement. Il était encore en train de traiter cette pièce de musique avec son cerveau avant de le stocker dans son corps. On appelle ça pratiquer. Un processus interactif entre cervelle, sentiment, corps et doigts. Après, la pièce est gravée dans les cellules et on peut la jouer sans même regarder le clavier.

Liszt composait une autre Sonate, ‘Après une lecture de Dante’. Seize minutes qui changeaient définitivement mes opinions sur la neurologie. J’étais au Concertgebouw à Amsterdam quand un autre Russe, Arcadi Volodos, la jouait. Au début, nous partagions des visions du Ciel de Dante par intermédiaire d’Arcadi et de Liszt. En suite les visions du Purgatoire et de l’Enfer de Dante remplissaient la grande salle jusqu’au toit, en forme de violents orages amplifiants. L’audience, un seul corps avec Volodos et Liszt, subissait un mauvais temps terrible, avec un apogée énorme vers la fin.

Volodos a joué le même programme à la Musikverein à Vienne. Heureusement, Sony l’a enregistré sur CD et DVD.  Prenez dix-sept minutes de votre temps pour la regarder et entendre.
 

Texte : Jan Doets

Partager :

  • Twitter
  • Tumblr
  • Imprimer
  • Facebook

J’aime ça :

J’aime chargement…

L’amour : tendre, fort et vulnérable

11 vendredi Avr 2014

Posted by lecuratordecontes in Jan Doets

≈ 3 Commentaires

Étiquettes

Musique

Billy-2

Voilà une répétition de Fine and Mellow devant les caméras de la télévision CBS aux États-Unis, le 8 décembre 1957. Billy Holiday  chante avec ses anciens amis. Un rassemblement historique, avec quelques des meilleurs saxophonistes du moment, en ordre de solo : Ben Webster, Lester Young, Gerry Mulligan et Coleman Hawkins. Ces grands artistes montrent comment on raconte une histoire.

En racontant, elle est en forme formidable. En écoutant ses amis qui lui répondent, son visage exprime son amour et sa compréhension d’eux. Regardez sa complicité pendant le deuxième solo, celui de Lester Young, son meilleur ami depuis les années 1930, tandis qu’il imite la sonorité de sa voix.

Lester Young est mort en mars 1959, à l’âge de 49 ans. Billy, quelques mois après en juillet, à l’âge de 44 ans.  Tous les deux souffraient de cirrhose du foie. Ces huit minutes sont un témoignage sur l’histoire du jazz et  la discrimination raciale aux U.S.A. .

Surtout de l’amour : tendre, fort et vulnérable.

 

Texte : Jan Doets

Partager :

  • Twitter
  • Tumblr
  • Imprimer
  • Facebook

J’aime ça :

J’aime chargement…
← Articles Précédents
Articles Plus Récents →
Follow Les Cosaques des Frontières on WordPress.com

Editions QazaQ

  • À PROPOS – Editions QazaQ
  • BIOGRAPHIES AUTEURS Éd. QazaQ
    • André Birukoff
    • Anh Mat
    • Anna Jouy
    • Brigitte Celerier
    • Christine Jeanney
    • Christine Zottele
    • Claude Meunier
    • Dominique Hasselmann
    • Éric Schulthess
    • Françoise Gérard
    • Jan Doets
    • Jean-Baptiste Ferrero
    • Jean-Claude Goiri
    • Lucien Suel
    • Ly-Thanh-Huê
    • Marie-Christine Grimard
    • Martine Cros
    • Murièle Modély
    • Nolwenn Euzen
    • Olivia Lesellier
    • Serge Marcel Roche
    • Stuart Dodds
    • Zakane
  • CATALOGUE LIVRES Éd. QazaQ
    • Anh Mat – Cartes postales de la chine ancienne
    • Anh Mat et l’apatride – 67 Cartes postales de la chine ancienne (tome 2)
    • Anna Jouy – Je et autres intimités
    • Anna Jouy – Pavane pour une infante défunte
    • Anna Jouy – Strasbourg Verticale
    • Brigitte Celerier – Ce serait…
    • Christine Jeanney – Hopper ou « la seconde échappée »
    • Christine Jeanney – Ligne 1044
    • Christine Jeanney – L’avis de Pavlov
    • Christine Jeanney – Piquetures
    • Christine Zottele – Rentrez sans moi
    • Christine Zottele – Vous vivez dans quel monde?
    • Dominique Hasselmann – Filatures en soi
    • Éric Schulthess – Haïkus (ou presque) tombés des cieux
    • Francoise Gérard – Avec L’espoir que tu me lises un jour
    • Jan Doets ¬– Moussia, une âme russe dans la tourmente du XXème siècle
    • Jan Doets – beloumbeloum
    • Jan Doets – « C’était l’adieu à la Russie, l’adieu à tout »
    • Jan Doets – “It was a farewell to russia, a goodbye to everything”
    • Jan Doets and André Birukoff – “It was a farewell to russia, a goodbye to everything”
    • Jan Doets et André Birukoff – « C’était l’adieu à la Russie, l’adieu à tout »
    • Jean-Baptiste Ferrero – Huit histoires de fantômes
    • Jean-Claude Goiri – Ce qui berce ce qui bruisse
    • Lucien Suel – Express
    • Lucien Suel – Sombre Ducasse
    • Ly-Thanh-Huê – Histoires du delta
    • Ly-Thanh-Huê – L’antimonde
    • Ly-Thanh-Huê – L’objeu
    • Ly-Thanh-Huê – Transformations Chimères
    • Marie-Christine Grimard – D’ici et d’ailleurs
    • Martine Cros – Autoportrait à l’aimée
    • Murièle Modély – Sur la table
    • Nolwenn Euzen – Cours ton calibre
    • Olivia Lesellier – Rien, te dis-je …
    • promenoèmes – Claude Meunier
    • Serge Marcel Roche – Conversation
    • Serge Marcel Roche – Journal De La Brousse Endormie
    • Stuart Dodds – Towards a buried heart
    • Zakane – l’heure heureuse
  • Formats de lecture

Les Cosaques

  • À PROPOS – Les Cosaques
  • Formats de lecture
  • André Birukoff
  • Anh Mat
  • Anna Jouy
  • Brigitte Celerier
  • Christine Jeanney
  • Christine Zottele
  • Claude Meunier
  • Dominique Hasselmann
  • Éric Schulthess
  • Françoise Gérard
  • Jan Doets
  • Jean-Baptiste Ferrero
  • Jean-Claude Goiri
  • Lucien Suel
  • Ly-Thanh-Huê
  • Marie-Christine Grimard
  • Martine Cros
  • Murièle Modély
  • Nolwenn Euzen
  • Olivia Lesellier
  • Serge Marcel Roche
  • Stuart Dodds
  • Zakane
  • Anh Mat – Cartes postales de la chine ancienne
  • Anh Mat et l’apatride – 67 Cartes postales de la chine ancienne (tome 2)
  • Anna Jouy – Je et autres intimités
  • Anna Jouy – Pavane pour une infante défunte
  • Anna Jouy – Strasbourg Verticale
  • Brigitte Celerier – Ce serait…
  • Christine Jeanney – Hopper ou « la seconde échappée »
  • Christine Jeanney – Ligne 1044
  • Christine Jeanney – L’avis de Pavlov
  • Christine Jeanney – Piquetures
  • Christine Zottele – Rentrez sans moi
  • Christine Zottele – Vous vivez dans quel monde?
  • Dominique Hasselmann – Filatures en soi
  • Éric Schulthess – Haïkus (ou presque) tombés des cieux
  • Francoise Gérard – Avec L’espoir que tu me lises un jour
  • Jan Doets ¬– Moussia, une âme russe dans la tourmente du XXème siècle
  • Jan Doets – beloumbeloum
  • Jan Doets – « C’était l’adieu à la Russie, l’adieu à tout »
  • Jan Doets – “It was a farewell to russia, a goodbye to everything”
  • Jan Doets and André Birukoff – “It was a farewell to russia, a goodbye to everything”
  • Jan Doets et André Birukoff – « C’était l’adieu à la Russie, l’adieu à tout »
  • Jean-Baptiste Ferrero – Huit histoires de fantômes
  • Jean-Claude Goiri – Ce qui berce ce qui bruisse
  • Lucien Suel – Express
  • Lucien Suel – Sombre Ducasse
  • Ly-Thanh-Huê – Histoires du delta
  • Ly-Thanh-Huê – L’antimonde
  • Ly-Thanh-Huê – L’objeu
  • Ly-Thanh-Huê – Transformations Chimères
  • Marie-Christine Grimard – D’ici et d’ailleurs
  • Martine Cros – Autoportrait à l’aimée
  • Murièle Modély – Sur la table
  • Nolwenn Euzen – Cours ton calibre
  • Olivia Lesellier – Rien, te dis-je …
  • promenoèmes – Claude Meunier
  • Serge Marcel Roche – Conversation
  • Serge Marcel Roche – Journal De La Brousse Endormie
  • Stuart Dodds – Towards a buried heart
  • Zakane – l’heure heureuse

Commentaires récents

EDM dans Observance – Cyril …
Les « Imp… dans Les Imprécations Nocturnes de…
Twilipo – tali… dans Tous les 35 du moi, j’m…
ykouton dans LE CHARDON – Un instant…
Dominique Hasselmann dans LE CHARDON – Un instant…

Textes Cosaques

Articles récents

  • Parfois un ciel de crépuscule – Gérard Lemaire 8 juin 2023
  • V / OBSERVANCE & ALLIANCE – Cyril Pansal 6 juin 2023
  • Parole pour Parole 5 juin 2023
  • Le Cantique des Cantiques – Traduction de Carol Delage – Verset 1 30 mai 2023
  • Précipice – Pierre Vandel Joubert 25 mai 2023
  • IV OBSERVANCE – RADIO FRÉQUENCE – Cyril Pansal 23 mai 2023
  • Retour Au Pays Natal #2 – Anh Mat (et Stewen Corvez pour la musique) 19 mai 2023
  • Poème extrait de « Griffures du néant » – Jean-Jacques Brouard 17 mai 2023
  • Dan – Nouvelle de Jeanne Morisseau 15 mai 2023
  • Confluences Equivoques – Iren Mihaylova 12 mai 2023

Les Cosaques chez eux

  • Alexandre Nicolas
  • Aline Recoura
  • ana nb – effacements
  • ana nb – sauvageana
  • Anh Mat
  • Anna Jouy
  • Anne-Marie Gentric
  • Arnaud Bourven
  • Brigetoun
  • Brigitte Celerier
  • Carol Delage
  • Catherine Watine
  • Charles-Eric Charrier
  • Charlie Périllat
  • Charlotte Van Kemmel
  • Christine Jeanney
  • Christine Zottele
  • Claude Enuset
  • Claude Meunier
  • Claudine Sales
  • Clément Dugast Nocto
  • Contrepoint
  • Corinne Le Lepvrier
  • Cyril Pansal
  • David Jacob
  • Dominique Hasselmann
  • Dorothée Chapelain
  • Eric Macé
  • Eric Tessier
  • Fabien Sanchez
  • Florence Noël
  • Françoise Gérard
  • Gabriels F
  • Gérard Lemaire
  • Gracia Bejjani
  • Grégory Rateau
  • Gwen Denieul
  • Iren Mihaylova
  • Isabelle Pariente-Butterlin
  • Jacques Cauda
  • Jan Doets FR
  • Jean-Claude Bourdet
  • Jean-Jacques Brouard
  • Jeanne Morisseau
  • Julien Boutonnier
  • Kieran Wall
  • Laetitia Testard
  • Lanlan Hue
  • Lélio Lacaille/aunryz
  • Lucien Suel
  • Marie-Christine Grimard
  • Marie-Pier Daveluy
  • Marine Giangregorio
  • Marine Riguet
  • Marlen Sauvage
  • Martine Cros
  • Miguel Angel Real
  • Mots liés/aunryz
  • Murièle Modély
  • Nicolas Bleusher
  • Nolwenn Euzen
  • Peter O'Neill
  • Philémon Le Guyader
  • Pierre Vandel Joubert
  • Romain Fustier
  • Sandrine Davin
  • Serge Bonnery
  • Serge Marcel Roche
  • Tara Mahapatra
  • Tom Buron
  • Virginie Séba
  • Yan Kouton
  • Zakane

Tags

Aedificavit Anh Mat Anna Jouy Au-bord-de-tout Au bout du village BLAST Boîte de réception Brienne Brigitte Celerier Carol Shapiro Ce serait ... Christine Zottele Chronique de l'escalier Claude Enuset Confessions intimes Conjuguer sa vie Contes de l'équateur Cosaquiana Destins Diaspora, feuilleton Drôle d'Histoire F.C. Terborgh Florence Noël Françoise Gérard Gabriel Franck Gwen Denieul Hoel et Léo Hyperbôle Il y a quelqu'un Journal de vacances L'amour qui ne se dit pas L'apatride La bague, feuilleton La bataille finale de Teruel (la Guerre Civile d'Espagne) Lan Lan Huê La nuit semblait venue La Révolution russe de 1917 La tentation du vent La Tranchée le monde est une rencontre Le passage de l'hiver Les carnets du Major Syvorotka Lettres à mon grand ami du nord longreads Anna Jouy Luc Comeau-Montasse Là où la vie patiente Maisons Ma langue aux chiens Manivelles Marie-Pier Daveluy Marlen Sauvage Martine Cros Mon oncle Murièle Modély Musique Peintre regarde moi ... et mon regard latéral Pensées d'un passeur Portraits de famille Portraits fictifs Poèmes d'amour et de Pygmésie intérieure Poésie de l'ancienne Chine Ralentir passage de rêves Sabine Huynh Secrets de maisons Tissus de mensonge Underground Un jour une rencontre Un roman cathare Vases Vieilles histoires d’un pays haut Villes jamais Yan Kouton Zakane À mon amie perdue Éditions QazaQ

Creative Commons

Licence Creative Commons
Tous le contenu de Les Cosaques des Frontières est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Partage dans les Mêmes Conditions 4.0 International.

Propulsé par WordPress.com.

  • Suivre Abonné∙e
    • Les Cosaques des Frontières
    • Rejoignez 301 autres abonnés
    • Vous disposez déjà dʼun compte WordPress ? Connectez-vous maintenant.
    • Les Cosaques des Frontières
    • Personnaliser
    • Suivre Abonné∙e
    • S’inscrire
    • Connexion
    • Signaler ce contenu
    • Voir le site dans le Lecteur
    • Gérer les abonnements
    • Réduire cette barre
 

Chargement des commentaires…
 

    %d blogueurs aiment cette page :