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Les Cosaques des Frontières

~ refuge pour les dépaysés

Les Cosaques des Frontières

Archives de Catégorie: Corinne Le Lepvrier

Je devais m’y attendre ou quelque chose d’approchant – PARTIE #48 et #49

22 lundi Mar 2021

Posted by ykouton in Corinne Le Lepvrier

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PARTIE # 48 – fois –

-reconnaître que j’y suis ¿ –

J’ai écrasé sur mon avant-bras une grosse fourmi rouge sans le faire exprès aperçu un couple de grands papillons puis un couple de singes bruns, un écureuil de toute petite taille – il vit probablement dans l’ossature de la toiture en bambou -. J’emporte avec moi du sucre roux, mes osselets en métal, mes boules Quies – en cas de bruit de trop du monde -, mes écrits en fragments dans mon téléphone, le tout dans mon sac à dos le petit.

Le jour suit son cours,

je vois souvent des geckos partout – les plus petits ont la peau à nue des souris, verte pâle tachetée de points du brun rouge des adultes devenus -, il y a des oiseaux en cage que quelqu’un arrose tous les jours, je fais ma raie manta et l’oiseau de grandes brassées de tout mon saoul sur le dos le soleil droit dans les yeux puis je regarde mes mains ridées de tout cette eau brassée, j’ai plus ou moins sculpté un œil dans le sable c’était un poisson, ai collecté quelques fleurs sèches de cocotiers tombées à terre et des capsules de bière en métal – représentations de deux éléphants en face à face ou un dragon rouge -, écarté quelques individus hommes et femmes de mes yeux, je poursuis faire attention où vont mes pieds, préfère résolument absolument les petits temples devant les maisons,

(je ne crois pas avoir amplement pensé à toi, si ce n’est que j’ai soigneusement découpé en morceaux la tunique-robe que je reportais ces années lorsque je ne désirais plus me mettre à nue devant toi, et les ai jetés (ne ritualisant pas outre mesure), je commence peut-être à oublier de t’oublier,

le jour suit son cours).

De nouveau le couple de grands papillons bruns.

Un mot m’est revenu, – je l’avais appris par cœur comme tant aimer réciter enfant -, ce mot en langue tamazigh et sa définition, je le prononce à voix haute – on entend PRESQUE la langue bretonne que j’ai quant à elle toujours écartée -, je récite : teggedeout ; fait d’être roux foncé, fait d’être rouge foncé, fait d’être brun rouge, fait d’être d’un ton intermédiaire entre le roux foncé, le rouge foncé et le brun rouge. Je sais que de me souvenir de teggedeout, c’est du fait de ces couleurs-là, qu’elles soient associées à la répétition, sorte d’affirmation, de certitude au fait d’être, et que le fait d’être serait un beau titre à lui seul qui doit probablement déjà exister. C’est qu’il y a des définitions qui englobent PRESQUE tout – ce qui est parler -, disent incluse – je ne vais pas partir n’importe où maintenant, PRESQUE j’en resterais là. –

Le jour suit son cours.

(Rapporte-moi d’accord des vêtements toutes sortes de different colors, du rouge surtout par exemple, tu me demandais, tu aimais.

Oui d’accord depuis, concernant, etc… du fait de couleurs, je disais de couleurs, j’aimais.

De l’amour oui d’accord, dès lors, à propos, du fait d’être de l’amour, je disais, j’aimais.)

D’un voyage et d’une écriture petite cursive -dans sa forme avancée un peu plus verticale-, d’une verticalité le jour suit son cours.

Partant d’une fourmi rouge de son écrasement (passant par toi, moi), les chemins parcourus nous ne les devançons pas.

Me suis-je déplacée ¿ Ai-je avancé ¿- Etre, avoir ¿ –

J39, Koh Phangan Haad Koom, 09/03/2020, – de mon téléphone –

PARTIE # 49 – fois –

-reconnaître que c »est dedans ¿ –

Lorsque

je viens d’arriver et que je m’arrête, il y a déjà toute une vie à prendre en compte, je n’en saurai rien, n’aurai pas le temps, il ne faudrait pas que cela vienne à me manquer.

Parfois

je me tiens dans l’ombre à l’abri sous une pergola, retirée d’un moment, je regarde d’autres dans le lieu dans le soleil, je fume et bois de l’eau de coco et des expressos dans l’hésitation à rejoindre. Je ne suis pas certaine que cela soit regarder. Je ne sais si la scène vivante est vivante là ou là où je me tiens, reste dedans me retient. Pas vraiment concernée dans les plis de cette affaire – laquelle ¿ –

Par moment

je ne sais plus où est qui non plus. (Ne parle pas avec un sénégalais jamais tu me disais sinon tu ne sauras plus comment tu t’appelles, ou tu redisais je ne sais rien à côté de toi. Je me souviens d’autres phrases de tes paroles qui sont encore cela, alors je me sais d’aucun voyage aucun et je voudrais que la chaleur cesse, qu’il pleuve soudain comme dans mon pays.)

D’autrefois,

quelques jours passés à l’approche de quitter un lieu, sur le départ je ne les reconnais plus ni les uns ni les autres, déjà ils se sont transformés, est-ce moi qui et qu’ils ne seront plus comme les mêmes jamais ou moi ¿ Mais/donc/pour autant ne pas rester, raison de plus poursuivre puisque le voyage c’est cela l’idée ¿

Cette fois

je ne rêve n’imagine pas m’éloigner des îles, l’idée des îles, leurs rêves, quitter la mer. Ce tracé de cercle tracé coule entre mes doigts peu de choses atteignent, sauf que PRESQUE sans cesse dans l’eau je tourne autour de faire ma raie manta. Cercle : si je m’en vais je le sais quelque chose encore se clôture. Si bien que revenir sur la terre -ferme on dit-, revenir d’écrire cela, une similaire chose ¿

(Et puis il y a qu’il se pourrait que ce bleu de la terrasse dans ce petit hôtel de Koh Phangan me retienne de partir, à me rappeler des lieux où —— étions arrivés, où —— —— tenions dans l’ombre ou que —— avions quittés, où —— ne savions pas/plus, —— sommes quittés, où quelque chose encore se clôturait ou ne s’ouvrait, dans un bleu similaire).

Là

je rêve j’imagine que demain au matin je me déciderai,

là je saurai, et

je pense je crois que je me dirai qu’au final ce que  je fais depuis le début c’est me profiler écrire dans un roman, que peut-être c’est cette chose là ou qu’il faille repartir de Ban Chaloklum.

Lorsque

je n’ai plus toute ma suite dans mes idées, c’est encore autre chose dedans.

J40, Koh Phangan Ban Chaloklum, 10/03/2020, – dans mon téléphone –

Textes/Illustrations : Corinne Le Lepvrier

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Je devais m’y attendre ou quelque chose d’approchant – PARTIE #46 et #47

08 lundi Fév 2021

Posted by ykouton in Corinne Le Lepvrier

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PARTIE # 46 – fois –

-d’une écriture de nouveau première où je confirme le titre de l’ensemble ¿

Mes journées commencent à se ressembler s’assembler alignements ¿ J’ai pour manie ce rapprochement de verbes – tels les oiseaux -, ici ils n’ont pas cessé de chanter de la permanence du printemps, je peux en dire autant de mes fragments. Ne le dis pas encore concernant les/des poissons. Retourner donc peut-être mieux regarder à ko – île – Tao, quitte à revenir sur mes pas.

Fragments commençant à se ressembler s’assembler, longs. Peut-être restreindre, ne pas m’épancher dans de longues conversations/palabres, rompre cela aussi. Dire bonjour Sawatdee krap kha hello guten tag salam c’est bien déjà cela suffit, que ce soit parlé, que ce soit écrit. Peut-être relire, j’hésite à reboucler. Retourner d’où je viens depuis le début où je vais d’île en Île rêver j’imagine écrire quelque chose qui reviendrait, serait revenu à rester.

Aurions-nous pu/voulu être partis ailleurs ou nous contenter de rêver des îles ¿

Les îles, rêver avec angoisse ou joie peu importe que l’on est déjà séparés, dit Deleuze.

Si je trace un cercle, c’est peut-être une île.

J37, Koh Phangan Haad Koom, 07/03/2020, – de mon téléphone, pas l’idéal par commodité –

PARTIE # 47 – fois –

-Sawatdee krap kha et pensée extrêmement positive ou alors demain ¿ –

(Si mon ciel tombe vite, que ma nuit s’assombrit tôt, si je ne vois pas venir, c’est que je ne l’ai pas vu venir, que cela vient de toi, c’est ton ciel et ta nuit à toi c’est certain n’est-ce/n’est-il pas ¿ Alors il n’y a/me faut plus que de l’eau, beaucoup d’eau, de cigarettes, et de ciels à regarder et de nuits à dormir, quelques oiseaux, chant d’oiseaux (je tombe bien dans ce pays). Afin de revenir de cet endroit qui n’existait que d’être fait de questions et d’une grande négation pour deux n’est-ce/n’est-il pas ¿ n’existait que d’être fait de tomber, d’être constitué constitutif de tomber.

Le fait d’être tombée initie une poursuite : trouve vite l’alignement (je l’accorde) : tombée amoureuse, non pas tombé du ciel inopinément,

tombés sur moi ton corps pesant et ta lourde vie, tombée sur toi tu ne me réceptionnais pas (dans tes bras ni ailleurs),

tombés tout cour(ai)t, tombait des mains

alors la tombe amoureuse (j’ai lu quelque part).

J38, Koh Phangan Haad Koom, 08/03/2020, – de  mon téléphone pas l’idéal par commodité –

Textes/Illustrations : Corinne Le Lepvrier

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Je devais m’y attendre ou quelque chose d’approchant – PARTIE #44 et #45

01 lundi Fév 2021

Posted by ykouton in Corinne Le Lepvrier

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Partie # 44 – fois –

– le silence est d’or, on l’a déjà dit, on se le répète, pourquoi pas comme ça ¿ –

1 Or je m’attends à l’empreinte que ce voyage d’écrire inscrit sur/dans mon corps de manière indélébile. On va voir ¿

2 Or, à partir de l’avancée du présent des jours dit je, no need pas la peine de se la jouer, on le sait écrire n’est pas un jeu, ne sait pas faire ça jouer. Je cherche à s’autoriser à, juste l’écrire en poète. On, poésie ¿

3 Or, on comme je ne verront pas les scènes qui obsèdent, le regard s’arrête avant. Je peux démultiplier la répétition, la réplication des tentatives/tentations, juste avant à chaque fois c’est ce qu’il ne cesse de faire. Les envisager alors étreintes les scènes obsédantes et le regard et je et on.

4 Or, si je m’autorise demain sur la peau un tatouage – ce qui à première vue n’a rien voir à la tige de bambou moins de douleur -, c’est sur le visage la tempe droite où des cheveux blancs ont commencé quelque chose ou sur quelques phalanges de la main qui écrit quelque chose, pas d’autres lieux et pas autre chose que quatre petits ronds noirs pleins. (Tu n’y seras pas (le) seul, tu vois cela correspondra à : figurer parmi les amants aimés).
Hors, sur la peau un tatouage ¿ Il se peut que on qui le plus souvent écrit ne se fait pas faire de tatouages sur le corps : c’est son silence, corps lisible ¿ Il se peut que on qui n’écrit pas le plus souvent donne tout son sens, son cœur à ses tatouages, en est l’auteur : c’est sa parole corps lisible ¿

5
Or voir toujours se renverse. Voir, récursif puisque vivant. Renverse on et je.
Or, traverser les frontières m’aide à voir, je viens juste de lire chez Butor – ce qui est en lien –
Or à la limite écrire est peut-être déjouer, la vie à rejouer ¿
Or, embarquée sur un mot j’ai fait un merveilleux voyage, – on l’a déjà dit aussi –
Or je ne vois plus trop bien ce qu’écrire veut dire, hormis le silence.

(Embarqués toi et moi, nous normalement d’amour comme le tigre bondirait, or il n’a pas surgi et je n’ai pas rugi)

– à y bien regarder j’en suis ici à réunir quelques pronoms, effets de vérité personnels ¿ –

J32, Koh Phangan Ban Chaloklum, 02/03/2020, – de mon téléphone j’y/je tiens –

Partie # 45 – fois –

– m’est sûrement arrivé ou quelque chose maintenant d’approchant ¿ –

(Tu faisais le temps. Le beau, le mauvais, la pluie, la tempête et le vacarme aussi. La tombée des eaux des hauteurs, puis la boue chargée aux pieds. Après, le soleil comme toujours revenait et je ne résiste pas à la chaleur.

J’allais venir dans ton pays, tu m’attendais à chaque fois avec impatience tu disais, tout allait très vite, je repartais m’en retourner d’où je viens jamais tout à fait. Tu disais aussi qu’il faut être patient avec toi, comme il y aurait quelque chose à attendre, un temps qui viendrait un jour sûrement différent. Le temps, de la distance, non je ne distinguais plus, – comme écrire d’une écriture rapide sans recul sans se retourner ici -.

Tu faisais le temps de manger, le temps largement de boire du vin cigarettes à toute heure, celui de la danse, d’éprendre, de déprendre. Le climat de dormir (un peu). Le temps/climat de ne pas parler de , de ne jamais parler à partir de qui/quoi serait nous. Tu disais après après, comme il y aurait encore viendrait un jour sûrement où/quand tout serait autre, ne serait plus jamais comme avant /maintenant. Devançant à projeter/rejeter aussi loin que jamais mes nécessités (et je ne parle pas/ne parlais pas de mes désirs, mes rêves).
Toi tu avais les temps ¿, prenais le tien prenait le mien, et tu avais tes heures, tes minutes. La vie de mes instants cela sûrement ne comptait pas, un peu plus de blancs sur mes tempes existait peu.
Moi je n’avais le temps de rien (moindres petites choses) ni du tout (suis-je ici à faire ce que j’ai à faire dans ce pays ¿)
Dans ta langue je te disais avec toi c’est tout ou rien, à ce moment-là tu riais et tu souriais (les deux en même temps la belle congruence). Tout et rien ceux sont les PRESQUE premiers mots que j’ai appris dans ta langue, un peu sûrement comme non avant oui – on dit volontiers de l’enfant -.

Tu étais le dehors qu’il fait, le dedans qu’il ne fait alors pas. Un rien/tout de/en toi m’invitaient à, me demandaient de m’insérer, me glisser par la porte ouverte/fermée battante, exigeaient de me circonscrire. Dans les courants d’air j’entrais ressortais épuisée. Sans possibilité d’élaboration d’un semblant de narration, un quelconque continuum. J’ai maigri ces derniers temps je disais, ce n’est pas un problème tu répondais.
Tu faisais l’atmosphère : l’éphémère dans son épaisseur à ne jamais faire que se répéter. Tu faisais la durée qui n’existe pas parce que quelque chose (qui n’est pas rien, qui n’est pas tout) ne peut durer, n’a jamais duré et ne durera dans ta vie, sûrement.

Ce que je faisais le long durant ¿ Sorte de femme hors d’elle et de tout et d’un quelque chose : dans l’attente de l’espace d’un moment dans tes bras où/quand toi moi on s’embrasserait (toute la journée), d’un moment de chaleur, l’attente de l’espace de ton corps où/quand après le soleil revient comme toujours et je ne résiste pas à la chaleur. Toi, le soleil, je ne faisais que tout mélanger, m’emmêler d’un rien au cœur de l’incertain maintenu. Je ne sais pas toi mais moi je n’ai PRESQUE rien vu passer : combien/comment a duré l’épreuve de cette temporalité sans PRESQUE corporeite ni preuve ¿

Ce que je fais maintenant sur cette île ¿ à part/ hormis en dehors/en dedans passer mon temps à te faire apparaitre/disparaître ¿ Quelque chose se passe sûrement ici depuis qu’il est davantage (je comprends) question de lieux de grandes solitudes.

Un jour prochain il n’y aura plus rien à faire, tout restera à faire, défaire, refaire ¿ et cela m’étonnera de parler au futur.
Sûrement je dirai ce grand classique : que je n’ai pas toujours été la femme que je suis devenue qui ne désirait qu’être ponctuelle je crois je rêve j’imagine n’attendait que ça, et de nouveau ce sera la vie sera ailleurs. Et -comme je suis poétesse – écrirai : j’en garde l’espace un rien ridé, le cœur tout fissuré.
Un jour proche -j’y suis ¿- je dirai/écrirai que tout dans cet amour était frontières, que rien n’était compris, c’était que je ne résiste pas à un corps chaud, je veux dire par là vivant et que c’est PRESQUE tout. Ou quelque chose d’approchant.
Après : Le lieu de la rencontre aura sûrement été la fissure jusqu’à la béance que nous sans nous creusait en non advenu, et dans laquelle/lequel avions sûrement déjà chuté par ailleurs dans un autre temps. Ainsi mais tout de même ce temps-là à toi et (exclusif) moi comme ça : comme vite tu te faufilais insaisissable dans ces ruelles de la ville (de ton enfance), comme moi arrêtée dans ton blouson rouge, lieu pour un soleil un été.

Mais je dis encore c’est rien finalement d’une toute petite voix, tu vois je n’en suis pas encore tout à fait revenue. J’allais venir dans ton pays, je t’attendais à chaque fois avec impatience qu’un nous nous vienne, je ne disais pas, tout allait très vite.
Et je (me) répète :
1- ce sera ce qui en temps voulu, n’aura pas été dit, pas été désiré, été vécu, pas été, n’aura pas. Tu ne m’auras pas embrassée toute la journée, pas regardée nager ou mourir tout le temps, en temps voulu.
2- c’était que moi de tout temps je veux.

– Tu as bien fait de partir disait Rimbaud, tu as sûrement eu raison m’ont dit d’autres –

Maintenant je dis après après comme toi, sur cette île, je ferai bien mieux d’aller nager pas mourir. Après, une mangue entière, une salade de papaye à emporter, prononcer quelques mots en thaïlandais.

J33, Koh Phangan Haad Khom, 03/03/2020, – de mon téléphone je/j’y tiens –

Texte/Illustrations : Corinne Le Lepvrier

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Je devais m’y attendre ou quelque chose d’approchant – PARTIE #42 et #43

02 lundi Nov 2020

Posted by ykouton in Corinne Le Lepvrier

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PARTIE #42 – fois –

– écriture – matière-manière – première pas si brute que cela ¿ –

Fin du soleil, d’une autre journée PRESQUE a passé. Je les aligne elles aussi ces derniers temps comme ce qui ne sera plus à faire, à vivre, à faire vivre dans ce pays. Fin du soleil c’est dire heure des moustiques, du répulsif à étaler là et seulement là où la peau s’expose. Prolonger avec une des cigarettes (à la one again que je ne fumerai pas avec toi cela va sans dire.) Relaver mes dents, ma langue, très fort comme possiblement en débarrasser un corps. Sans dire attendre. Reprendre une douche, aloe vera et huile de coco en alternance largement sur toutes les parties sans exception y compris les cheveux. Tout bien comme il faut. Attendre un peu. Une lassitude PRESQUE d’ailleurs d’appliquer cette discipline dans la durée à la longue. Laisser reposer davantage, me détendre, allonger je m’étends. Soudainement me prendre comme un désir qui monte, ce qui est encore à faire, à vivre, faire vivre : moi. J’ai réparti mes cheveux tout autour de mon visage, fais des essais de cadrage, juste le visage et tous les cheveux allongés c’est l’idée d’un selfie. Je souris, à qui ¿ j’essaie, me trouve belle. (Toi me voyais-tu (toute la journée) comme cela penché sur moi, vue du dessus, vu que tu disais ma belle je te croyais. Hé dites, je leur ai dit sans dire à lui mon visage d’aujourd’hui et lui toi, vous voulez me souvenir oublier, plus loin que/au-delà de mes cheveux c’est possible venez que je ne t’attende plus/rien).

Puis comme peine il y a, un peu d’essence de fleurs d’immortelles sur mon cœur et les poignets. Une goutte de géranium rosat sous chaque aisselle (si jamais tu me venais encore à pleurer ta nuit venue ou la mienne). On dit bien un jour toujours, que selon la loi dite de l’intrication – je crois -, deux dussent-ils être cellules qui se sont            , et bien séparés et dans la distance ils se savent/se sentent l’un l’autre à jamais, (est-ce vrai lorsque j’ai mal tu as mal j’ai mal ¿) S’il en est ainsi, ne pas attendre encore prendre une cigarette, me concentrer sur mes fragments tels qu’ils ne sont pas encore écris, reprendre une cigarette. Je ne peux imaginer une journée être en retard à cet endroit-là, d’autant de mon fait.

Je me souviens une autre journée j’étais arrivée plusieurs jours en avance, je veux dire il semblerait ma naissance. Etait-ce ma mère ou d’un commun accord ¿ Mystère que ce genre de choses entre deux que l’on ne se raconte pas en général ni en particulier, il faudra abandonner l’idée de le savoir cela celui qui des deux commencent à finir. (C’était toi là ou moi ¿). Si je les aligne il manque normalement vingt et une journées de création à ma création. Est-ce dire : où est parti ce temps-là, où est-il maintenant, inscrit nulle part ni rien et je fais quoi ¿ (Suis-je arrivée trop tôt dans ta vie ou était-ce toi un retard ou bien tout l’univers s’en fout ¿ Allez yalla une cigarette la dernière, bien sûr que de toute évidence je te fume encore beaucoup trop), ma mère aussi fumait beaucoup trop et (saffe) PRESQUE parler de ma mère.

Oui vraiment (bessah) fin du soleil c’est maintenant l’heure de taire les pensées sans attendre, les oiseaux ont déjà commencé alors prendre les choses en cours – de route -, saisir l’ensemble. – En vérité en secret – je ne désir-e- qui monte qu’une ponctualité : être d’accord/raccord avec le temps. Que cela. D’où les oiseaux. Comme une autre journée.

Mais je dis tout ça je dis rien ces derniers temps, je fais bien comme tout le monde.

J30, Ko Phangan Ban Chaloklum, 30/02/2020, – de mon téléphone on ne dirait pas mais par souci de légèreté –

PARTIE #43 – fois –

– écriture première, pas si brute que cela, plutôt douce ¿ –

La lumière était belle. De celle qui décline, celle des portraits des bords de mer. Nuages prononcés gris. Un couple, un homme et une femme, s’est levé en direction de la mer. La mer très calme très plate. Ils ont marché de dos l’un à côté de l’autre un long temps loin. Parce que la marée sur cette longue plage invite à une longueur. Je les ai regardés tout du long. Plus petits là-bas, ils se sont donnés la main, attendaient il me semble pour nager comme un dernier moment. Le moment où je ne les vois presque plus. – Je sais/suis bien sûr le point de vue qui crée l’objet -. On voit mieux les gens lorsqu’ils marchent, c’est notamment lorsqu’ils marchent que l’on comprend PRESQUE tout. (Toi tu marchais vite d’un pas alerte, la lumière était belle, tu étais celui qui marche vite, alerte dans tes rues, dans un blouson rouge, moi je me suis arrêtée dans ton blouson rouge, la lumière était belle, je me suis arrêtée de marcher, me suis mise à écrire de plus belle à n’en plus rien comprendre). Je les ai revus, ils nageaient côtes à côtes -il faut être conscient, se souvenir ou imaginer que les côtes sont aussi des os- et maintenant le crépuscule avait noirci toute la texture du ciel et les lumières des soirées des bords de mer s’étaient allumées -sont les mêmes partout-. Cherchant je les trouve, puis suis des yeux, ils vont nécessairement revenir marcher de face cette fois. Parfois je ne vois qu’elle la femme, parfois plus que lui l’homme, je crois que je souris lorsqu’ils me sont apparus tous deux de nouveau couple. Je vais attendre qu’ils sortent de l’eau. Je voudrais voir/vérifier comment ils marchent hors de l’eau lorsqu’ils reviennent de l’eau ensemble et chacun. Assister à cela comme à un coucher de soleil – on est là pour ça, kob khun ka merci -. Je n’ai pas vu, je n’étais peut-être pas tout à fait attentive, plus tout à fait là dans le noir – si vite arrivé, et pas le temps de se retourner -. Je n’ai fait qu’entre apercevoir leurs voix. De celles qui commencent une histoire, commencent à en parler dans l’ignorance et l’appétence de ce qui s’en suit.

J31, Koh Phangan Ban Chaloaklam, 01/03/2020, – de mon téléphone par souci de légèreté –

Textes/Illustrations : Corinne Le Lepvrier

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Je devais m’y attendre ou quelque chose d’approchant – PARTIE #40 et #41

28 lundi Sep 2020

Posted by ykouton in Corinne Le Lepvrier

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PARTIE # 40 – fois –

– d’approchant ¿ –

Snorkelling :

1 Alignements de couleurs, additions de poissons, ces rochers de quels couleurs, cela fait PRESQUE peur. D’ailleurs couleur est-ce le mot ¿

On survole, on ne sait pas sous quelle planète en dedans/en dehors de quelque chose de très petit ou de très grand, alors quant à un soi-même ¿ Ça avance au gré des mouvements de l’eau dans l’eau de l’eau. Est-on à l’intérieur de quelque chose qui serait à l’intérieur d’un corps à nous, alors nager est-ce le mot ¿ On ne sait rien, si ce n’est d’un savoir qui respirerait, soufflerait, animerait ou/où il ne s’agit pas/en rien/plus de savoir mais d’autre chose et ce n’est pas une chose. Ça avance au gré des mouvements de l’eau dans l’eau de l’eau. Mes cheveux qui repassent revenant dans/sur mon visage sont aussi -si je veux- à mes yeux des poissons – si je veux rimer -. (oui on est bien d’accord je sais, cet amour-là c’est que d’emblée je te voulais).

2 Au fond parfois c’est une tempête de sable (dans le fond c’était la tempête de sable), pas d’âmes qui vivent c’est ce que l’on croit (pas d’âmes qui vivaient), on ne peut pas alors on ne se parle pas (on ne pouvait pas alors on ne se parlait pas), juste la tempête et le sable qui forment (formaient) à eux deux des petites dunes ou des montagnes, tu n’entends (n’entendais) pas le bruit de ta (ma) respiration, le son de ton (mon) cœur qui bat (battait) pourtant, juste un grand petit silence. Silence est-ce le mot ¿ On ne sait pas (je ne savais pas) au plus profond aussi profondément que la peau.

(Ca n’avançait pas au gré des mouvements, je ne sais rien à côté de toi tu me disais, je te savais menteur on est bien d’accord, la couleur des impossibilités on ne peut pas la dire, celle de la peur non plus)

3 Nos yeux woah lorsque de l’eau, que d’eau ¡ d’abord avant tout, toutes choses de l’eau et ensuite aussi,

et qu’ils ont regardé tant de poissons. Poissons est un échantillon des possibles, ce que la vie est capable de – nous- faire , d’inventer chacun. Parfois je les compte, – cela n’est pas mental je crois -, cela se passe se repasse, m’arrive comme avec les oiseaux – je ne rêve n’imagine pas souvent le mot toujours -. Tous autant qu’ils sont exactement chacun sans se gêner avec cette possibilité d’exister avec l’autre chacun avec lenteur. Sans se noyer – qui que ce soit- .

Un peu comme la graine peut-être suite à l’eau sait qu’elle est porteuse d’un arbre et d’oiseaux, deviendra arbre, porte un savoir de cette nature-là, ou quelque chose d’approchant. Ou alors demain.

Woah ce que l’eau est capable de faire au temps.

J27, Koh Samui Ban Lamai, 27/02/2020, de mes petites lunettes de piscine faite à ma vue, sans tuba no need, je tiens bien sans respirer régulièrement je remonte à la surface –

PARTIE #41 – fois –

– suite à toutes sortes d’alignements d’effondrements ¿ –

Quelque part – on peut toujours le dire – : on voudrait revenir en arrière, que l’humain s’en retourne être humain. Rétrogrades, déjà été, archaïques, has been, why not ¿ Redevenir des espèces d’hommes et de femmes vivants vivantes revivant dans des huttes à même le sol, des grottes à fleur de roches, dans les arbres dont nous venons. Ré-apprendre sédentaires ou nomades où une vie sur la terre de la vie fertile où des ruches refuges pour les abeilles mellifères, la restauration de toute sorte de nature de diverses matières manières biens communs. La sagesse ancestrale des peuples sauvages nous reviendrait, nous réparerions le vivant, tous les vivants. On serait de nouveau des/les tous premiers à tout commencer, on dira -d’une écriture première- que l’on fera autrement cette fois.

(Bien sûr je voudrais revivre l’origine, ce premier jour où/quand nous nous sommes trouvés croisés. Rétrograder ce premier jour où quand nous nous sommes trouvés croisés revivre une origine. Quand soudain nos yeux jeter sa cigarette se lever du trottoir sourires je vais pas te draguer nos mains d’accord I’m willing and able c’est l’amour à la plage et j’ai le cœur tout retourné I wonna love you sourires maintenant on partage tout no woman no cry).

L’amont des premiers jours y boire encore y verser. Remonter jusqu’où les premiers courants ¿ (le cri embouchant les vents de Sidi Kaouki, pourquoi ? Ces baisers qui précédaient nos lèvres). Retrouver la source et la montagne, la sensation de la source, la sensation de la montagne. Des premiers jours, leur destinée. (Tout comme revoir encore tes yeux qui souriaient dans mes yeux. Pour quoi ¿ Ces baisers qui prolongeaient nos lèvres.)

Et au delà au deçà encore remonter aux minutes qui ont précédé quand soudain, juste avant l’origine l’explosion, pour comprendre comment un tel commencement a pu se passer, (cette chose qui m’est arrivée), et qui quoi de l’espace a généré de la vie à partir du chaos. (À cette fin j’étais revenue vers toi sept fois en tout et pour tout, toute une éternité (j’avais compté).)

Bien sûr le premier homme et la première femme on voudrait sauf que l’on n’a pas été, que l’on ne sera pas les premiers ni les derniers à désirer être les provenances. (L’amour existait déjà). A désirer être les destinations. (Oui mon amour).

Sauf que cela ne sert à rien de retourner d’où l’on vient, sur les lieux des souvenirs, on ne les reconnaît pas à rétrograder, revenir sur ce qui fut n’est plus – c’est bien connu -. On ne s’y retrouve pas à faire exister encore n’est pas nouveau. Sauf que cela ne sert à rien d’imaginer visiter demain, ses maisons, pas même en rêves.

(On est comme deux enfants, PRESQUE tout de suite tu avais dit après I wonna love you sourires maintenant on partage tout no woman no cry, et puis une autre fois dans une foulée rapide tout de go tu avais continué comme ça on va mourir tous les deux toi comme moi).

Si ça se trouve tout s’arrêtera avant, même le passé.

Quelque part – ici je peux le dire – : voudrait-on (voulait-on toi, moi) et le reste de l’humain redevenir ¿

J28, Ko Samui Ban Lamai, 28/02/2020, – de mon téléphone par commodité –

Texte/Illustrations : Corinne Le Lepvrier

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