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Cent et mille oiseaux avec le froid descendent sur ma cour déserte
Se donnant rendez-vous pour un soir sur les branches des pruniers
Piaillant jacassant assourdissant mes pauvres oreilles
Soudain ils disparaissent -silence- et plus un seul bruit
Tao Yuan Ming (365 – 428)
N’y aurait-il que les oiseaux pour se déplacer sans frontières ? Le monde des hommes est abject.
Traduction : L’apatride