ADIEU VIEILLE EUROPE, QUE LE DIABLE T’EMPORTE !

Tout ce qui appartient au monde d’ici-bas passe.
Tristesses et joies, pas la peine de s’y attarder.

Imbécile heureux – mon âme de samouraï – à me considérer comme déjà mort.

Sous palmier de jugement dernier, mon chat se met à miauler

Quis ut Deus?

PAS BESOIN D’ALLER EN PENNSYLVANIE POUR VIVRE COMME UN AMISH

A faire mûrir la mort et l’amour. Rien d’autre que ça.

J’abandonne en confiance mon avenir.

Présent, fidèle – L’Eternel lui ne change pas.

Écrit par Cyril Pansal