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Archives de Tag: Secrets de maisons

Secrets de maisons 2 : le cahier de raison

23 dimanche Oct 2016

Posted by lecuratordecontes in Marlen Sauvage

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Secrets de maisons

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En surplomb d’abord, des toits. Et le soleil de fin d’après-midi jetant l’ombre des branches sur les lauzes grises. Elle était là, nichée en contrebas, dans la clairière d’une châtaigneraie. Tout de suite, tu t’étais projetée l’été dans cette herbe verte, à l’écoute du chant de la nature. Il avait suffi de contourner le hameau et de descendre vers cet écart, à pied bien sûr, sans croiser quiconque. Quelques maisons en bord de route, inhabitées, abandonnées, un mur de pierre enflé comme un ventre trop plein, des hangars aux planches pourries, aux lessiveuses remplies de terre où pointait encore un moignon d’arbuste, aux vieilles bassines en tôle émaillée trouées de rouille… A l’entrée du chemin sans issue qui mène à la maison, la voûte de châtaigniers de part et d’autre te protégeait des pensées noires, des obstacles, des malédictions, des remarques jalouses, et tu avançais étrangement poussée par une bienveillance extérieure, saluant sur la droite le vieil arbre aux gargouilles inscrites dans le tronc, puis quittant le chemin pour affronter la façade de la maison à découvert, à travers champ.

Tout de suite, tu sus que c’était ici. Au bouillonnement dans tes veines, ton ventre, ton cerveau, suivi de cette liquéfaction debout.

Décès, divorce, déménagement. Tu entendais la voix de l’agent immobilier égrenant les trois situations qui président à la vente. Tu n’avais rien demandé pour celle-ci.

La maison vous accueillait de toute sa vigne vierge, rouge déjà et de son lierre grimpant aux fenêtres de l’étage, assaillant même le toit et la cheminée haute de pierre, bizarrement surmontée d’un caillou rond et blanc. Dans le ciel bleu de mai, tu ne voyais qu’elle à droite, et tout de suite à gauche, la majesté simple du pigeonnier.

Derrière le crépi gris de la façade au sud, tu devinais les pierres ; vingt pas plus loin du découvris tout l’angle qui s’ouvrait à la vue, avec une aile à l’est et des portes, des fenêtres encore aux contours de fraidonite noire. Stupéfaite, tu restais immobile devant la vision de cette maison rêvée depuis l’enfance. A l’arrière, les bouleaux blancs, les forsythias, les althéas occupaient le talus dans lequel une partie de la maison s’enfonçait. Les rosiers rouges et jaunes en fleurs, l’eucalyptus géant dans cette nature uniforme de châtaigniers, le laurier sauce collé au pignon sud, tout invitait à se taire, à goûter le plaisir de la révélation.

Aucune présence ici pensais-tu. Et puis, le dos bronzé d’un homme dans le jardin potager en contrebas… Ce torse nu devant des pieds de tomates et d’autres plants. Tu te souvins alors du nom de cette vallée : la vallée verte. L’homme délaissa son occupation et vous ouvrit la porte. Tu te dédoublas instantanément, plongeant dans un espace-temps inconnu mais que tu devinais futur, pour te retrouver dans cette immense pièce à la cheminée imposante, tenant un atelier d’écriture pour un groupe d’hommes et de femmes penchés sur des cahiers ou des carnets, dans une musique que tu n’identifias pas. Tu étais attendue.

Bien des mois plus tard, installée dans cette vallée, tu croisas la route d’un homme qui avait travaillé dans cette maison. Quarante ans auparavant, affirmait-il, il avait scellé des pierres dans les murs, enduit les intérieurs, carrelé les sols, réparé la toiture… Tu l’invitas à boire un verre, il te raconta l’histoire de la vallée, et ce qu’il savait de la maison, de ses différents propriétaires, des vacanciers surtout, qui n’avaient eu comme priorité que celle de construire une piscine aujourd’hui enfouie dans la terre. Il te parla de la treille de clinton encore sur pied au coin de la maison, de cette piquette que chacun fabriquait chez soi et partageait avec les voisins, de l’isabelle, ce cépage interdit, parce qu’il rendait fou soi-disant… Verre après verre, le flot de paroles se tarissait, le regard de l’homme se perdait dans le passé, ce n’est pas qu’il se refusait à parler, c’était comme s’il recherchait un souvenir, ou comme s’il hésitait à le révéler. Tu l’encourageas et tu appris encore que la maison ne servait plus que d’abri aux bêtes au début du siècle, qu’une grange ici se remplissait de foin à chaque été, qu’une magnanerie avait été installée sous les combles, qu’en témoignaient encore les petites cheminées aux angles des pièces « là-haut » et les mûriers aux troncs noueux disséminés dans la parcelle, que de l’abri à bois derrière la maison, on pouvait entendre le vent souffler tout autour dans la vallée sans jamais en souffrir comme si la clairière où elle était bâtie la protégeait de tout. « Oui, j’étais bien ici. » ponctua-t-il. Et tu compris qu’il y avait vécu. « Je reviendrai vous voir, ajouta-t-il, et je vous remettrai le cahier de raison que j’ai trouvé ici dès les premiers jours quand j’y travaillais. Je ne parviens pas à tout déchiffrer, mais il parle d’un secret enfoui dans les murs. Je n’ai jamais rien trouvé. » Tu te gardais de lui dire la petite urne en terre jaune retrouvée dans l’encadrement d’une fenêtre que vous veniez d’agrandir. Pourquoi ? Il ajouta que la dernière héritière des lieux était enterrée derrière la maison, sous l’if à la cime brisée, face à la vallée. Dès le départ de l’homme, tu fis le tour de la bâtisse, te glissas sous les branches basses du conifère et au milieu des orties, tu découvris la petite pierre plantée, sans aucune autre trace, qui marquait une tombe protestante. Un flot de tendresse t’envahit. Tu te promis de semer des fleurs et de tailler le rosier pleureur pour honorer la dame. Bien plus tard, les paroles de l’homme te revinrent (il avait tenu promesse et laissé un jour le cahier à l’écriture tarabiscotée dans la boîte à lettres), sans plus réfléchir tu attrapas l’urne jaune, la secoua, elle te parut lourde soudain, ce qu’elle contenait tu n’en avais aucune idée, aussi tu la brisas. Une poussière se répandit et une souffrance immense te submergea.

Le temps passa et plus rien ne fut jamais pareil.

Aujourd’hui alors que tu refermes la porte de cette maison pour la quitter à tout jamais, tu connais le mystère du cahier de raison, le mystère de l’urne. Divorce, décès, déménagement. On t’avait prévenue mais tu n’avais pas pu résister au désir de savoir.

 

 

Texte et photo : Marlen Sauvage

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Secrets de maisons 1 : l’homme-pays

09 dimanche Oct 2016

Posted by lecuratordecontes in Marlen Sauvage

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Secrets de maisons

cosaques1-matieremorte-sauvage-2

J’avais trouvé la clé de la porte d’entrée sous la brique dans la boîte à lettres, à gauche du portail de bois blanc ; personne ne m’attendait, je revenais, c’est tout ; comme à ma première visite, les graviers crissaient sous mes pas, mais alors que je n’y avais pas vraiment prêté attention, j’entendais leur grincement parce que je n’étais plus dans l’attente d’une rencontre, que l’idée de la rencontre occultait tout alors, et je l’avais perçu comme un son banal dont on sait qu’il prendra toute sa signification plus tard. Dans le crissement des graviers sous mes pas, l’écho d’un cimetière. Je revenais pour quelques jours, j’ignorais combien de temps encore. Je déposai ma valise dans le corridor, sur le marbre blanc du sol qui habillait la surface de la maison. Tout était en ordre, aucune odeur suspecte n’affectait les narines, le seul parfum qui pénétra le salon et la salle à manger fut celui du jasmin en fleurs quand j’ouvris à l’arrière les persiennes blanches ciselées comme un moucharabieh qui donnaient sur le jardin vers le champ de fouilles, et à l’avant, les volets bleus d’où l’on aperçoit sans être vu le mendiant qui réclame une obole en secouant le portail. Je fis en vitesse le tour des pièces ; le salon où nous discutions chaque soir avec Madame A. était inchangé, l’imposante armoire toujours omniprésente dans un aussi petit endroit, et sur le guéridon en bois peint était resté posé Le rivage des Syrtes. Personne donc ne l’avait rangé, il avait passé de longs mois ici, marqué à la page où j’avais cessé de le lire quand la nouvelle était tombée. Je l’ouvris et retrouvai avec nostalgie la minuscule écriture de Madame A. qui, au crayon de bois, avait annoté dans les marges, les coups ordonnés de stabilo bleu, vert, jaune qui avaient gâché ma lecture, et certains passages soulignés… Les Syrtes… Le golfe de Gabès… Je courus presque jusqu’à la chambre de Madame A. le long du couloir étroit plongé dans le noir que j’oubliais d’éclairer, tâtonnant sur ma gauche à la recherche de la poignée de porte, pour enfin, à la lumière de la lampe de chevet, regarder, je devrais dire, examiner, scruter, le visage et le torse de cet homme en noir et blanc, photographié dans les années deux mille, et placardé ici depuis sa mort, sur un support de bois pendu au-dessus du lit. Toujours quand je frappais à cette porte, j’avais entraperçu cette photo, jamais Madame A. ne m’avait invitée à pénétrer ce lieu d’intimité conjugale. Tout de suite je lus dans les yeux de l’homme autre chose que le discours convenu de Madame A., teinté d’hésitations quand mes questions se faisaient trop pressantes, et qu’elle écartait avec agacement d’un geste de la main. Ainsi c’était lui, le mari, l’homme-pays…

Le regard infiniment lointain, empreint d’une grande tristesse, presque tragique, me ramenait à ma première visite dans cette maison. De l’extérieur, elle n’avait rien d’extraordinaire. Vue de la rue bordée d’eucalyptus, c’était un cube blanc relativement bas, percé de fenêtres et de portes, avec à l’étage une terrasse surplombant une autre terrasse en rez-de-chaussée. Monsieur A. n’avait pas le goût du luxe. Ni le jardin mesquin devant la rue, au citronnier desséché, aux plantes perdues dans une terre rouge, ni les lauriers roses et blancs si communs ici, ni les hibiscus ou les bougainvillées n’attiraient l’œil. Mais à l’intérieur de la villa, je fus subjuguée (la perspective de la rencontre, peut-être) avant que plus tard – je n’aurais su dire exactement quand – ne se fracture l’atmosphère tout entière, insidieusement.

Tout de suite en entrant l’escalier blanc me happa : tournant légèrement sur la gauche, se perdant vers un haut plafond égayé par une suspension de verre multicolore qu’éclairait à cette heure de midi le soleil trouant la petite fenêtre du palier par où, si souvent, j’allais accompagner le départ de l’homme aimé. L’escalier qui se rengorgeait et devenait massif quand Madame A. à la silhouette menue m’accueillit devant lui. Je sympathisais tout de suite avec cette vieille dame élégante, courtoise, aux yeux clairs cachés derrière d’épaisses lunettes… Avec elle, je m’extasiais devant les tableaux et les bibelots précieux, le kilim aux tons chauds suspendu au mur du couloir, les poteries romaines rassemblées sur les étagères, les amphores debout dans un coin de jardin… Tout alors faisait écho à mes sentiments. Quand je revins seule ce jour de novembre, je caressai la laine de mouton élimée, j’imaginai la main fière et heureuse qui avait choisi le tapis, j’entendais deux voix joyeuses s’exclamer devant la cafetière berbère en métal ouvragé, les arguments de l’un en faveur de la marine et de l’autre pour l’intérieur traditionnel et leurs jeunes rires conjugués à l’achat des deux peintures et c’est alors que l’évidence me submergea : « cela » était mort. Les poteries romaines, les tableaux, la maie en chêne aux pieds tournés, les calligraphies à l’encre rouge et noire, les milliers de livres répartis dans chacune des pièces de la maison, tout racontait une vie conforme au discours de Madame A. mais rien ne vibrait plus. La matière était morte. Creuse. Vide. Le souvenir de la volubilité de Madame A. m’indisposait. Tout venait contredire le sourire des yeux qu’elle arborait souvent derrière ses verres de myope (ou est-ce que ma mémoire travestissait ce regard ?). Aucune aura de bonheur n’entourait plus ces objets sous mes doigts. Ils ne se laissaient plus aimer. Dans la solitude de cette dernière visite, car je savais désormais que c’était la dernière, je les trouvais laids, objets de musée désinvestis de leur pouvoir séducteur. Sous le souvenir de leur beauté se terrait le regard blessé de l’homme-pays. Je débusquais à contrecœur et à contretemps le mensonge d’une vie dans la bouche pincée de Madame A. quand elle se détournait, dans le malaise qu’elle suscitait. De son discours bavard sur son arrivée dans le pays cinquante ans auparavant, de ses illusions de jeune professeur, de sa rencontre avec son mari… De toutes ses confidences, finalement, rien n’avait filtré de ce qu’elle aurait voulu vraiment me dire, je l’aurais juré.

 

Texte et photo : Marlen Sauvage, nouvelle Cosaque

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