La mort du tu
Tu as jusqu’à aujourd’hui écrit en mon nom, t’appropriant l’épuisante banalité de mon quotidien, son angoisse de chaque heure, empruntant …
Tu as jusqu’à aujourd’hui écrit en mon nom, t’appropriant l’épuisante banalité de mon quotidien, son angoisse de chaque heure, empruntant …
promenade sur le fleuve mort. Je marche sur l’eau enterrée-vivante. L’avenue était un canal, il y a des siècles. Il y …
Je vis de siestes et d’insomnies. Le jour n’a ni commencement ni fin. Mon sommeil furtif n’est qu’interruption. À mon …
assis sur une chaise le regard vide à donner le vertige étranger à moi-même je ravis une heure aux secondes qui …
le phare transperce la nuit. M. roule avec prudence. De peur qu’un homme surgisse du néant sur la route. Il …