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Les Cosaques des Frontières

~ refuge pour les dépaysés

Les Cosaques des Frontières

Archives de Catégorie: Laëtitia Testard

Poèmes

26 mercredi Fév 2020

Posted by ykouton in Laëtitia Testard

≈ 2 Commentaires

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Les volets bleus

 

 J’irai à Murissons sous un soleil empiété.

Je reviendrai chez moi

là où les vieilles pierres sont polies

les maisons rodées par les pluies

et les lanternes cassées depuis plusieurs étés.

 

J’entendrai en mon âme fantôme

la mélodie d’un music-groom

aux côtés d’un vibraphone

où crépitent des éclats de rire

sous les jetées.

 

J’entrerai par la grande porte sans me cacher des fenêtres.

Derrière le long couloir il y aura un jardin extraordinaire

où tout chante et ne vit qu’un jour.

 

Je m’allongerai

paisible,

insensible

sous les voix du grenier en rut.

 

Mes jambes dans l’herbe folle

je caresserai de mes yeux usés les volets bleus.

Je panserai de là les blessures des carreaux.

Je ne bougerai pas parce qu’il n’y aura rien à faire.

Je contemplerai le sang des violences passées séchées sur les poignées des portes injuriées.

Et, dans le torrent des larmes jaillit du jardin magnifique, je me baignerai dans le défi d’un ciel

jusqu’alors inconnu.

IMG-0758

 

La reine des abats

 

 Un traître messieurs-dames peut-il émouvoir la tendresse ?

A ma droite, un fils coupable porte la soupe. Funeste poison.

A ma gauche : la vieille reine savoure les abats qui troublent sa raison,

goûte du bout des lèvres le plus beau sang de la Grèce.

 

Sonne l’heure de l’aveu. Dans les larmes. Dans les feux.

Auguste passe le temps, dit les courses, des détails ne négligeant rien,

pendant que dans les flancs de la vieille reine, l’assaille un mal de chien.

Auguste fils voit venir la mort lente ployer sous le joug de sa démence.

 

Dans un soupir l’Innocente murmure : “Il ose me trahir”.

Quand l’oeil farouche picore encore les merveilles du repas,

Auguste fils rejoue pour son plaisir la mise en scène du trépas.

 

Près du corps froid, Auguste fils, Auguste maître,

place sous les lèvres royales une pièce de choix.

Dans les prisons d’Epire, Auguste tourne en ses lambeaux.

IMG-0749

 

Questions à choix métrique

 

 Tu voudrais-tu que je t’écrive ?

Tu voudrais-tu que je te lise ?

 

Tu voudrais donc que tu m’épuises

quand je voudrais que tu séduises ?

 

Tu voudrais-tu que je t’écrive un pavé sur le sable ?

Tu voudrais-tu que je te lise un poème d’un air grave ?

Tu voudrais-tu que je t’écrive ?

Que tu voudrais-tu que je te dise ?

 

Tu voudrais-tu que je te narre

comment deux adolescents

mains rouillées et chemise blanche

se sont retrouvés noyés au fond d’un volcan ?

 

Non.

 

Je te voudrais

agile comme un dard.

Je voudrais que tu me dises

de ces saveurs exquises

dont me pique le nectar.

 

Textes/Illustrations : Laëtitia Testard

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Poèmes

28 mardi Jan 2020

Posted by ykouton in Laëtitia Testard

≈ 1 Commentaire

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La soif

 

Ce qu’elle a accoudée auprès de la tasse de lait thé

quand le vent l’élégant sans qu’elle bouge l’acoquine.

L’étole encore rouge du brasier

a abreuvé des contrées de failles insignes

enserre sa taille.

 

On devine au passage

un tremblement qu’elle peine à cacher.

Ses mains courent en aveugle autour de son cou blanc.

 

C’est la gueule d’un lion qu’un serpent arpente.

C’est la soif. La misère. Une dernière. Une descente.

Tout son corps vaque et vogue, ses lèvres tanguent et râpent.

« Par pitié, rien qu’une goutte dans ma bouche ! »

Cette soif, elle la boirait jusqu’à la lie.

 

 

Des hic et des ex

 

Oh ! Vous étiez sur le boulevard d’un si chic

en comédien de troisième classe vêtu de latex.

Mon coeur a tremblé, vous tendait son cache-sexe.

Mourir un peu pour vous eut été volcanique.

 

Dans le reflet se mouvait votre admirable parastique.

J’ai osé les cliques, les claques, perplexe,

frappé des mains, pleuré un peu, reflex.

Et vous dansiez les pieds liés sur un air de pataphysique.

 

Votre corps près du mien extatique m’a frôlée.

Vos mains souples et frayées au chemin drolatique

ont eu cet air charmant du dernier Deus Ex.

 

Puis, vous vous êtes effondré, en plein patatex,

ça coulait de partout, effondrement du complexe.

Mourir un peu pour vous eut été moins dramatique.

 

 

Pierrot six heures du matin

 

Pierrot lunaire sur la pointe des pieds passe son buste par la fenêtre

pose un doigt blanc au loin sur une terre ocre et chaude.

Sous ces yeux précoces et entre ses mains

s’étire un pistolet rose fluo

pour le côté sublime des choses.

 

Aux aguets, aux abris, aux abois

Pierrot attend.

 

Sur la corniche les pétales rouges bégonia s’esclaffent de ce spectacle :

“Il se pourrait qu’il piétine ! Pire qu’une pitié !”

Elles minaudent :

“Pierrot, Pierrot, Pierrot…”

Et le coeur de Pierrot fait des ballerines.

 

Et pendant qu’on le regarde, c’est sûr, quelque part un sourd dîne dans une caverne, dans une savate de chez Boccherini, dans la maison du diable, toute chair humaine pendue aux fenêtres et même au diapason. Quelque part encore des canapés se grisent, la moleskine trinque, une fois deux coups, des langues serpentent dans des failles de blessures divines, des verves s’entrechoquent sur chaque grande place à l’heure du mercato :

 » Alleluïa diaspora mia ! »

Imaginez la bringue, toute braguette ouverte, ici on paye content.

Mais Pierrot attend.

“Anne ma soeur Anne ne vois-tu rien venir ?”

 

Anne hausse ses épaules grasses et coche le fouet, tiens le rouet, se remet au travail, tout de même plus qu’une heure, c’est pas une vie d’être une femme. “Rien rien. Je ne vois que le lavis lavasse fada”

 

“Anne ma soeur Anne ?” supplie Pierrot

“Je ne vois que semis chemin faisant graines dorénavant”

“Et moi, et moi et moi ?” se lamente Pierrot. Sa bouille dévitalisée ronde et pâle s’incline.

“Ils arriveront bientôt Pierrot.

Pieds fourchus ils viendront.

Prendre une écuelle et un bouton

un effet de manche et une balayette

et faire sonner le tiroir caisse.

C’est un vaurien titubique qui me l’a dit

ce matin.”

Pierrot secoue la tête las

ses pieds rentrent sous terre

son corps se heurte à la pierre.

 

“On ne m’y reprendra plus à sortir un samedi à l’aube”

 

 

Chimères

 

Sous mes pieds de terre et de paille

le voyage de Schubert me grignotait l’oreille

et les ronces étaient mûres.

Les souvenirs en veille

il neigeait à plein ciel.

 

Je pensais au temps de l’amour.

Où se logeaient mes rêves

aux étendues d’interstices fantômes.

 

Dans l’espace à l’abandon

mon corps a frôlé le vide.

J’ai trouvé logis au bord du monde.

 

Un ciel sans étoiles

a enfourné mes rêves dans un sac à charbon.

L’hiver a disparu comme un trou de mémoire.

 

J’ai frotté mes mains dans l’espoir d’un éclair.

Un papillon bleu au coeur d’un volubilis a essaimé le temps

et les veilleurs de l’ombre ont entonné le chant des esclaves.

 

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Textes : Laëtitia Testard

Illustrations : Guillaume Le Baube

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Poèmes

13 lundi Jan 2020

Posted by ykouton in Laëtitia Testard

≈ 6 Commentaires

Vision

Il faudrait remonter en courant le cours des siècles
Et se jeter au feu de la Vérité le torse nu.
Ecrire dans le tourbillon du jour, s’encrer à l’intuition.

– L’inspiration est le mouvement
mais n’est pas encore la couleur –

 
Ouverture

Chaque matin les fenêtres s’ouvraient sur le vieux pont.
Chaque soir le sommeil profond faisait des ronds.
La lune s’éloignait en barque et je voyais minuit en rêve.
Le déluge passait, le sureau sifflait.
C’était le jour des rumeurs
la corde du pendu au loin sonnait les noces
des vieux sur un banc croyaient à la rose de septembre
à l’appel du néant sous les plis d’une jupe.
Il y avait là une chevelure longue comme un couloir
des yeux de chat jaune fuyant le désert sous les eaux.
Le brouillard d’une ombre, une toile de fond.
Dans les forêts, on refaisait le voyage en chemise.
Des filles coiffées de vigne bougeaient des lèvres
des reflets d’hésitation en blouse bleue posaient de profil
des doigts humides gerçaient sur une partition oubliée.
La chair devenait naphtaline dans le matin clair
la lune bleue caressait des genoux ivres.
L’instant était venu de dire adieu aux vieilles lueurs.

 

Il est possible de voir trouble dans un reflet

Derrière-moi s’éloignent les écorces colorées pour la nouvelle saison par une main en
transhumance amnésique volontaire. Sur mon épaule, un chat à la joue ouverte se cramponne. L’hiver sera rude. Il passera. Nous marchons.
Des cimes plongent en ondées argentées, brillantes comme des lames au soleil de midi.
Mon oeil s’égare en route. Au souvenir de la châtreuse de larmes rencontrée ce matin des cailloux
plein ses poches. Au creux de ses mains, tenaient encore des rêves de Dame.

Et les oiseaux pépient
et les hommes épient
et les questions s’envolent vers des latitudes incertaines à l’orée du « quoi ».

Prince Grenouille convoque de fraîches fleurs
des nonnes copistes et des femmes affables
quand en dedans les caprices nocturnes gèlent à fendre l’âme.

Chaque coquille avance à pas de fourmi sur la page toujours plus noire toujours plus
dense. Inquiétante étrangeté. Entschuldigung. Yes, Sire; No more Sire.
Et je les suis.

 

Banale étrangeté

Des drilles sur une treille
ça se croise par là-bas
Allez voir
Il y a juste une femme à ouvrir.

 

A la belle étoile

Je suis arrivée trop tôt à la belle étoile. Les arbres dormaient encore. Les vieilles maisons sortaient
du froid.
Un accordéoniste expirait sur un bas-côté, j’ai lâché une pièce à ses pieds, son air défunt jouait en
silence une invisible harmonie.
J’avais rencontré aux abords de la ville une chorale d’estropiés, tous riants hurlants prêts à bondir
sur les secrets des grands chemins. On peut les entendre encore galoper sur le plancher de nos
démences.

Il y avait eu des pré verts que j’avais foulé à rebours.
Des corbeaux qui avaient guetté les errants pour les cerner d’un oeil de vitre à en glacer les sangs.
J’avais quitté tous les phares de la ville.
J’avais quitté ce pays où les voitures vont et viennent tenues en laisse
où les chiennes couvent au fond des garages.
Les roues d’aciers passaient et repassaient. Je finissais par me perdre dans mes pensées. Je
n’entendais plus rien à ce qu’on enterrait. Sous un soleil de plomb dans l’aile je me suis tue pour
parler encore. J’allais j’allais vers le village.

Le seul visage découvert
portait des rêves de pierre
gardait ses pensées à double tour
la tête penchée sous une couronne d’épine.

Depuis que je marchais
depuis que j’avais quitté la ville
quand la nuit venait
je savais qu’il ne fallait pas dormir au risque de glisser trop bas ou de céder sa chair aux serres des
corneilles. Seulement tenir à soi ses feuilles blanches entre les arbres. Et dormir en haut, toujours
en haut.
De là, je me tenais aux aguets.
Il fallait voir ça. Cette vue d’ici.
Je pouvais voir tout entier le temps s’effriter sur les pores des rochers, dans le creux des
cascades, sur les regards creusant la vague dans un mur de marbre.

Et plus loin là-bas
c’était peut-être Zangra
ou Quichotte
ou l’indomptable jumeau
ou le dragon impétueux
ou la poussière seulement qui se soulevait.

Sur l’auteur 

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Née l’avant dernier jour de l’année 1977, l’hiver lui sera toujours propice à l’introspection et le printemps aux premiers jets sur papier de ses germinations. L’été, elle récolte les fruits des saisons passées pour organiser dans une écriture qui se refuse au genre des fresques narratives où la poésie s’impose dans le dénuement du langage et du sens caché du monde comme il va.

Enfant elle lit passionnément et s’essaie aux contes tout en tenant un journal. Journal qu’elle tient toujours. Adolescente, une succession de bouleversements fait écho à ses sensibilités déjà anciennes : elle découvre la poésie et les concerts. Jamais sans un livre, un crayon, un carnet et un casque, elle scrute et note tout ce qu’elle voit et entend. Bretonne, elle part aussi au bord de la mer le plus souvent qu’elle le peut, surtout si ces échappées lui permettent de faire l’école buissonnière. Les étés deviennent trop courts pour tout organiser, les automnes passent et les écrits se fourrent au fil des années dans des malles qu’elle trimbale dans les différentes villes où elle s’installe dans sa jeune vie d’adulte. Puis un enfant vient. L’écriture cependant ne cesse de se frayer des brèches dans son quotidien. Entre les cafés et les langes, entre les repas et les nuits blanches.

Elle est l’auteure d’une quinzaine  de nouvelles, une quantité de poèmes, une pièce de théâtre et un roman. Tous restés dans l’ombre ou à peu près.

 

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