N’avoir jamais vraiment
eu à subir
les taches de peine,
comme mon père,
qui a dû y mettre les deux mains,
celles qu’il avait leste
envers moi,
et qu’il laissait reposer,
sans doute,
parfois,
sur son cœur.
Texte : Fabien Sanchez
18 vendredi Oct 2024
Posted in Fabien Sanchez
N’avoir jamais vraiment
eu à subir
les taches de peine,
comme mon père,
qui a dû y mettre les deux mains,
celles qu’il avait leste
envers moi,
et qu’il laissait reposer,
sans doute,
parfois,
sur son cœur.
Texte : Fabien Sanchez