L’ombre est froide
mais à la lumière tu arraches
ce qu’il reste à grappiller de vie
-ce bain d’automne
Octobre
les nuances d’un soir sur l’eau
qui te renvoient à ta jeunesse malhabile
ses balbutiements de poète
-tu voudrais asseoir le passé près de toi
sur les pierres
Texte : Susanne Derève