Extrait :

Le vent léger sur le derme
l’accointance à son apogée
le corps se multiplie comme autant
d’images décalcomanies

le soleil éther et la joie de l’imprudence
la chaleur envahit les cristaux et les subtilités
traversant le jaune irradiant l’armure

l’eau se fait suave et bohème
elle court sur les nuages et disparaît
livrés à l’humide les soubresauts du manque

quand la force des orgues lumineuses
se courbe vertige à bon port
et la plage encore
est métamorphosée

Textes : Arnaud Rivière Kéraval