Des connexions ternies par le poison des liants
Entre choses et vies s’écoulent en riant.
Des connexions vernies par la masse du temps
Renforcent le sursis des êtres qu’on attend.
Dans l’attente attendrie du bout de la ballade
Le cœur dedans penderie a synthèse malade.
Perdus dans les soucis de vaines cavalcades
Nous noyons les souris dans de pleines aubades.
Certains des appétits construisent conclusions,
Des résultats petits en forme d’occlusions.
Se serine en refrain la dormante pression
De nos inconscients freins, soumis à expression.
Scène est souveraine : danse de survie,
La pause est sereine dans photo des envies.
La prise des rênes est chose qui dévie
Des axes pérennes qui sont clos et délient.
La clarté se repent en doses de soleil ;
Celui-ci se répand dessous les cœurs vermeils.
On chasse les serpents des démons mémoriels
Dedans le déversoir inter-catégories
Pleut la plus dérisoire de nos cosmogonies.
Le fin de l’Histoire se fond dans ses scories
Avec un désespoir qui n’est qu’allégorie.
Texte : Kieran Wall