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Les Cosaques des Frontières

Archives de Tag: Simon seul

Simon seul #3 – Le vide comme cathédrale

06 samedi Avr 2019

Posted by lecuratordecontes in Gwen Denieul

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Gen Denieul, Simon seul

« Les heures importantes sont les heures immobiles. Ces fractions du temps arrêtées, minutes quasi mortes sont ce que tu as de plus vrai, ce que tu es de plus vrai. »

Henri Michaux, Poteaux d’angle

Simon occupe son temps à ne rien faire. Il admire la puissance de sa passivité. Regarder passer la nuit. Jouer avec le vide, le vide comme cathédrale. Accumuler du silence jusqu’à épuiser le désir. Il est absolument vide d’idées et n’attend plus rien, ni de lui ni des autres. La pile de conserves au fond de la cuisine diminue très lentement ; il ne mange presque plus. Durant cette période étrange qui marque le triomphe de sa paresse, il découvre une curieuse euphorie au-delà de l’ennui. Il ne se passe rien, et c’est peut-être ça qui est merveilleux. Dans ces heures indistinctes, tout est au présent. C’est du temps à l’état pur qui s’écoule. La pression des jours s’en est allée. Le vide, j’apprends à l’accueillir avec bienveillance. Peu à peu, je découvre la puissance absolue de l’inaction. Elle m’apporte une liberté nouvelle. Le temps s’allonge, et la mort s’éloigne. Dans cette vie amaigrie, je reste indéfiniment dans l’expectative. J’aime imaginer que, derrière l’indécision perpétuelle, se profile l’infini. Le néant féconde des amorces de mondes parallèles qui, à peine éclos, disparaissent sans laisser de traces. Dans ma tête cohabitent tous les possibles, jusqu’à ce que finalement ils s’annulent. Les secondes, les minutes, les heures s’écoulent sans angoisse. Je ne cherche pas à les retenir. Pourquoi agir ? Être en vie suffit. Il s’agit simplement de caler son comportement à l’environnement actuel vidé de sens. La grande mascarade, j’y suis plongé depuis plus de trente ans, alors aujourd’hui je fais le choix de me retirer et de vivre à peine, de manger à peine, de respirer à peine. J’essaie de prendre le moins de place possible. Je laisse les choses être ce qu’elles sont. J’imagine l’appartement sans moi, pure présence des choses indifférentes à toute présence humaine. J’aimerais n’être plus qu’une caméra qui filme. Long plan fixe sur la pièce traversée par les lueurs de la ville. Puis changement de focale pour s’approcher très près des objets qui habitent l’espace du salon. Filmer les ombres, les reflets. Examiner les surfaces, les changements de couleurs, les textures. Le moindre objet est d’une merveilleuse et puissante étrangeté, à la fois si proche, si dense et si opaque. Comme le dit si bien Michaux, il faudrait crever la peau des choses. L’œil de la caméra passe du petit tabouret chinois au cendrier posé sur la table basse, puis au bâtonnet d’encens à moitié consumé, souvenir d’Indonésie. Je dis leur nom : tabouret, cendrier, bâtonnet d’encens, mais ça ne dit pas vraiment ce que je vois. Chacun de ces objets est insolite et reste à découvrir. Lorsqu’on se débarrasse un peu de soi, le plus familier, le plus ordinaire, devient une énigme. Je tente d’effacer les courbes et les lignes que mon cerveau trace par habitude pour retrouver l’espace et les formes par les différentes tonalités de couleur, comme dans un tableau de Cézanne. Regarder les choses simplement, telles qu’elles apparaissent, dans le proche comme dans le lointain, sans chercher à les imaginer autres, voilà sans doute le plus difficile. Peut-être devrais-je écrire ce qui m’arrive pour essayer de creuser le petit sillon, avancer encore plus loin dans l’expérience sensible. Je me sens si près d’une bascule définitive mais le voile placé entre moi et la présence réelle des choses résiste encore.

Qu’est-ce que voir ? Qu’est-ce que la profondeur ?  Qu’est-ce que le geste de mon bras quand il se sépare du corps et se tend comme ça, vers l’avant ? Il bouge légèrement comme s’il peignait l’espace vide, puis la main se dirige vers la table basse, prend la tasse de café encore tiède. Elle l’enveloppe entièrement pour en apprécier la forme et la consistance. Je ferme les yeux pour essayer de voir avec ma main.

Passe un jour. En passe deux, trois, cinq… ça fait maintenant presque deux semaines que je m’enfonce dans l’incertain. Je ne cherche plus à me débattre. Je glisse doucement vers un état que je ne connaissais pas. Est-ce la mort ? Ou bien une plus grande présence au monde ? A mesure que l’isolement se prolonge, le rien acquiert une densité surprenante. Ce souffle autour du rien, cette force tournante du vide, je commence à les ressentir très nettement depuis deux jours. Hier j’étais pierre, aujourd’hui je suis motte de terre. Une motte de terre fraîche et humide qui par chacun de ses grains sent le temps frémir et lentement se diffuser dans le minuscule coin d’ombre où j’ai trouvé refuge.

Texte et vidéo : Gwen Denieul

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Simon seul #2

23 samedi Fév 2019

Posted by lecuratordecontes in Gwen Denieul

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Gwen Deneuil, Simon seul


« La vie de l’athée est un effrayant éclair qui ne sert qu’à découvrir un abîme. » Chateaubriand

Fatigue. Fatigue et nausée continues quand plus aucun désir ne se pointe à l’horizon. Les draps sont moites. Dans ton lit, l’odeur poisseuse et douceâtre de la mort. Tes jours se déguisent en nuits. Tu dors par petits bouts dans tes vêtements du jour. À quoi bon quitter la chambre de toute façon ? Personne ne t’attend nulle part. Personne ne t’a jamais attendu. Tu fais durer artificiellement la torpeur comme on fait durer un vertige. Tu ne veux plus souffrir. Tu voudrais devenir chose pour ne plus souffrir. Ou que quelqu’un te frappe comme du plâtre pour te désanesthésier le corps. Tu jettes sur la chambre un regard inquiet. Chaque jour les murs de ta cellule semblent se rapprocher un peu plus. Si tu levais le bras, tu pourrais toucher le plafond. Les grands horizons d’autrefois ont sombré dans l’air vicié de la pièce. Regarde autour de toi le gâchis aux mains immenses. Tes défaites successives s’entassent à chaque coin de l’appartement. Tu t’es entouré de choses fatiguées qui, un jour pourtant, t’avaient paru désirables. Et maintenant, tous ces objets accumulés au fil des ans t’angoissent terriblement. Leur surabondance révèle ton désœuvrement de consommateur. Too much of nothing, chantait ton vieux pote Dylan. Oui, tout objet a quelque chose de profondément répugnant. Le confort matériel crée une douce servitude qui endort l’esprit plus sûrement qu’un asservissement forcé. C’est la servitude volontaire de nos sociétés libérales. Je suis un tas de choses et les choses sont en ordre et ça me rassure un peu de les savoir en ordre, chuchotes-tu d’une voix presque inaudible, corps maigre, tendu, fiévreux, pitoyable au bord du lit. Dans ta grande solitude, ces objets inanimés sont aussi tes derniers compagnons. Il t’arrive de penser que certains d’entre eux, sans doute les plus dignes d’intérêt, te survivront de quelques années, et cette pensée étrangement te réconforte. Tu aimes aussi à penser qu’ils veillent la nuit sur tes mauvais rêves : masque en bois burkinabé miroir en laiton marocain luminaire scandinave guirlande dorée coupée en deux cactus guitare micro lunettes noires vieil appareil argentique vieil écran d’ordinateur tablette brisée vinyles tubes de peinture desséchée toiles inachevées livres entassés. Tout est à sa place depuis des lustres. On voit au premier coup d’œil que t’as capitulé, Simon. Tes rêves de grand large ont pris la poussière.

Ma respiration se bloque. Encore surmonter une nouvelle crise d’angoisse jusque tard dans la nuit. Ça se niche dans la gorge et ça m’empêche de respirer normalement. Je suis sur le point de m’effondrer, je le sens. Ma seule lueur d’espoir est que j’ai pleinement conscience de ma propre misère. Le mécanisme s’est déglingué depuis longtemps. Dans le marasme de l’inertie, je suis devenu le pantin de mes pulsions. Le sexe hardcore consommé de façon compulsive nuit et jour m’a saccagé le bocal. Jusqu’où est-on capable d’aller pour faire jouir son corps ? Les jeux de massacre sur le petit écran me crèvent les yeux. C’est une drogue dure, permanente ; toutes mes forces se dissolvent dans ça. Enchaînée au plaisir immédiat, la viande réclame à chaque instant sa dose de jouissance facile et dérisoire. Une abstinence d’une heure ou deux représente le triomphe de ma volonté. J’en peux plus de ne plus savoir saigner. Je suis l’homme parfaitement dépouillé. Excédé d’orgasmes machinaux, mon corps n’est plus qu’une terre dévastée. Mes jours et mes nuits, je les passe désormais allongé sur le lit à épuiser mes fantasmes les plus sordides devant l’écran du portable. La violence des images crues, sans distance, à la fois me fascinent et me déchirent. Est-il possible de mourir davantage ? Jamais pu me résoudre à n’être qu’un corps, à n’être que ce corps misérable. Il me faut trouver de nouvelles valeurs si je veux sortir du désespoir, m’inventer de nouveaux rites pour me réanimer, prendre part à quelque chose qui me dépasse, voire même me sacrifier pour retrouver le sens du sacré. Plus que tout autre, j’ai besoin de discipline. Par moi-même, je me sens incapable de réaliser de grandes choses. Quel autre pourrait m’aider ? Secrètement je garde l’espoir d’une lumière. Ça doit sembler assez désuet mais pour moi la question de Dieu reste ouverte. Je rêve d’un foudroiement par le Très Haut. Une foi nouvelle me permettrait de ne pas faire n’importe quoi de ma vie. Elle m’aiderait à surmonter mes insuffisances. Oui, la religion est ma grande tentation du moment. Si seulement je pouvais me forger une foi d’airain pour me relever de mon effondrement, me fabriquer mon own personal Jesus en ces temps de détresse. Même si c’est faux, même si c’est truquer le réel, sans doute me faudrait-il un Messie capable de me débarrasser de toutes ces sales habitudes qui m’encombrent, un Dieu considérable et dur qui me blesse et me force à reprendre la lutte. Être définitivement krank an Gott, voilà ce que je recherche, faithfull comme la Marianne de mon adolescence. Car tout est possible à celui qui croit, à ce qu’il paraît. Je me demande si la bible peut encore quelque chose pour moi. Ça fait un moment que je l’ai délaissée, celle-là. Je sens qu’elle me regarde d’un sale œil depuis l’étage le plus bas de la bibliothèque. Je décide de l’ouvrir au hasard, d’abord l’Ancien Testament. Je ressens un plaisir particulier dès qu’elle me parle de pierres, de poussière brûlante, de sources désespérément rares… Je relis à voix haute les passages qui retiennent mon attention. A force de les répéter, ils deviennent pour moi comme des poèmes d’enfance : « La seconde année, au second mois, le vingtième jour du mois, la nuée s’éleva au-dessus de la Demeure du rendez-vous. Les Israélites partirent, en ordre de marche, du désert du Sinaï. » Je feuillette ensuite les Évangiles. Quelques souvenirs précis de catéchisme me reviennent en tête (jamais su pourquoi ma mère, pourtant si négligente, avait tellement insisté pour me faire baptiser). Je me souviens que la religion catholique romaine parle de la promesse d’une Alliance Nouvelle et Éternelle, de l’ampleur et de la qualité de la vision, de la domination du Très Haut par un silence à nous déchirer les tympans. L’être humain ne peut être sauvé que par la foi, enseignent les Évangiles, car vivre est un acte de foi. Une foi fiévreuse pour capturer les mystères de la nuit et surtout délivrer de la peur, cette peur qui toujours empêche et emprisonne. Sacrée belle promesse quand même… Alors pendant un bref moment je décide une bonne fois pour toutes que le Très Haut existe et qu’Il s’est fait homme pour nous sustenter. Mais, l’instant d’après, le corps à nouveau se contracte. Le doute s’impose à mon esprit et tout effort pour le chasser se révèle être vain. Comme si on pouvait se forcer à croire… Certes, la possibilité existe, mais qu’en dire de plus ?

Texte et vidéo : Gwen Denieul

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